The dictator Kagame at UN

The dictator Kagame at UN
Dictators like Kagame who have changed their national constitutions to remain indefinitely on power should not be involved in UN high level and global activities including chairing UN meetings

Why has the UN ignored its own report about the massacres of Hutu refugees in DRC ?

The UN has ignored its own reports, NGOs and media reports about the massacres of hundreds of thousands of Hutu in DRC Congo (estimated to be more than 400,000) by Kagame when he attacked Hutu refugee camps in Eastern DRC in 1996. This barbaric killings and human rights violations were perpetrated by Kagame’s RPF with the approval of UK and USA and with sympathetic understanding and knowledge of UNHCR and international NGOs which were operating in the refugees camps. According to the UN, NGO and media reports between 1993 and 2003 women and girls were raped. Men slaughtered. Refugees killed with machetes and sticks. The attacks of refugees also prevented humanitarian organisations to help many other refugees and were forced to die from cholera and other diseases. Other refugees who tried to return to Rwanda where killed on their way by RFI and did not reach their homes. No media, no UNHCR, no NGO were there to witness these massacres. When Kagame plans to kill, he makes sure no NGO and no media are prevent. Kagame always kills at night.

9 May 2014

[RwandaLibre] Fw: *DHR* La musique rwandaise : Miroir de tout un peuple

 




----- Forwarded Message -----
From: "Agnès Murebwayire agnesmurebwayire@yahoo.fr [Democracy_Human_Rights]" <Democracy_Human_Rights@yahoogroupes.fr>
To: "Democracy_Human_Rights@yahoogroupes.fr" <Democracy_Human_Rights@yahoogroupes.fr>
Sent: Friday, 9 May 2014, 13:20
Subject: *DHR* La musique rwandaise : Miroir de tout un peuple

 


Analyse de la musique rwandaise par l'internaute Faustin Kabanza. Vendredi 9 mai 2014

+ Intwali yaratabaye (Impala)

http://www.afriquinfos.com/articles/2014/5/9/musique-rwandaise-miroir-tout-peuple-252658.asp

http://m.youtube.com/watch?v=pvnpdq3Oavk

La musique rwandaise n'est pas une musique comme une autre. Elle est capable du pire et du meilleur, peut-on penser ! Cette musique dont on parle peu, a été pourtant active, depuis très longtemps, dans la vie sociopolitique du pays.

La musique rwandaise n'a pas été épargnée, en revanche, par le génocide et les massacres des années 94, elle a payé un très lourd tribut ! Les grandes personnalités musicales, tutsi et hutu tuées en ces périodes noires, restent gravées dans la mémoire des rwandais. Pourra-t-on oublier le chanteur Cyprien Rugamba avec son groupe « Amasimbi n'amakombe » ? Les chanteurs/guitaristes Rodrigue Karemera, André Sebanani, Loti Bizimana et d'autres encore s'effaceront-ils de la mémoire des rwandais?

Ces périodes tragiques ont latéralement détruit tous les groupes musicaux appelés à l'époque « Orchestres ». Ces derniers sillonnaient le pays pour donner des concerts à des populations, même situées dans les contrées les plus difficilement accessibles. C'était, à l'époque, une vraie rencontre entre la musique et le peuple. Là aussi, les grands noms restent des monuments de l'histoire musicale du Rwanda. Les orchestres Impala, abamararungu, Nyampinga, Les citadins, et beaucoup d'autres n'ont pas pu relever la tête après ces drames.

En parallèle avec cette musique plutôt moderne, la musique rwandaise est aussi riche de la chanson traditionnelle. Cette dernière s'accompagne des instruments fabriqués par les rwandais (ingoma : tambours, iningiri : sorte de violon monocorde, Umuduri : arc musical, inanga : cithare sur cuvette, etc.). Pour plus d'information sur les instruments traditionnels, lire Les instruments de musique du Rwanda: étude ethnomusicologique, par Jos Gansemans).

Musique rwandaise, espace d'expression libre ?

