The dictator Kagame at UN

The dictator Kagame at UN
Dictators like Kagame who have changed their national constitutions to remain indefinitely on power should not be involved in UN high level and global activities including chairing UN meetings

Why has the UN ignored its own report about the massacres of Hutu refugees in DRC ?

The UN has ignored its own reports, NGOs and media reports about the massacres of hundreds of thousands of Hutu in DRC Congo (estimated to be more than 400,000) by Kagame when he attacked Hutu refugee camps in Eastern DRC in 1996. This barbaric killings and human rights violations were perpetrated by Kagame’s RPF with the approval of UK and USA and with sympathetic understanding and knowledge of UNHCR and international NGOs which were operating in the refugees camps. According to the UN, NGO and media reports between 1993 and 2003 women and girls were raped. Men slaughtered. Refugees killed with machetes and sticks. The attacks of refugees also prevented humanitarian organisations to help many other refugees and were forced to die from cholera and other diseases. Other refugees who tried to return to Rwanda where killed on their way by RFI and did not reach their homes. No media, no UNHCR, no NGO were there to witness these massacres. When Kagame plans to kill, he makes sure no NGO and no media are prevent. Kagame always kills at night.

26 Nov 2020

[africaforum] Analyse: Comment les erreurs politiques des Burundais les trahissent ( en quatre points) ?

 

Comment les erreurs politiques des Burundais les trahissent  ( en quatre points) ?

 

1. Les Burundais ne comprennent rien de la justice. L'impunité règne au Burundi  depuis des décennies car les Hutu ont peur des Tutsi  même après la prise du pouvoir  par des Hutus. Cette impunité est soutenue par tous les colons belges et francais.

 

2. En Côte d'Ivoire il y a  eu le changement de la constitution et le président  sortant s'est représenté et été élu..  Il n'y a pas  eu  d'exode des refugiés et des massacres comme au Burundi. Les colons français ont encouragé le  changement de la constituions en Cote d'Ivoire. Mais au Burundi cela n'a pas été le cas.. Les colons belges et français ainsi que les tutsi  du Rwanda et du  Burundi ont  encouragé les violences et Kagame a appelé les burundais d'aller se réfugier au Rwanda.

 

3. Le Burundi a fait une autre erreur grave. Celle de ne pas  avoir adopté l'Anglais et supprimé le  Français alors que la majorité des refugies étaient  des refugiés en Tanzanie, un pays anglophone. Si  le Burundi avait supprimé le français ( la langue des génocidaires selon  Kagame), le Burundi serait aujourd'hui en paix, en train d'être courtisé par les colons français qui  courtisent Kagame.

 

4. Les Burundais n'ont pas pu se débarrasser des Accords d'Arusha comme le Rwanda l'a fait. Si  le Rwanda avait mis en œuvre les accords d'Arusha il serait dans le même serait aujourd'hui dans la même situation que le Burundi. Au Rwanda le pouvoir est 100 % entre les mains des Tutsi qui écrasent toute personne qui s'oppose au régime.


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Posted by: Alfred Nganzo <alfrednganzo@yahoo.com>
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"The hate of men will pass, and dictators die, and the power they took from the people will return to the people. And so long as men die, liberty will never perish.
"I have loved justice and hated iniquity: therefore I die in exile.
"The price good men pay for indifference to public affairs is to be ruled by evil men.
"When the white man came we had the land and they had the bibles; now they have the land and we have the bibles.

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Analyse: Comment les erreurs politiques des Burundais les trahissent ( en quatre points) ?

Comment les erreurs politiques des Burundais les trahissent  ( en quatre points) ?

 

1. Les Burundais ne comprennent rien de la justice. L'impunité règne au Burundi  depuis des décennies car les Hutu ont peur des Tutsi  même après la prise du pouvoir  par des Hutus. Cette impunité est soutenue par tous les colons belges et francais.

 

2. En Côte d'Ivoire il y a  eu le changement de la constitution et le président  sortant s'est représenté et été élu.  Il n'y a pas  eu  d'exode des refugiés et des massacres comme au Burundi. Les colons français ont encouragé le  changement de la constituions en Cote d'Ivoire. Mais au Burundi cela n'a pas été le cas. Les colons belges et français ainsi que les tutsi  du Rwanda et du  Burundi ont  encouragé les violences et Kagame a appelé les burundais d'aller se réfugier au Rwanda.

