The dictator Kagame at UN

The dictator Kagame at UN
Dictators like Kagame who have changed their national constitutions to remain indefinitely on power should not be involved in UN high level and global activities including chairing UN meetings

Why has the UN ignored its own report about the massacres of Hutu refugees in DRC ?

The UN has ignored its own reports, NGOs and media reports about the massacres of hundreds of thousands of Hutu in DRC Congo (estimated to be more than 400,000) by Kagame when he attacked Hutu refugee camps in Eastern DRC in 1996. This barbaric killings and human rights violations were perpetrated by Kagame’s RPF with the approval of UK and USA and with sympathetic understanding and knowledge of UNHCR and international NGOs which were operating in the refugees camps. According to the UN, NGO and media reports between 1993 and 2003 women and girls were raped. Men slaughtered. Refugees killed with machetes and sticks. The attacks of refugees also prevented humanitarian organisations to help many other refugees and were forced to die from cholera and other diseases. Other refugees who tried to return to Rwanda where killed on their way by RFI and did not reach their homes. No media, no UNHCR, no NGO were there to witness these massacres. When Kagame plans to kill, he makes sure no NGO and no media are prevent. Kagame always kills at night.

18 Apr 2014

[RwandaLibre] Fw: *DHR* Rwanda-France: le candidat de l'opposition aux élections présidentielles de 2017 s'exprime.

 



----- Forwarded Message -----
From: MUSABYIMANA JEAN DE DIEU <musajados@yahoo.fr>
T
Sent: Friday, 18 April 2014, 11:12
Subject: *DHR* Rwanda-France: le candidat de l'opposition aux élections présidentielles de 2017 s'exprime.

 

Le Candidat de l'opposition rwandaise aux élections présidentielles de 2017  s'exprime vis-à-vis des accusations aberrantes de Kagame contre la France:


J'accuse la France. T. Nahimana.



Parution: Thursday 17 April 2014, 21:28
Par:Thomas Nahimana.




Oui, j'accuse la France d'avoir permis au Général Paul Kagame de prendre le pouvoir par la force et  contribué, par son silence, à perpétuer   une dictature sanguinaire basée  sur le mensonge,le terrorisme et le chantage. Il n'y a aucune ombre de doute, au sujet du Rwanda, la France est d'une certaine façon coupable. Elle est réellement responsable, non pas de ce dont l'accuse Paul Kagame, à savoir : d'avoir participé à la planification et à l'exécution du génocide contre les Tutsi de 1994. C'est tout le contraire.
La France est plutôt responsable d'avoir été trop clémente, voire complaisante envers « la plus meurtrière des organisations terroristes » dite FPR-Inkotanyi qui devait par la suite mettre à feu et à sang  le Rwanda et  toute la Région Africaine des Grands Lacs.
Si la France devait être reconnue coupable, ce serait donc au motif d'avoir  précipitamment abandonné le peuple rwandais, rendant ainsi possible  l'assassinat du Président Juvénal  Habyarimana et la défaite militaire de l'armée d'un gouvernement légal et dont la communauté internationale  ne contestait  pas la légitimité. Cela eut pour conséquence le désarroi et la destruction durable de tout un peuple.
  
I. Les principaux motifs  qui me permettent de formuler cet acte d'accusation sont les suivants :
 
(1) La France et la Belgique ont participé largement à la construction du Rwanda moderne.
(2) La France n'ignorait rien de l'histoire du Rwanda, des tensions, frustrations et ressentiments internes  et de l'équilibre soco-politique très fragile, particulièrement mis à mal par la guerre lancée contre le Rwanda par des hauts officiers de l'armée ougandaise à partir du 1.10.1990, bénéficiant de l'immense appui diplomatique et logistique du Président ougandais Yoweri Kaguta Museveni.
(3) De par son expertise et au vu de la particulière gravité des exactions commises par la rébellion au fur de l'évolution de la guerre, la France devait savoir, plus  qu'aucun autre pays,  que Paul Kagame à la tête de la rébellion, était un vrai danger pour ne pas dire une peste, pour la paix et la stabilité du peuple rwandais et des peuples de toute la Région Africaine des  Grands Lacs.
(4) La France avait signé avec le gouvernement rwandais légal et légitime divers accords de coopération militaire. A ce titre, la présence du contingent français avait toujours été d'un grand secours et rassurait le peuple rwandais dès les débuts de la guerre de 1990.
 