Dans un pays où la liberté d'expression a été mise en mal depuis très longtemps, seuls les artistes parviennent à faire passer leur message, au travers de leurs styles qui échappent subrepticement à la surveillance des politiques.

Les artistes rwandais en particulier les musiciens, savent manier le langage dans une symbolisation très imagée. Ce maniement de la pensée et de la langue n'est pas que propre aux artistes. Tous les rwandais ont appris, suite aux souffrances de leur histoire, à s'en servir tant dans le bien que dans le mal ! Cette façon d'être, de penser, d'agir et de s'exprimer propre aux rwandais rend plus difficile l'accès à la mentalité rwandaise. De là, les rwandais ne cessent de répéter à juste titre que la communauté internationale n'a, jusque-là, rien compris de l'énigme rwandaise.

Dans une chanson « Ikantarange » : le très-lointain (dans l'espace), Loti Bizimana se sert de la symbolisation pour véhiculer son message s'insurgeant contre l'injustice dans les années 1990. Le chanteur s'adresse donc à ce personnage imaginaire « ikantarange ». Celui-ci est en effet un lieu symbolique où une catégorie de gens vit dans l'abondance alors que d'autres en face, sont dans la misère et dans la souffrance. Il termine sa chanson par cette phrase que l'on traduirait approximativement en français : personne ne maîtrise l'avenir, tout peut basculer d'un jour à l'autre : « Dore ko byinshi by'ubu buzima ntawe ubizi, bucyanayandi ni umwana w'umunyarwanda ». Le pouvoir politique de l'époque saisissait-il sur le vif le contenu et le sens de cette chanson ? S'était-il senti concerné ?

Une musique pédagogique et préventive

Cyprien Rugamba, un autre chanteur très populaire, poète et historien de formation est talentueux dans l'usage du langage imagé. Au-delà de la symbolique, c'est surtout le message pédagogique véhiculé par ses chansons qui retient l'attention. Dans la fable chantée « agaca : épervier », l'auteur intrigue par la mise en scène des volailles, des rapaces et des êtres humains (rwandais). Cette composition date aussi des années 90, la période où l'avenir du Rwanda présageait de mauvais augures. La leçon qui en découle sera toujours d'actualité. Il le dit en ces termes :

Jya wihisha ushyire kera ngo urusha abandi ubwenge Tu te caches (derrière tes mauvais actes) et tu crois que tu es le plus habile de tous,

Ukomeze wice abantu mu mayeri Tu continues à tuer discrètement (tes compatriotes)

Umunsi utabikeka uzakacirwa Le jour viendra où tu seras traqué

Nugira ngo urahunga bibe iby'ubusa Tu auras tenté d'échapper mais en vain.

Jya wirinda iby'abandi Désormais, évite le bien d'autrui

Itegeko urigire intwaro urikurikire cyane winumire. Que la loi devienne ton arme, pour le reste tu seras bien tranquille.

La culture rwandaise vue dans son univers pluridimensionnel n'a pas échappé à la création musicale. L'unité linguistique (kinyarwanda langue unique de tous les rwandais) inspire beaucoup de musiciens qui la considèrent, à tort ou à raison, comme élément de cohésion sociale. Hélas, elle n'pas toujours joué son rôle. Elle a participé, à bien des égards, à la dislocation de cette unité, au point de penser que le plurilinguisme aurait pu mieux gérer le conflit rwandais.

D'autres groupes et individus ont chanté certaines valeurs notamment « les salutations en kinyarwanda », une des particularités identitaires des rwandais. Mboneye Eulade dans sa composition « Indamutso : salutations », chante presque intégralement les diverses formules de salutations existant dans la culture rwandaise. Il interpelle les jeunes pour mieux garder ce patrimoine intergénérationnel. On doit veiller à ce qu'il ne soit envahi ou supplanté par des cultures intrusives. Quelques unes des ses salutations en rwandais :

- Muraho/muraho namwe/yego : - Vous êtes vivants ? Réplique : Renvoie à la même formule « -Vous êtes vivants vous aussi » ou simplement répondre « oui »

- Gira son na nyoko - Aies ton père et ta mère

- Gira abana, gira umugabo/umugore - Aies les enfants, Aies un mari/ aies une femme (des vœux pour fonder une famille)

- (Gira Imana y'i Rwanda) - Aies le dieu du Rwanda

- Amashyo / - Amashongore - Aies beaucoup de troupeaux de vaches, Réplique : - Surtout les femelles

- Mwabonye Imana icyingura - Avez-vous vu Dieu ouvrir (la porte ?) ?