 

3. Le Burundi a fait une autre erreur grave. Celle de ne pas  avoir adopté l'Anglais et supprimé le  Français alors que la majorité des refugies étaient  des refugiés en Tanzanie, un pays anglophone. Si  le Burundi avait supprimé le français ( la langue des génocidaires selon  Kagame), le Burundi serait aujourd'hui en paix, en train d'être courtisé par les colons français qui  courtisent Kagame.

 

4. Les Burundais n'ont pas pu se débarrasser des Accords d'Arusha comme le Rwanda l'a fait. Si  le Rwanda avait mis en œuvre les accords d'Arusha il serait dans le même serait aujourd'hui dans la même situation que le Burundi. Au Rwanda le pouvoir est 100 % entre les mains des Tutsi qui écrasent toute personne qui s'oppose au régime.


[africaforum] Le plus grand scandale en Afrique est l’impunité au Burundi qui vient de durer des décennies et soutenue par les colons belges et français.

 

Le plus grand scandale en Afrique est l'impunité au Burundi  qui vient de durer des décennies et soutenue par les colons belges et français. La raison c'est l'intimidation tutsi qui entrave la justice burundaise.


Pierre Buyoya ( tutsi ) aussi confirme cette intimdation en  expliquant ridiculement son innocence par deux points :

1. Mon inculpation va à l'encontre des Accords d'Arusha et  donc la justice ne me concerne pas !

2. Pierre Buyoya  dit que son inculpation va causer les violences ethniques au Burundi ! Cette version aberrante est vehiculee par les media des colons belges et  francais.

 

Pierre Buyoya jette l'éponge, le régime burundais exulte

Les autorités burundaises n'ont pas encore officiellement réagi par rapport à cette démission. Mais à travers les réseaux sociaux, les thuriféraires du régime se frottent les mains, crient victoire et attendent son extradition.
Récemment condamné à perpétuité par la justice de son pays, le Burundi, l'ancien président, Pierre Buyoya, finit par lâcher du lest en démissionnant de son poste de Haut représentant de l'Union africaine au Mali et au Sahel.

Plusieurs médias internationaux font choux gras de cet abandon de poste.

«L'ancien président burundais a présenté sa démission de son poste de Haut représentant de l'UA au Mali et au Sahel pour pouvoir se consacrer totalement à sa défense», a rapporté la Radio France Internationale, RFI.

«Sa démission a été acceptée avec une grande reconnaissance pour l'excellent travail accompli au nom de l'Union africaine», a réagi un haut responsable au sein de la Commission.

Il occupait le poste de Haut représentant de l'Union africaine au Mali et au Sahel depuis huit ans.

‍‍Pierre Buyoya qui est toujours au Mali prévoit une conférence de presse d'ici quelques jours «pour expliquer» sa décision.

Les autorités burundaises n'ont pas encore officiellement réagi par rapport à cette démission. Mais à travers les réseaux sociaux, les thuriféraires du régime se frottent les mains, crient victoire et attendent son extradition.

En octobre dernier, la Cour Suprême du Burundi a condamné 15 anciennes hautes personnalités burundaises, dont l'ancien président Pierre Buyoya, à la prison à vie et à une amende de près de 7 millions de dollars américains.

Trois autres accusés ont écopé d'une peine de 20 ans de prison ferme dont l'ancien 1er vice-président de la République, Bernard Busokoza, aujourd'hui en exil.

Un seul prévenu a été acquitté dans cette affaire : Il s'agit d'Antoine Nduwayo, ancien premier ministre (février 1995-juillet 1996).

Toutes ces personnalités étaient visées par une enquête judiciaire sur l'assassinat, en octobre 1993, de l'ancien président Melchior Ndadaye, premier président démocratiquement élu dans le pays. Elles étaient tous accusés d' «attentat contre le Chef de l'Etat, d'attentat contre l'autorité de l'Etat et d'attentat tendant à porter le massacre et dévastation ».

Le gouvernement du Burundi avait émis un mandat d'arrêt international en 2018 contre lui.

Ancien officier de l'armée burundaise, le major Pierre Buyoya a dirigé le Burundi à deux reprises (de 1987 à 1993 puis de 1996 à 2003) chaque fois par un coup d'état.



