The dictator Kagame at UN

The dictator Kagame at UN
Dictators like Kagame who have changed their national constitutions to remain indefinitely on power should not be involved in UN high level and global activities including chairing UN meetings

Why has the UN ignored its own report about the massacres of Hutu refugees in DRC ?

The UN has ignored its own reports, NGOs and media reports about the massacres of hundreds of thousands of Hutu in DRC Congo (estimated to be more than 400,000) by Kagame when he attacked Hutu refugee camps in Eastern DRC in 1996. This barbaric killings and human rights violations were perpetrated by Kagame’s RPF with the approval of UK and USA and with sympathetic understanding and knowledge of UNHCR and international NGOs which were operating in the refugees camps. According to the UN, NGO and media reports between 1993 and 2003 women and girls were raped. Men slaughtered. Refugees killed with machetes and sticks. The attacks of refugees also prevented humanitarian organisations to help many other refugees and were forced to die from cholera and other diseases. Other refugees who tried to return to Rwanda where killed on their way by RFI and did not reach their homes. No media, no UNHCR, no NGO were there to witness these massacres. When Kagame plans to kill, he makes sure no NGO and no media are prevent. Kagame always kills at night.

27 Jul 2020

[africaforum] Re: *DHR* Incendie de la cathédrale de Nantes : Emmanuel ABAYISENGA, bénévole impliqué au parcours cabossé

 


Il était l'un des sept gardiens des clés de la cathédrale. Emmanuel Abayisenga, 39 ans, était chargé de fermer les portes, la veille de l'incendie. Le lendemain, Saint-Pierre-et-Saint Paul partait en fumée. Pourtant, aucun signe d'effraction n'avait été constaté par les enquêteurs. Cette paroisse, il la fréquente depuis quatre à cinq ans et aide parfois à la liturgie. Cela fait huit ans que cet homme d'origine rwandaise serait arrivé en France. Il était hébergé par le diocèse, dans le couvent franciscain de Canclaux, dans le centre-ville de Nantes.
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Le bénévole du diocèse suspecté a finalement avoué être à l'origine de l'incendie de la cathédrale de Nantes. Cet homme de 39 ans a été mis en examen et placé en détention ...www.ouest-france.fr
Le bénévole du diocèse suspecté a finalement avoué être à l'origine de l'incendie de la cathédrale de Nantes. Cet homme de 39 ans a été mis en examen et placé en détention provisoire dans la nuit du samedi 25 au dimanche 26 juillet 2020.
https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/nantes-44000/incendie-de-la-cathedrale-de-nantes-emmanuel-benevole-implique-au-parcours-cabosse-6919071 
Ouest-France
Julie ECHARD., Publié le 26/07/2020 à 22h04

Incendie à la cathédrale de Nantes: le procureur dévoile des détails de l'enquête
Après la mise en examen et le placement en détention provisoire d'Emmanuel Abayisenga, dans le cadre de l'enquête sur l'incendie de la cathédrale de Nantes, le procureur de la République de Nantes, Pierre Sennès, a confié à Ouest-France de nouveaux éléments de l'investigation, ce dimanche 26 juillet.
Pierre Sennès, procureur de la République de Nantes. | ARCHIVES JÉRÔME FOUQUET/OUEST-FRANCE

Après la mise en examen et le placement en détention provisoire d'Emmanuel Abayisenga, dans le cadre de l'enquête sur l'incendie de la cathédrale de Nantes, le procureur de la République de Nantes, Pierre Sennès, a confié à Ouest-France de nouveaux éléments de l'investigation, ce dimanche 26 juillet.

Cet homme de 39 ans était bénévole au sein du diocèse et avait déjà été placé une première fois en garde à vue le week-end dernier. Il a reconnu les faits.


Quels éléments de l'enquête vous ont finalement permis de relier le bénévole mis en examen cette nuit à l'incendie qui a frappé la cathédrale de Nantes ?

Sa première garde à vue, samedi 18 juillet 2020, avait permis de l'interroger sur un certain nombre de points, notamment son emploi du temps. Après ses déclarations, il y a eu un travail considérable de la police judiciaire pour les vérifier et les corroborer. On a constaté qu'il y avait un certain nombre d'éléments qui étaient divergents par rapport à ce qu'il nous avait déclaré.

À ceci, sont venus s'ajouter les premiers résultats du laboratoire de la préfecture de police de Paris, qui nous ont orientés de plus en plus vers une piste criminelle.

La conjonction de tous ces éléments, entre lundi 20 juillet et samedi 25 juillet 2020, a donné une nouvelle orientation à l'enquête.