- Murare aharyana - Dormez dans un lieu qui vous démange (ceci signifie que pendant le sommeil, il faut être capable de réagir contre les bestioles qui vous piquent dans le lit. Etre capable de se mouvoir pendant le sommeil. Par cette salutation, on vous souhaite de se maintenir en vie au cours de ce passage inconscient proche de la mort)

La musique rwandaise joue également un très grand rôle dans la vie du citoyen ordinaire. Elle critique certains travers et abus qui relèvent du quotidien, notamment le manque d'hygiène, les dépenses démesurées, la paresse, l'exode rural, le célibat sans fin, etc.

Après 1994, un autre type de musique est née notamment à travers la chanson. La forme et les thèmes ne sont plus les mêmes. De nouveaux musiciens s'installent. Le thème de la douleur et de la tristesse est très présent chez certains (Nyiranyamibwa), celui de la victoire du FPR prédomine chez d'autres (Muyango). En tout cas, ces deux thèmes ont archidominé le premier quinquennat. Cette période a été suivie d'une certaine mutation thématique. A partir des années 2000, un certain nombre d'artistes évoquent, avec un certain recul, des thèmes de la réconciliation, de la vie des rescapées, de la vie dans les prisons, etc. Alexandre Kagambage chante, à titre d'exemple, « Ikiremwamuntu nicyubahwe :(Que les droits humains soient respectés). Cette chanson reprend sans détours les principes fondamentaux des droits humains. Certains passages retiennent plus particulièrement l'attention :

- « Nta guhanwa udahamwa icyaha, nta guhezwa mu buroko nta cyo ushinjwa (La justice ne doit pas condamner sans preuve, on doit éviter de garder en prison un innocent)

- Utotezwa ahabwe uburenganzira bwo guhungira aho ashaka… (une personne victime de menaces devrait bénéficier du droit d'asile dans un pays de son choix…)

- Ntawe ugomba guhezwa cyangwa abuzwe kuyoboka amadini n'amashyaka iyo bidahungabanya umutekano(Personne ne doit être victime du choix de sa religion ou de son parti politique lorsque ces derniers ne troublent pas l'ordre public) …

Les artistes Masabo Nyangezi, Jean Baptiste Byumvuhore, Kizito Mihigo, et d' autres encore lancent un appel sans précédent pour une réconciliation à part entière. Outre les rwandais qui ont été tués dans le génocide des tutsi, ces artistes (hutu et tutsi) semblent dire, dans certaines de leurs chansons, qu'il existe d'autres rwandais tués dans la même période (par vengeance, morts en prison, par les maladies inhérentes à la guerre, etc.) et qu'il ne faudrait pas les oublier. Certains de leurs titres sont plus expressifs que d'autres, en l'occurrence Bose tubibuke (Mémoire pour tous de Masabo), Nanjye ga ndibuka (Et moi aussi je peux avoir ce droit de mémoire de Jean Baptiste Byumvuhore) et tout récemment Igisobanuro cy'urupfu (explication de la mort de Kizito Mihigo).

De la commande à la pression politique :

Un art aussi populaire ne peut échapper, au Rwanda en tout cas, aux commendes et à l'instrumentalisation des pouvoirs politiques. Quand ces derniers ne parviennent pas à ce genre de manœuvres, ils passent à l'échelon supérieur, celui des menaces. Avant 1994, certains artistes ont été censurés, mis en prison, séquestrés et parfois tuées sous prétexte interprétatif que telle ou telle chanson prétend soutenir l'ennemie (le FPR à l'époque). D'autres musiciens ont été la cible de la commende ou de la menace et ont cédé vaille que vaille à l'instrumentalisation. Ils ont tour à tour chanté les personnages politiques en déroute. Ils ont de temps en autre venté les mérites des pouvoirs défaillants ou simplement ont soutenu, par le chant, les politiques qui conduisaient clairement à l'échec.