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Le plus grand scandale en Afrique est l’impunité au Burundi qui vient de durer des décennies et soutenue par les colons belges et français.

Le plus grand scandale en Afrique est l'impunité au Burundi  qui vient de durer des décennies et soutenue par les colons belges et français. La raison c'est l'intimidation tutsi qui entrave la justice burundaise.


Pierre Buyoya ( tutsi ) aussi confirme cette intimdation en  expliquant ridiculement son innocence par deux points :

1. Mon inculpation va à l'encontre des Accords d'Arusha et  donc la justice ne me concerne pas !

2. Pierre Buyoya  dit que son inculpation va causer les violences ethniques au Burundi ! Cette version aberrante est vehiculee par les media des colons belges et  francais.

 

Pierre Buyoya jette l'éponge, le régime burundais exulte

Les autorités burundaises n'ont pas encore officiellement réagi par rapport à cette démission. Mais à travers les réseaux sociaux, les thuriféraires du régime se frottent les mains, crient victoire et attendent son extradition.
Récemment condamné à perpétuité par la justice de son pays, le Burundi, l'ancien président, Pierre Buyoya, finit par lâcher du lest en démissionnant de son poste de Haut représentant de l'Union africaine au Mali et au Sahel.

Plusieurs médias internationaux font choux gras de cet abandon de poste.

«L'ancien président burundais a présenté sa démission de son poste de Haut représentant de l'UA au Mali et au Sahel pour pouvoir se consacrer totalement à sa défense», a rapporté la Radio France Internationale, RFI.

«Sa démission a été acceptée avec une grande reconnaissance pour l'excellent travail accompli au nom de l'Union africaine», a réagi un haut responsable au sein de la Commission.

Il occupait le poste de Haut représentant de l'Union africaine au Mali et au Sahel depuis huit ans.

‍‍Pierre Buyoya qui est toujours au Mali prévoit une conférence de presse d'ici quelques jours «pour expliquer» sa décision.

Les autorités burundaises n'ont pas encore officiellement réagi par rapport à cette démission. Mais à travers les réseaux sociaux, les thuriféraires du régime se frottent les mains, crient victoire et attendent son extradition.

En octobre dernier, la Cour Suprême du Burundi a condamné 15 anciennes hautes personnalités burundaises, dont l'ancien président Pierre Buyoya, à la prison à vie et à une amende de près de 7 millions de dollars américains.

Trois autres accusés ont écopé d'une peine de 20 ans de prison ferme dont l'ancien 1er vice-président de la République, Bernard Busokoza, aujourd'hui en exil.

Un seul prévenu a été acquitté dans cette affaire : Il s'agit d'Antoine Nduwayo, ancien premier ministre (février 1995-juillet 1996).

Toutes ces personnalités étaient visées par une enquête judiciaire sur l'assassinat, en octobre 1993, de l'ancien président Melchior Ndadaye, premier président démocratiquement élu dans le pays. Elles étaient tous accusés d' «attentat contre le Chef de l'Etat, d'attentat contre l'autorité de l'Etat et d'attentat tendant à porter le massacre et dévastation ».

Le gouvernement du Burundi avait émis un mandat d'arrêt international en 2018 contre lui.

Ancien officier de l'armée burundaise, le major Pierre Buyoya a dirigé le Burundi à deux reprises (de 1987 à 1993 puis de 1996 à 2003) chaque fois par un coup d'état.



20 Nov 2020

[africaforum] Les dépenses de la secrétaire générale demeurent cachées

 


Les dépenses de la secrétaire générale demeurent cachées

L'Organisation internationale de la francophonie toujours aussi opaque

  • 45
  •  
  • AUTRES
Periode des questions
PHOTO D'ARCHIVESL'actuelle secrétaire générale de la Francophonie, Louise Mushikiwabo, lors de son passage à l'Assemblée nationale en juin 2019.
Vendredi, 20 novembre 2020 01:00MISE À JOUR Vendredi, 20 novembre 2020 01:00

QUÉBEC | L'opacité continue à l'Organisation internationale de la francophonie (OIF), où des rapports de dépenses et d'audit demeurent cachés, ce qui est contraire aux règles de transparence adoptées après la controverse entourant la gestion de son ex-secrétaire générale Michaëlle Jean.