On a pu déterminer qu'il était dans le secteur de la cathédrale, le matin, dans le créneau horaire où le feu s'est déclaré, grâce à des caméras installées aux alentours de l'édifice, celui-ci n'en étant pas doté.

On a constaté, sur deux des trois sites où ont eu lieu des départs de feu, des éléments troublants, qui pouvaient corroborer une intervention extérieure et un geste criminel. On a retrouvé, par exemple, un produit inflammable, qui pourrait avoir été utilisé pour allumer l'incendie.

Pourquoi avoir remis le suspect en liberté, le week-end dernier ?

Il a été remis en liberté car, au terme de cette première garde à vue, nous avions considéré qu'il n'y avait pas d'éléments à charge suffisants pour engager les poursuites. Ce n'était pas du tout une stratégie d'enquête.
Mais cela nous a permis de recueillir longuement ses explications et de pouvoir ensuite les vérifier. Puis, un travail a commencé pour s'assurer de la pertinence des éléments qu'il nous avait donnés.

Il était bien sous le coup d'une obligation de quitter le territoire français ?

Son obligation de quitter le territoire français était établie. Il avait également des problèmes de santé, d'ordre physique, et a essayé de faire régulariser sa situation en raison de cet état de santé.

Qu'en est-il des e-mails qu'il aurait envoyés concernant sa demande de nationalité française ?

Le suspect avait effectivement adressé un e-mail au diocèse, ainsi qu'aux autorités administratives, dans lequel il se plaignait fortement de sa situation administrative. Il y exprimait des reproches auprès de différentes personnalités, considérant qu'il n'était pas soutenu et qu'on ne l'aidait pas assez dans ses démarches administratives.

Comment un homme très impliqué dans la vie du diocèse aurait-il pu en arriver là ?

Comment on en arrive là, ce n'est pas tout à fait clarifié. Il est certain que le juge d'instruction devra ordonner une expertise psychiatrique. C'est une étape indispensable pour en savoir un peu plus sur ses motivations et son état d'esprit. Le résultat sera intéressant.

Concernant ses motivations, les explications ont pour l'instant été très superficielles et encore un peu confuses.

Quelle est la prochaine étape de la procédure ?

Le juge d'instruction va prendre la direction de l'enquête. Il va délivrer une commission rogatoire à la police judiciaire. Il y a encore du travail à accomplir, notamment au niveau de la police technique et scientifique. Dès qu'il le pourra, le laboratoire de la préfecture de police accédera à l'orgue. On va continuer un travail minutieux de constatations, de prélèvements et d'analyses en laboratoire, dès que l'on pourra le faire sur le secteur où se trouvait l'orgue.

Ensuite, il pourrait y avoir de nouvelles auditions et de nouvelles investigations faites par la police judiciaire, à la demande du juge d'instruction.

Je tiens à saluer le travail impressionnant de la police judiciaire. Ils ont mis de gros moyens et il y a eu un investissement très fort des enquêteurs, qui ont fait preuve d'un grand professionnalisme. Ils ont fait un travail considérable, dans un temps très réduit. C'est cela qui permet d'avoir une solution à cette affaire. Mais il faut encore attendre, la procédure n'est pas terminée.

Compte tenu de l'émotion suscitée par cet incendie, tout le monde était mobilisé et avait à cœur que l'enquête aboutisse.


https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/nantes-44000/info-ouest-france-incendie-a-la-cathedrale-de-nantes-le-procureur-devoile-des-details-de-l-enquete-6918750
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Pierre Sennès, procureur de la République de Nantes, donne à « Ouest-France » de nouveaux éléments de l'enquête sur l'incendie de la cathédrale de Nantes, après la mise en examen et ... www.ouest-france.fr
Après la mise en examen et le placement en détention provisoire d'Emmanuel Abayisenga, dans le cadre de l'enquête sur l'incendie de la cathédrale de Nantes, le procureur de la République de Nantes, Pierre Sennès, a confié à Ouest-France de nouveaux éléments de l'investigation, ce dimanche 26 juillet.
Ouest-France
Estelle CHOTEAU et Julie ECHARD.
Publié le 26/07/2020 à 12h12
27.07.2020
Ildephonse Murayi-Habimana

Onderwerp: Incendie dans la cathédrale Saint-Pierre et Saint-Paul de Nantes : le Rwandais bénévole, écroué, a reconnu les faits
 