La question majeure est de savoir, dans un contexte actuel, si ce passé récent aura donné un certain nombre de leçons aux artistes et aux pouvoirs actuels et futurs. L'avenir le dira certainement. En tout état de cause, la musique et les musiciens rwandais sont la richesse nationale à préserver, eu égard à leur rôle dans une société déchirée par les conflits cycliques.

Bref, on ne saurait prétendre, par ces quelques lignes, avoir tout dit sur la musique rwandaise (ancienne et moderne). Il s'agit simplement d'un avant-goût qui permettra, au fil du temps, d'exploiter cette sublime richesse culturelle.

Une chose est sûre, autant les rwandais écoutent leur musique, autant celle-ci semble à son tour les écouter et prendre parfois de l'avance sur eux. C'est une musique capable d'anticiper et d'éclairer mais aussi une musique susceptible de tomber dans les errements, surtout quand elle est manipulée par les mains et les esprits dépourvus de toute dextérité artistique.

Envoyé de mon iPad

__._,_.___
Reply via web post Reply to sender Reply to group Start a New Topic Messages in this topic (1)

=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=--=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-
.To post a message: RwandaLibre@yahoogroups.com; .To join: RwandaLibre-subscribe@yahoogroups.com; .To unsubscribe from this group,send an email to:
RwandaLibre-unsubscribe@yahoogroups.com
_____________________________________________________

More news:  http://www.amakurunamateka.com ; http://www.ikangurambaga.com ; http://rwandalibre.blogspot.co.uk
--------------------------------------------------------------------------------------
-SVP, considérer  environnement   avant toute  impression de  cet e-mail ou les pièces jointes.
======
-Please consider the environment before printing this email or any attachments.
--------------------------------------------------------------------------------------

Sponsors:

http://www.rencontressansfrontieres.com
http://www.intimitesafricaines.com
http://www.foraha.net
-=-=-=--=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-==-

.

__,_._,___

No comments:

Post a Comment

Note: only a member of this blog may post a comment.

-“The enemies of Freedom do not argue ; they shout and they shoot.”

The principal key root causes that lead to the Rwandan genocide of 1994 that affected all Rwandan ethnic groups were:

1)The majority Hutu community’s fear of the return of the discriminatory monarchy system that was practiced by the minority Tutsi community against the enslaved majority Hutu community for about 500 years

2)The Hutu community’s fear of Kagame’s guerrilla that committed massacres in the North of the country and other parts of the countries including assassinations of Rwandan politicians.

3) The Rwandan people felt abandoned by the international community ( who was believed to support Kagame’s guerrilla) and then decided to defend themselves with whatever means they had against the advance of Kagame’ guerrilla supported by Ugandan, Tanzanian and Ethiopian armies and other Western powers.

-“The enemies of Freedom do not argue ; they shout and they shoot.”

-“The hate of men will pass, and dictators die, and the power they took from the people will return to the people. And so long as men die, liberty will never perish.”

-“The price good men pay for indifference to public affairs is to be ruled by evil men.”

-“I have loved justice and hated iniquity: therefore I die in exile.”

The Rwanda war of 1990-1994 had multiple dimensions.

The Rwanda war of 1990-1994 had multiple dimensions. Among Kagame’s rebels who were fighting against the Rwandan government, there were foreigners, mainly Ugandan fighters who were hired to kill and rape innocent Rwandan people in Rwanda and refugees in DRC.