• À lire aussi: Voitures de fonction malgré des congédiements à la Francophonie

Une politique adoptée en 2018 par les États et gouvernements membres de l'OIF oblige la divulgation de plusieurs documents, dont des rapports de vérification externe et interne ainsi que les dépenses du cabinet de l'actuelle secrétaire générale, Louise Mushikiwabo.

Dès le début du mandat de Mme Mushikiwabo, l'organisation a publié plusieurs documents, comme l'exigeaient les nouvelles règles.

La rémunération de base de la secrétaire générale, soit 275 000 $, a ainsi été rendue publique pour la première fois sur le site internet de l'OIF, en 2019. Les états financiers de 2018, dernier exercice de Mme Jean, ont également été publiés.

Aucune trace cependant des rapports annuels du vérificateur externe ou de l'auditeur interne, tant pour la dernière année complétée, 2019, que pour les précédentes. Les constats dressés dans ces documents ont parfois été embarrassants, dans le passé, pour les dirigeants.

Désaccords

Avant de quitter précipitamment ses fonctions en octobre, l'ex-administratrice Catherine Cano a pourtant affirmé, lors d'un passage à Montréal, que l'auditeur externe avait certifié les états financiers de l'année 2019.

Mme Cano avait fait état d'un redressement des finances de l'OIF, après deux années de déficits consécutifs totalisant 7 millions $. 

L'administratrice, qui selon l'OIF aurait démissionné en raison de « désaccords », a dû resserrer les dépenses, notamment pour les déplacements.

Silence

Oria Vande Weghe, porte-parole de Mme Mushikiwabo, a refusé de donner suite aux demandes de notre Bureau d'enquête pour obtenir les plus récents documents.

« Nous préférons [...] vous référer à notre site internet où toutes nos activités sont relayées, et ce, dans la plus grande transparence », a-t-elle répondu.

Un examen méticuleux des documents disponibles révèle toutefois l'absence des rapports de vérification et d'audit. 

Les dépenses du cabinet de Mme Mushikiwabo sont également introuvables.

En 2017, Mme Jean, ex-gouverneure générale du Canada, s'est retrouvée au centre d'une controverse en raison des dépenses d'un demi-million de dollars pour l'aménagement de son appartement de fonction et de la hausse de ses frais de déplacement.


Le cabinet de la secrétaire générale, Louise Mushikiwabo, a refusé nos demandes de documents.

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L'Organisation internationale de la francophonie toujours aussi opaque

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Periode des questions
PHOTO D'ARCHIVESL'actuelle secrétaire générale de la Francophonie, Louise Mushikiwabo, lors de son passage à l'Assemblée nationale en juin 2019.
Vendredi, 20 novembre 2020 01:00MISE À JOUR Vendredi, 20 novembre 2020 01:00

QUÉBEC | L'opacité continue à l'Organisation internationale de la francophonie (OIF), où des rapports de dépenses et d'audit demeurent cachés, ce qui est contraire aux règles de transparence adoptées après la controverse entourant la gestion de son ex-secrétaire générale Michaëlle Jean.

• À lire aussi: Voitures de fonction malgré des congédiements à la Francophonie

Une politique adoptée en 2018 par les États et gouvernements membres de l'OIF oblige la divulgation de plusieurs documents, dont des rapports de vérification externe et interne ainsi que les dépenses du cabinet de l'actuelle secrétaire générale, Louise Mushikiwabo.

Dès le début du mandat de Mme Mushikiwabo, l'organisation a publié plusieurs documents, comme l'exigeaient les nouvelles règles.

La rémunération de base de la secrétaire générale, soit 275 000 $, a ainsi été rendue publique pour la première fois sur le site internet de l'OIF, en 2019. Les états financiers de 2018, dernier exercice de Mme Jean, ont également été publiés.

Aucune trace cependant des rapports annuels du vérificateur externe ou de l'auditeur interne, tant pour la dernière année complétée, 2019, que pour les précédentes. Les constats dressés dans ces documents ont parfois été embarrassants, dans le passé, pour les dirigeants.

Désaccords

Avant de quitter précipitamment ses fonctions en octobre, l'ex-administratrice Catherine Cano a pourtant affirmé, lors d'un passage à Montréal, que l'auditeur externe avait certifié les états financiers de l'année 2019.

Mme Cano avait fait état d'un redressement des finances de l'OIF, après deux années de déficits consécutifs totalisant 7 millions $. 