Bene Kanyarwanda ( Ba Rwandais ! ) turarutanze !
Comme si ce dont on nous accuse ne suffisait pas, nous commençons maintenant à brûler les cathédrales en Europe ( i Burayi ) !
Ba Rwandais !
Mana y'u Rwanda wagiye he ?
L'homme âgé de 39 ans avait été placé en garde à vue une première fois quelques heures après l'ouverture de l'enquête, le 18 juillet 2020, puis remis en liberté le lendemain soir.
Faits divers. Incendie dans la cathédrale de Nantes : le bénévole, écroué, a reconnu les faits
Dimanche 26 juillet 2020 à 07:04 | mis à jour à 07:57 | Vu 6044 fois
Le feu avait notamment détruit un tableau d'Hippolyte Flandrin du XIXe siècle et le grand orgue. Photo Fanny ANDRE/AFP
Une semaine après l'incendie dans la cathédrale de Nantes, la piste criminelle est désormais privilégiée et un bénévole du diocèse, un temps interpellé puis relâché, a été mis en examen et placé en détention provisoire dans la nuit de samedi à dimanche pour destructions et dégradations par incendie.
L'homme "regrette amèrement les faits"
"Mon client a coopéré", a affirmé au quotidien Presse-Océan l'avocat du mis en examen, Me Quentin Chabert.

"Il regrette amèrement les faits et évoquer cela a été pour lui une libération. Mon client est aujourd'hui rongé par le remords et dépassé par l'ampleur qu'ont pris les événements", assure-t-il.

L"homme "a reconnu, lors de l'interrogatoire de première comparution devant le juge d'instruction, avoir allumé les trois feux dans la cathédrale: sur le grand orgue, le petit orgue et dans un panneau électrique", a précisé le procureur de la République de Nantes, Pierre Sennès, au quotidien.

Cet homme de 39 ans était chargé de fermer la cathédrale la veille de l'incendie. Il s'agit "d'un Rwandais, venu se réfugier en France il y a quelques années", avait expliqué la semaine dernière le recteur de la cathédrale de Nantes, le père Hubert Champenois.

Selon le recteur, le bénévole est "servant d'autel" et il le connaissait "depuis quatre ou cinq ans".
"J'ai confiance en lui"
"J'ai confiance en lui comme en tous les collaborateurs", avait-il expliqué.

Le bénévole avait été placé en garde à vue quelques heures après l'ouverture de l'enquête, le 18 juillet, puis remis en liberté le lendemain soir. Les enquêteurs souhaitaient l'interroger car après l'incendie aucune trace d'effraction n'avait été constatée sur les accès à l'édifice dans lequel trois points de départ de feu avaient été constatés.

Le feu avait notamment détruit un tableau d'Hippolyte Flandrin du XIXe siècle et le grand orgue.
Dans le cadre de cette enquête, "plus de trente personnes"ont été entendues et une vingtaine d'enquêteurs de la police judiciaire ont été mobilisés, avec notamment le renfort du laboratoire central de la préfecture de police de Paris, afin de déterminer la cause de l'incendie, a expliqué dans un communiqué samedi soir le procureur de la République de Nantes, Pierre Sennès ...
"Les premiers résultats communiqués par le laboratoire central de la préfecture de police de Paris amènent à privilégier la piste criminelle", a-t-il ajouté.
Le bénévole a été de nouveau interpellé et placé en garde à vue tôt ce samedi 25 juillet 2020 matin et présenté dans la soirée au parquet de Nantes qui a ouvert une information judiciaire. L'homme encourt une peine de 10 ans d'emprisonnement et 150 000 euros d'amende.
Abatabizi bicwa no kutabimenya.
Nikozitambirwa
26.07.2020
Ildephonse Murayi-Habimana

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"The hate of men will pass, and dictators die, and the power they took from the people will return to the people. And so long as men die, liberty will never perish.
"I have loved justice and hated iniquity: therefore I die in exile.
"The price good men pay for indifference to public affairs is to be ruled by evil men.
"When the white man came we had the land and they had the bibles; now they have the land and we have the bibles.

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-“The enemies of Freedom do not argue ; they shout and they shoot.”

The principal key root causes that lead to the Rwandan genocide of 1994 that affected all Rwandan ethnic groups were:

1)The majority Hutu community’s fear of the return of the discriminatory monarchy system that was practiced by the minority Tutsi community against the enslaved majority Hutu community for about 500 years

2)The Hutu community’s fear of Kagame’s guerrilla that committed massacres in the North of the country and other parts of the countries including assassinations of Rwandan politicians.