READ MORE RECENT NEWS AND OPINIONS

SUMMARY : THE TRAGIC CONSEQUENCES OF THE BRITISH BUDGET SUPPORT AND GEO-STRATEGIC AMBITIONS

United Kingdom's Proxy Wars in Africa: The Case of Rwanda and DR Congo:

The Rwandan genocide and 6,000,000 Congolese and Hutu refugees killed are the culminating point of a long UK’s battle to expand their influence to the African Great Lakes Region. UK supported Kagame’s guerrilla war by providing military support and money. The UK refused to intervene in Rwanda during the genocide to allow Kagame to take power by military means that triggered the genocide. Kagame’s fighters and their families were on the Ugandan payroll paid by UK budget support.


· 4 Heads of State assassinated in the francophone African Great Lakes Region.
· 2,000,000 people died in Hutu and Tutsi genocides in Rwanda, Burundi and RD.Congo.
· 600,000 Hutu refugees killed in R.D.Congo, Uganda, Central African Republic and Rep of Congo.
· 6,000,000 Congolese dead.
· 8,000,000 internal displaced people in Rwanda, Burundi and DR. Congo.
· 500,000 permanent Rwandan and Burundian Hutu refugees, and Congolese refugees around the world.
· English language expansion to Rwanda to replace the French language.
· 20,000 Kagame’s fighters paid salaries from the British Budget Support from 1986 to present.
· £500,000 of British taxpayer’s money paid, so far, to Kagame and his cronies through the budget support, SWAPs, Tutsi-dominated parliament, consultancy, British and Tutsi-owned NGOs.
· Kagame has paid back the British aid received to invade Rwanda and to strengthen his political power by joining the East African Community together with Burundi, joining the Commonwealth, imposing the English Language to Rwandans to replace the French language; helping the British to establish businesses and to access to jobs in Rwanda, and to exploit minerals in D.R.Congo.



Thousands of Hutu murdered by Kagame inside Rwanda, e.g. Kibeho massacres

Thousands of Hutu murdered by Kagame inside Rwanda, e.g. Kibeho massacres
Kagame killed 200,000 Hutus from all regions of the country, the elderly and children who were left by their relatives, the disabled were burned alive. Other thousands of people were killed in several camps of displaced persons including Kibeho camp. All these war crimes remain unpunished.The British news reporters were accompanying Kagame’s fighters on day-by-day basis and witnessed these massacres, but they never reported on this.

Jobs

Download Documents from Amnesty International

25,000 Hutu bodies floated down River Akagera into Lake Victoria in Uganda.

25,000  Hutu bodies  floated down River Akagera into Lake Victoria in Uganda.
The British irrational, extremist, partisan,biased, one-sided media and politicians have disregarded Kagame war crimes e.g. the Kibeho camp massacres, massacres of innocents Hutu refugees in DR. Congo. The British media have been supporting Kagame since he invaded Rwanda by organising the propaganda against the French over the Rwandan genocide, suppressing the truth about the genocide and promoting the impunity of Kagame and his cronies in the African Great Lakes Region. For the British, Rwanda does not need democracy, Rwanda is the African Israel; and Kagame and his guerilla fighters are heroes.The extremist British news reporters including Fergal Keane, Chris Simpson, Chris McGreal, Mark Doyle, etc. continue to hate the Hutus communities and to polarise the Rwandan society.

Kagame political ambitions triggered the genocide.

Kagame  political  ambitions triggered the genocide.
Kagame’s guerrilla war was aimed at accessing to power at any cost. He rejected all attempts and advice that could stop his military adventures including the cease-fire, political negotiations and cohabitation, and UN peacekeeping interventions. He ignored all warnings that could have helped him to manage the war without tragic consequences. Either you supported Kagame’ s wars and you are now his friend, or you were against his wars and you are his enemy. Therefore, Kagame as the Rwandan strong man now, you have to apologise to him for having been against his war and condemned his war crimes, or accept to be labelled as having been involved in the genocide. All key Kagame’s fighters who committed war crimes and crimes against humanity are the ones who hold key positions in Rwandan army and government for the last 15 years. They continue to be supported and advised by the British including Tony Blair, Andrew Mitchell MP, and the British army senior officials.

Aid that kills: The British Budget Support financed Museveni and Kagame’s wars in Rwanda and DRC.