L'administratrice, qui selon l'OIF aurait démissionné en raison de « désaccords », a dû resserrer les dépenses, notamment pour les déplacements.

Silence

Oria Vande Weghe, porte-parole de Mme Mushikiwabo, a refusé de donner suite aux demandes de notre Bureau d'enquête pour obtenir les plus récents documents.

« Nous préférons [...] vous référer à notre site internet où toutes nos activités sont relayées, et ce, dans la plus grande transparence », a-t-elle répondu.

Un examen méticuleux des documents disponibles révèle toutefois l'absence des rapports de vérification et d'audit. 

Les dépenses du cabinet de Mme Mushikiwabo sont également introuvables.

En 2017, Mme Jean, ex-gouverneure générale du Canada, s'est retrouvée au centre d'une controverse en raison des dépenses d'un demi-million de dollars pour l'aménagement de son appartement de fonction et de la hausse de ses frais de déplacement.


Le cabinet de la secrétaire générale, Louise Mushikiwabo, a refusé nos demandes de documents.

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19 Nov 2020

[africaforum] L’Organisation internationale de la Francophonie à la croisée des chemins

 

L'Organisation internationale de la Francophonie à la croisée des chemins

Catherine Cano by TEDxKanata (CC BY-NC-ND 2.0) — TEDxKanata, CC-BY

Francophonie : une réforme qui provoque des démissions et révocations en cascade.

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Par Isidore Kwandja Ngembo.

Depuis l'arrivée de Louise Mushikiwabo, l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) vit des changements à la fois brutaux et radicaux qui ont des incidences considérables et affectent tant les ressources humaines que la mémoire organisationnelle, ainsi que les finances de l'organisation.

Point n'est besoin de rappeler ici le grand coup de balai sous le tapis de l'organisation qui a vu partir brutalement plusieurs directeurs alors que leurs contrats de travail étaient encore valides. La purge ne s'est arrêtée qu'au personnel de direction nommé par l'administration précédente.

Les numéros deux et trois de l'organisation en ont fait également les frais. Le directeur de cabinet Nicolas Groper tout comme l'administratrice de l'OIF Catherine Cano, nommés début 2019 pour une durée de quatre ans, ont démissionné successivement en novembre 2019 et octobre 2020, en raison des grandes divergences de vues qui subsistent en ce qui concerne le mode de gestion ainsi que la culture organisationnelle.

Alors que Mme Cano était supposée venir redresser l'« opacité », le « manque de transparence », la « mauvaise gestion » de l'administration précédente, que s'est-il réellement passé pour qu'elle démissionne en catastrophe en moins de deux ans seulement ?

Pendant ce temps, la Secrétaire générale poursuit assidûment ses efforts de réforme interne, dit-elle, « pour dynamiser et rendre plus agile l'OIF, afin qu'elle puisse pleinement remplir sa mission et servir au mieux les populations de l'espace francophone, ainsi que ses États et gouvernements membres. »

Le Plan d'organisation de l'OIF pour la période 2020-2022, qui a été envoyé la semaine dernière aux Représentants personnels des chefs d'État et de gouvernement lors de la 112e session du Conseil permanent de la Francophonie (CPF) qui s'est tenue par vidéoconférence les 4 et 5 novembre derniers, au cours de laquelle on leur a demandé de l'adopter le même jour, prévoit « des recrutements, des mutations, des redéfinitions de fonctions, des non-renouvellements d'engagements de durée déterminée, des suppressions de fonctions rendues vacantes par le départ à la retraite de leurs titulaires, des suppressions d'emplois et des résiliations d'engagements. »

Mais cette fois-ci, la vague de licenciements touche les fonctionnaires nommés pour une durée indéterminée. Les échos portés par le vent qui nous parviennent de Paris à propos des changements qui s'opèrent et leur impact éventuel sur les finances de l'organisation sont très inquiétants.

Aussitôt que l'adoption du Plan d'organisation 2020-2022 a été approuvée, un jour après, le vendredi 6 novembre, une vingtaine de personnes, au siège et dans les représentations extérieures, ont été appelées au téléphone pour un rendez-vous le lundi suivant, pour se voir remettre la lettre de licenciement, ce qui ne s'est jamais vu dans toute l'histoire de l'OIF. Le Comité de personnel censé défendre les intérêts du personnel n'a été informé de cette décision que ce même lundi 9 novembre dans la matinée.