3) The Rwandan people felt abandoned by the international community ( who was believed to support Kagame’s guerrilla) and then decided to defend themselves with whatever means they had against the advance of Kagame’ guerrilla supported by Ugandan, Tanzanian and Ethiopian armies and other Western powers.

-“The enemies of Freedom do not argue ; they shout and they shoot.”

-“The hate of men will pass, and dictators die, and the power they took from the people will return to the people. And so long as men die, liberty will never perish.”

-“The price good men pay for indifference to public affairs is to be ruled by evil men.”

-“I have loved justice and hated iniquity: therefore I die in exile.”

The Rwanda war of 1990-1994 had multiple dimensions.

The Rwanda war of 1990-1994 had multiple dimensions. Among Kagame’s rebels who were fighting against the Rwandan government, there were foreigners, mainly Ugandan fighters who were hired to kill and rape innocent Rwandan people in Rwanda and refugees in DRC.

READ MORE RECENT NEWS AND OPINIONS

SUMMARY : THE TRAGIC CONSEQUENCES OF THE BRITISH BUDGET SUPPORT AND GEO-STRATEGIC AMBITIONS

United Kingdom's Proxy Wars in Africa: The Case of Rwanda and DR Congo:

The Rwandan genocide and 6,000,000 Congolese and Hutu refugees killed are the culminating point of a long UK’s battle to expand their influence to the African Great Lakes Region. UK supported Kagame’s guerrilla war by providing military support and money. The UK refused to intervene in Rwanda during the genocide to allow Kagame to take power by military means that triggered the genocide. Kagame’s fighters and their families were on the Ugandan payroll paid by UK budget support.


· 4 Heads of State assassinated in the francophone African Great Lakes Region.
· 2,000,000 people died in Hutu and Tutsi genocides in Rwanda, Burundi and RD.Congo.
· 600,000 Hutu refugees killed in R.D.Congo, Uganda, Central African Republic and Rep of Congo.
· 6,000,000 Congolese dead.
· 8,000,000 internal displaced people in Rwanda, Burundi and DR. Congo.
· 500,000 permanent Rwandan and Burundian Hutu refugees, and Congolese refugees around the world.
· English language expansion to Rwanda to replace the French language.
· 20,000 Kagame’s fighters paid salaries from the British Budget Support from 1986 to present.
· £500,000 of British taxpayer’s money paid, so far, to Kagame and his cronies through the budget support, SWAPs, Tutsi-dominated parliament, consultancy, British and Tutsi-owned NGOs.
· Kagame has paid back the British aid received to invade Rwanda and to strengthen his political power by joining the East African Community together with Burundi, joining the Commonwealth, imposing the English Language to Rwandans to replace the French language; helping the British to establish businesses and to access to jobs in Rwanda, and to exploit minerals in D.R.Congo.



Thousands of Hutu murdered by Kagame inside Rwanda, e.g. Kibeho massacres

Thousands of Hutu murdered by Kagame inside Rwanda, e.g. Kibeho massacres
Kagame killed 200,000 Hutus from all regions of the country, the elderly and children who were left by their relatives, the disabled were burned alive. Other thousands of people were killed in several camps of displaced persons including Kibeho camp. All these war crimes remain unpunished.The British news reporters were accompanying Kagame’s fighters on day-by-day basis and witnessed these massacres, but they never reported on this.

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25,000 Hutu bodies floated down River Akagera into Lake Victoria in Uganda.

25,000  Hutu bodies  floated down River Akagera into Lake Victoria in Uganda.
The British irrational, extremist, partisan,biased, one-sided media and politicians have disregarded Kagame war crimes e.g. the Kibeho camp massacres, massacres of innocents Hutu refugees in DR. Congo. The British media have been supporting Kagame since he invaded Rwanda by organising the propaganda against the French over the Rwandan genocide, suppressing the truth about the genocide and promoting the impunity of Kagame and his cronies in the African Great Lakes Region. For the British, Rwanda does not need democracy, Rwanda is the African Israel; and Kagame and his guerilla fighters are heroes.The extremist British news reporters including Fergal Keane, Chris Simpson, Chris McGreal, Mark Doyle, etc. continue to hate the Hutus communities and to polarise the Rwandan society.

Kagame political ambitions triggered the genocide.