Aid that kills: The British Budget Support  financed Museveni and Kagame’s wars in Rwanda and DRC.
Genocide propaganda and fabrications are used by the so-called British scholars, news reporters and investigative journalists to promote their CVs and to get income out of the genocide through the selling of their books, providing testimonies against the French, access to consultancy contracts from the UN and Kagame, and participation in conferences and lectures in Rwanda, UK and internationally about genocide. Genocide propaganda has become a lucrative business for Kagame and the British. Anyone who condemned or did not support Kagame’s war is now in jail in Rwanda under the gacaca courts system suuported by British tax payer's money, or his/she is on arrest warrant if he/she managed to flee the Kagame’s regime. Others have fled the country and are still fleeing now. Many others Rwandans are being persecuted in their own country. Kagame is waiting indefinitely for the apologies from other players who warn him or who wanted to help to ensure that political negotiations take place between Kagame and the former government he was fighting against. Britain continues to supply foreign aid to Kagame and his cronies with media reports highlighting economic successes of Rwanda. Such reports are flawed and are aimed at misleading the British public to justify the use of British taxpayers’ money. Kagame and his cronies continue to milk British taxpayers’ money under the British budget support. This started from 1986 through the British budget support to Uganda until now.

Dictator Kagame: No remorse for his unwise actions and ambitions that led to the Rwandan genocide.

Dictator Kagame: No remorse for his unwise actions and ambitions that led to the  Rwandan genocide.
No apologies yet to the Rwandan people. The assassination of President Juvenal Habyarimana by Kagame was the only gateway for Kagame to access power in Rwanda. The British media, politicians, and the so-called British scholars took the role of obstructing the search for the truth and justice; and of denying this assassination on behalf of General Kagame. General Paul Kagame has been obliging the whole world to apologise for his mistakes and war crimes. The UK’s way to apologise has been pumping massive aid into Rwanda's crony government and parliement; and supporting Kagame though media campaigns.

Fanatical, partisan, suspicious, childish and fawning relations between UK and Kagame

Fanatical, partisan, suspicious, childish and fawning relations between UK and Kagame
Kagame receives the British massive aid through the budget support, British excessive consultancy, sector wide programmes, the Tutsi-dominated parliament, British and Tutsi-owned NGOs; for political, economic and English language expansion to Rwanda. The British aid to Rwanda is not for all Rwandans. It is for Kagame himself and his Tutsi cronies.

Paul Kagame' actvities as former rebel

Africa

UN News Centre - Africa

The Africa Report - Latest

IRIN - Great Lakes

This blog reports the crimes that remain unpunished and the impunity that has generated a continuous cycle of massacres in many parts of Africa. In many cases, the perpetrators of the crimes seem to have acted in the knowledge that they would not be held to account for their actions.

The need to fight this impunity has become even clearer with the massacres and genocide in many parts of Africa and beyond.

The blog also addresses issues such as Rwanda War Crimes, Rwandan Refugee massacres in Dr Congo, genocide, African leaders’ war crimes and crimes against humanity, Africa war criminals, Africa crimes against humanity, Africa Justice.

-The British relentless and long running battle to become the sole player and gain new grounds of influence in the francophone African Great Lakes Region has led to the expulsion of other traditional players from the region, or strained diplomatic relations between the countries of the region and their traditional friends. These new tensions are even encouraged by the British using a variety of political and economic manoeuvres.

-General Kagame has been echoing the British advice that Rwanda does not need any loan or aid from Rwandan traditional development partners, meaning that British aid is enough to solve all Rwandan problems.

-The British obsession for the English Language expansion has become a tyranny that has led to genocide, war crimes and crimes against humanity, dictatorial regimes, human rights violations, mass killings, destruction of families, communities and cultures, permanent refugees and displaced persons in the African Great Lakes region.


- Rwanda, a country that is run by a corrupt clique of minority-tutsi is governed with institutional discrmination, human rights violations, dictatorship, authoritarianism and autocracy, as everybody would expect.