Un fait curieux à souligner, au même moment où des secrétaires sont licenciées, une nouvelle secrétaire recrutée de l'extérieur a pris fonction cette semaine à la Direction de l'administration et des finances (DAF) dont la personne qui assure les fonctions de secrétaire fait partie de la liste des personnes licenciées.

« La démission surprise, le 16 octobre 2020, de la Canadienne, Catherine Cano, de son poste d'administratrice de l'OIF, révèle une crise qui est beaucoup plus profonde qu'un simple problème relationnel. Venant d'apprendre le licenciement d'une vingtaine de membres du personnel de l'organisation, je ne peux que déplorer et avoir une pensée particulière pour chacun d'entre eux. », dixit une ex-fonctionnaire de l'OIF.

En lisant la sonnette d'alarme ci-dessous tirée par cette dame qui a travaillé pendant 32 ans pour l'OIF, on mesure bien le degré de déception de la marche actuelle de l'OIF, cinquante ans après.




En tant qu'observateur avisé qui suit attentivement depuis plusieurs années le fonctionnement de l'OIF, je partage entièrement le point de vue de madame qui croit à une crise beaucoup plus profonde qu'un simple problème relationnel.

En effet, je suis persuadé que l'administratrice n'a pas démissionné, mais a été sommée de présenter sa démission. Si tel est le cas, est-il possible que Mme Cano ait quelques squelettes dans son placard qui, une fois dévoilés, risqueraient de mettre en cause la Secrétaire générale ? Sinon, comment expliquer la virulence avec laquelle la porte-parole de la Secrétaire générale s'en prenait à la démissionnaire ?

Toute chose étant égale par ailleurs, nous sommes de ceux qui pensent que pour assurer le bon fonctionnement futur de l'Organisation, il est absolument nécessaire pour le Canada de faire toute la lumière sur le motif réel de ce départ précipité que personne n'a vu venir et de connaître ce qui s'est réellement passé pour qu'on en arrive là, avant d'envisager la nomination d'un nouvel administrateur.

De mémoire récente, l'actuelle Secrétaire générale de la Francophonie a obtenu des États et gouvernements membres, une plus grande flexibilité en matière d'embauche qu'aucun autre avant elle n'avait obtenu. C'est ainsi qu'elle avait procédé, en septembre dernier, à la nomination de sept nouveaux directeurs dans les Représentations permanentes et directions régionales, sans lancer d'appel d'offres et sans concours en vertu du Statut du personnel de l'OIF.

Toutefois, comme cela a été le cas pour plusieurs autres fonctionnaires ayant obtenu des dommages-intérêts pour les préjudices subis, il y a fort à parier sans doute que les fonctionnaires qui viennent d'être remerciés brutalement, alors que nombreux d'entre eux avaient des contrats à durée indéterminés, vont également recourir aux instances judiciaires appropriées pour faire prévaloir leurs droits et obtenir gain de cause.

Alors que l'OIF assiste impuissante à une diminution persistante des contributions volontaires à l'appui de ses activités et que certains États et gouvernements membres ne paient pas leurs contributions dans le délai requis, pour faire face aux défis auxquels sont confrontés les programmes sur le terrain, il y a lieu de craindre sérieusement que le règlement de tous ces litiges coûteux vienne aggraver davantage la situation financière de l'organisation déjà précaire.



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-“The enemies of Freedom do not argue ; they shout and they shoot.”

The principal key root causes that lead to the Rwandan genocide of 1994 that affected all Rwandan ethnic groups were:

1)The majority Hutu community’s fear of the return of the discriminatory monarchy system that was practiced by the minority Tutsi community against the enslaved majority Hutu community for about 500 years

2)The Hutu community’s fear of Kagame’s guerrilla that committed massacres in the North of the country and other parts of the countries including assassinations of Rwandan politicians.

3) The Rwandan people felt abandoned by the international community ( who was believed to support Kagame’s guerrilla) and then decided to defend themselves with whatever means they had against the advance of Kagame’ guerrilla supported by Ugandan, Tanzanian and Ethiopian armies and other Western powers.

-“The enemies of Freedom do not argue ; they shout and they shoot.”

-“The hate of men will pass, and dictators die, and the power they took from the people will return to the people. And so long as men die, liberty will never perish.”

-“The price good men pay for indifference to public affairs is to be ruled by evil men.”