Kagame  political  ambitions triggered the genocide.
Kagame’s guerrilla war was aimed at accessing to power at any cost. He rejected all attempts and advice that could stop his military adventures including the cease-fire, political negotiations and cohabitation, and UN peacekeeping interventions. He ignored all warnings that could have helped him to manage the war without tragic consequences. Either you supported Kagame’ s wars and you are now his friend, or you were against his wars and you are his enemy. Therefore, Kagame as the Rwandan strong man now, you have to apologise to him for having been against his war and condemned his war crimes, or accept to be labelled as having been involved in the genocide. All key Kagame’s fighters who committed war crimes and crimes against humanity are the ones who hold key positions in Rwandan army and government for the last 15 years. They continue to be supported and advised by the British including Tony Blair, Andrew Mitchell MP, and the British army senior officials.

Aid that kills: The British Budget Support financed Museveni and Kagame’s wars in Rwanda and DRC.

Aid that kills: The British Budget Support  financed Museveni and Kagame’s wars in Rwanda and DRC.
Genocide propaganda and fabrications are used by the so-called British scholars, news reporters and investigative journalists to promote their CVs and to get income out of the genocide through the selling of their books, providing testimonies against the French, access to consultancy contracts from the UN and Kagame, and participation in conferences and lectures in Rwanda, UK and internationally about genocide. Genocide propaganda has become a lucrative business for Kagame and the British. Anyone who condemned or did not support Kagame’s war is now in jail in Rwanda under the gacaca courts system suuported by British tax payer's money, or his/she is on arrest warrant if he/she managed to flee the Kagame’s regime. Others have fled the country and are still fleeing now. Many others Rwandans are being persecuted in their own country. Kagame is waiting indefinitely for the apologies from other players who warn him or who wanted to help to ensure that political negotiations take place between Kagame and the former government he was fighting against. Britain continues to supply foreign aid to Kagame and his cronies with media reports highlighting economic successes of Rwanda. Such reports are flawed and are aimed at misleading the British public to justify the use of British taxpayers’ money. Kagame and his cronies continue to milk British taxpayers’ money under the British budget support. This started from 1986 through the British budget support to Uganda until now.

Dictator Kagame: No remorse for his unwise actions and ambitions that led to the Rwandan genocide.

Dictator Kagame: No remorse for his unwise actions and ambitions that led to the  Rwandan genocide.
No apologies yet to the Rwandan people. The assassination of President Juvenal Habyarimana by Kagame was the only gateway for Kagame to access power in Rwanda. The British media, politicians, and the so-called British scholars took the role of obstructing the search for the truth and justice; and of denying this assassination on behalf of General Kagame. General Paul Kagame has been obliging the whole world to apologise for his mistakes and war crimes. The UK’s way to apologise has been pumping massive aid into Rwanda's crony government and parliement; and supporting Kagame though media campaigns.

Fanatical, partisan, suspicious, childish and fawning relations between UK and Kagame

Fanatical, partisan, suspicious, childish and fawning relations between UK and Kagame
Kagame receives the British massive aid through the budget support, British excessive consultancy, sector wide programmes, the Tutsi-dominated parliament, British and Tutsi-owned NGOs; for political, economic and English language expansion to Rwanda. The British aid to Rwanda is not for all Rwandans. It is for Kagame himself and his Tutsi cronies.

Paul Kagame' actvities as former rebel

Africa

UN News Centre - Africa

The Africa Report - Latest

IRIN - Great Lakes

This blog reports the crimes that remain unpunished and the impunity that has generated a continuous cycle of massacres in many parts of Africa. In many cases, the perpetrators of the crimes seem to have acted in the knowledge that they would not be held to account for their actions.

The need to fight this impunity has become even clearer with the massacres and genocide in many parts of Africa and beyond.

The blog also addresses issues such as Rwanda War Crimes, Rwandan Refugee massacres in Dr Congo, genocide, African leaders’ war crimes and crimes against humanity, Africa war criminals, Africa crimes against humanity, Africa Justice.

-The British relentless and long running battle to become the sole player and gain new grounds of influence in the francophone African Great Lakes Region has led to the expulsion of other traditional players from the region, or strained diplomatic relations between the countries of the region and their traditional friends. These new tensions are even encouraged by the British using a variety of political and economic manoeuvres.

-General Kagame has been echoing the British advice that Rwanda does not need any loan or aid from Rwandan traditional development partners, meaning that British aid is enough to solve all Rwandan problems.

-The British obsession for the English Language expansion has become a tyranny that has led to genocide, war crimes and crimes against humanity, dictatorial regimes, human rights violations, mass killings, destruction of families, communities and cultures, permanent refugees and displaced persons in the African Great Lakes region.


- Rwanda, a country that is run by a corrupt clique of minority-tutsi is governed with institutional discrmination, human rights violations, dictatorship, authoritarianism and autocracy, as everybody would expect.