-“I have loved justice and hated iniquity: therefore I die in exile.”

The Rwanda war of 1990-1994 had multiple dimensions.

The Rwanda war of 1990-1994 had multiple dimensions. Among Kagame’s rebels who were fighting against the Rwandan government, there were foreigners, mainly Ugandan fighters who were hired to kill and rape innocent Rwandan people in Rwanda and refugees in DRC.

READ MORE RECENT NEWS AND OPINIONS

SUMMARY : THE TRAGIC CONSEQUENCES OF THE BRITISH BUDGET SUPPORT AND GEO-STRATEGIC AMBITIONS

United Kingdom's Proxy Wars in Africa: The Case of Rwanda and DR Congo:

The Rwandan genocide and 6,000,000 Congolese and Hutu refugees killed are the culminating point of a long UK’s battle to expand their influence to the African Great Lakes Region. UK supported Kagame’s guerrilla war by providing military support and money. The UK refused to intervene in Rwanda during the genocide to allow Kagame to take power by military means that triggered the genocide. Kagame’s fighters and their families were on the Ugandan payroll paid by UK budget support.


· 4 Heads of State assassinated in the francophone African Great Lakes Region.
· 2,000,000 people died in Hutu and Tutsi genocides in Rwanda, Burundi and RD.Congo.
· 600,000 Hutu refugees killed in R.D.Congo, Uganda, Central African Republic and Rep of Congo.
· 6,000,000 Congolese dead.
· 8,000,000 internal displaced people in Rwanda, Burundi and DR. Congo.
· 500,000 permanent Rwandan and Burundian Hutu refugees, and Congolese refugees around the world.
· English language expansion to Rwanda to replace the French language.
· 20,000 Kagame’s fighters paid salaries from the British Budget Support from 1986 to present.
· £500,000 of British taxpayer’s money paid, so far, to Kagame and his cronies through the budget support, SWAPs, Tutsi-dominated parliament, consultancy, British and Tutsi-owned NGOs.
· Kagame has paid back the British aid received to invade Rwanda and to strengthen his political power by joining the East African Community together with Burundi, joining the Commonwealth, imposing the English Language to Rwandans to replace the French language; helping the British to establish businesses and to access to jobs in Rwanda, and to exploit minerals in D.R.Congo.



Thousands of Hutu murdered by Kagame inside Rwanda, e.g. Kibeho massacres

Thousands of Hutu murdered by Kagame inside Rwanda, e.g. Kibeho massacres
Kagame killed 200,000 Hutus from all regions of the country, the elderly and children who were left by their relatives, the disabled were burned alive. Other thousands of people were killed in several camps of displaced persons including Kibeho camp. All these war crimes remain unpunished.The British news reporters were accompanying Kagame’s fighters on day-by-day basis and witnessed these massacres, but they never reported on this.

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25,000 Hutu bodies floated down River Akagera into Lake Victoria in Uganda.

25,000  Hutu bodies  floated down River Akagera into Lake Victoria in Uganda.
The British irrational, extremist, partisan,biased, one-sided media and politicians have disregarded Kagame war crimes e.g. the Kibeho camp massacres, massacres of innocents Hutu refugees in DR. Congo. The British media have been supporting Kagame since he invaded Rwanda by organising the propaganda against the French over the Rwandan genocide, suppressing the truth about the genocide and promoting the impunity of Kagame and his cronies in the African Great Lakes Region. For the British, Rwanda does not need democracy, Rwanda is the African Israel; and Kagame and his guerilla fighters are heroes.The extremist British news reporters including Fergal Keane, Chris Simpson, Chris McGreal, Mark Doyle, etc. continue to hate the Hutus communities and to polarise the Rwandan society.

Kagame political ambitions triggered the genocide.

Kagame  political  ambitions triggered the genocide.
Kagame’s guerrilla war was aimed at accessing to power at any cost. He rejected all attempts and advice that could stop his military adventures including the cease-fire, political negotiations and cohabitation, and UN peacekeeping interventions. He ignored all warnings that could have helped him to manage the war without tragic consequences. Either you supported Kagame’ s wars and you are now his friend, or you were against his wars and you are his enemy. Therefore, Kagame as the Rwandan strong man now, you have to apologise to him for having been against his war and condemned his war crimes, or accept to be labelled as having been involved in the genocide. All key Kagame’s fighters who committed war crimes and crimes against humanity are the ones who hold key positions in Rwandan army and government for the last 15 years. They continue to be supported and advised by the British including Tony Blair, Andrew Mitchell MP, and the British army senior officials.

Aid that kills: The British Budget Support financed Museveni and Kagame’s wars in Rwanda and DRC.

Aid that kills: The British Budget Support  financed Museveni and Kagame’s wars in Rwanda and DRC.
Genocide propaganda and fabrications are used by the so-called British scholars, news reporters and investigative journalists to promote their CVs and to get income out of the genocide through the selling of their books, providing testimonies against the French, access to consultancy contracts from the UN and Kagame, and participation in conferences and lectures in Rwanda, UK and internationally about genocide. Genocide propaganda has become a lucrative business for Kagame and the British. Anyone who condemned or did not support Kagame’s war is now in jail in Rwanda under the gacaca courts system suuported by British tax payer's money, or his/she is on arrest warrant if he/she managed to flee the Kagame’s regime. Others have fled the country and are still fleeing now. Many others Rwandans are being persecuted in their own country. Kagame is waiting indefinitely for the apologies from other players who warn him or who wanted to help to ensure that political negotiations take place between Kagame and the former government he was fighting against. Britain continues to supply foreign aid to Kagame and his cronies with media reports highlighting economic successes of Rwanda. Such reports are flawed and are aimed at misleading the British public to justify the use of British taxpayers’ money. Kagame and his cronies continue to milk British taxpayers’ money under the British budget support. This started from 1986 through the British budget support to Uganda until now.

Dictator Kagame: No remorse for his unwise actions and ambitions that led to the Rwandan genocide.

Dictator Kagame: No remorse for his unwise actions and ambitions that led to the  Rwandan genocide.
No apologies yet to the Rwandan people. The assassination of President Juvenal Habyarimana by Kagame was the only gateway for Kagame to access power in Rwanda. The British media, politicians, and the so-called British scholars took the role of obstructing the search for the truth and justice; and of denying this assassination on behalf of General Kagame. General Paul Kagame has been obliging the whole world to apologise for his mistakes and war crimes. The UK’s way to apologise has been pumping massive aid into Rwanda's crony government and parliement; and supporting Kagame though media campaigns.

Fanatical, partisan, suspicious, childish and fawning relations between UK and Kagame

Fanatical, partisan, suspicious, childish and fawning relations between UK and Kagame
Kagame receives the British massive aid through the budget support, British excessive consultancy, sector wide programmes, the Tutsi-dominated parliament, British and Tutsi-owned NGOs; for political, economic and English language expansion to Rwanda. The British aid to Rwanda is not for all Rwandans. It is for Kagame himself and his Tutsi cronies.

Paul Kagame' actvities as former rebel

Africa

UN News Centre - Africa

The Africa Report - Latest

IRIN - Great Lakes

This blog reports the crimes that remain unpunished and the impunity that has generated a continuous cycle of massacres in many parts of Africa. In many cases, the perpetrators of the crimes seem to have acted in the knowledge that they would not be held to account for their actions.

The need to fight this impunity has become even clearer with the massacres and genocide in many parts of Africa and beyond.

The blog also addresses issues such as Rwanda War Crimes, Rwandan Refugee massacres in Dr Congo, genocide, African leaders’ war crimes and crimes against humanity, Africa war criminals, Africa crimes against humanity, Africa Justice.

-The British relentless and long running battle to become the sole player and gain new grounds of influence in the francophone African Great Lakes Region has led to the expulsion of other traditional players from the region, or strained diplomatic relations between the countries of the region and their traditional friends. These new tensions are even encouraged by the British using a variety of political and economic manoeuvres.

-General Kagame has been echoing the British advice that Rwanda does not need any loan or aid from Rwandan traditional development partners, meaning that British aid is enough to solve all Rwandan problems.

-The British obsession for the English Language expansion has become a tyranny that has led to genocide, war crimes and crimes against humanity, dictatorial regimes, human rights violations, mass killings, destruction of families, communities and cultures, permanent refugees and displaced persons in the African Great Lakes region.


- Rwanda, a country that is run by a corrupt clique of minority-tutsi is governed with institutional discrmination, human rights violations, dictatorship, authoritarianism and autocracy, as everybody would expect.