(5) La France ne peut pas prétendre qu'elle  ne savait pas que le respect voire le renforcement de ses engagements de coopération militaire était indubitablement susceptible de retarder, d'arrêter ou même de détruire  en tout ou en partie les ardeurs de la rébellion de Paul Kagame qui cherchait à prendre le pouvoir même au prix d'un bain de sang sans précédent .
 
Pourtant, au moment le plus critique de l'histoire du Rwanda,  la France a pris une décision historique  de rapatrier  son contingent,  en 1993,  laissant à Paul Kagame libre champ pour abattre l'avion du Président Habyarimana, au soir du 06/04 /1994. Et plus personne ne pouvait arrêter les forces des ténèbres qui allaient s'abattre sans ménagement sur le Rwanda. Rappelons que cet acte terroriste est  reconnu par l'ONU, comme déclencheur du génocide.
 
Bref, s'il faut accuser la France, se serait d'avoir cédé  aux pressions aveugles et aux manipulations habiles des pêcheurs en eaux troubles, alors qu'elle savait être la seule digue pouvant empêcher le déchaînement de la  violence génocidaire. On est même en droit d'accuser la France pour ne pas avoir usé de son poids au Nations Unies et faire ordonner une enquête internationale en vue de clarifier les circonstances de l'attentat de l'avion du Président Habyarimana, en date du 6 avril 1994, lequel attentat est reconnu comme l'acte terroriste déclencheur du génocide rwandais.
 
II. Toutefois, nous sommes de nombreux rwandais à  vouloir témoigner, estimant  que la France  n'a pas agi par calcul malveillant.
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1.Nous n'ignorons pas que  le contexte politique de cohabitation  en France d'alors n'était pas de nature à faciliter le processus de prise de décisions et la gestion lucide et saine  des dossiers chauds et très complexes comme celui du Rwanda. Nous reconnaissons également  que l'infiltration progressive par des agents du FPR  gangrenait les institutions politiques de la République du Rwanda  et  paralysait de plus en plus l'action du gouvernement de Habyarimana obligé de se battre simultanément  sur deux fronts : celui de la guerre armée avec le FPR et celui d'une ouverture hâtive et imposée en temps de guerre par la France,  à une opposition politique interne essentiellement  novice, revancharde et quasi irresponsable. 
 
2.Si la France devait donc être accusée, ce ne serait certainement pas par le dictateur Paul Kagame qui est de toute évidence  le vrai planificateur, le seul commanditaire et bénéficiaire des malheurs du peuple rwandais.
 
3.Par ailleurs, force est de reconnaître  que le Gouvernement Français fut le seul à comprendre plus rapidement et à mesurer adéquatement  l'ampleur des malheurs qui frappaient de plein fouet le peuple rwandais après l'assassinant tragique du Président Juvénal Habyarimana. En dépêchant l'opération Turquoise avec l'aval de l'ONU, la France a posé un acte de courage et hautement humanitaire qui a sauvé des millions de vies, Hutu et Tutsi, même si Kagame fait tout ce qui est en son pouvoir pour occulter cette réussite de l'Opération Turquoise qu'il ne souhaitait pas.
4.J'étais moi-même présent à Cyangugu (Sud-Ouest du Rwanda) en ce moment-là. Nous avons logé des officiers français au presbytère de Mushaka pendant quelques jours. Nous avons mangé et parlé avec eux. Nous avons vu des Français ouvrir le feu sur des irréductibles Interahamwe pour arracher des Tutsi  de leurs griffes. Nous les avons vus  récupérer des Tutsi cachés dans des trous, forêts et bananeraies et les mettre en sécurité.  J'en connais qui sont toujours en vie, et pourraient eux-mêmes témoigner. Les centaines de Tutsi sauvés de justesse  du camp de Nyarushishi auront-t-ils oublié l'intervention salutaire de l'armée française ? Nous avons régulièrement visité l'hôpital militaire français au Stade Kamarampaka (le seul opérationnel dans toute la région de Cyangugu durant cette période sombre) où des soldats français  s'acharnaient, 24h/24h, à panser des milliers de blessés, à assister des femmes en accouchement, à sauver des vies.  J'y ai moi-même acheminé un membre de ma famille "cassé" par des Interahamwe : il n'a pas pu être sauvé mais le labeur bienveillant des médecins français qui s'en sont occupés n'a pas échappé à notre attention. Qu'ils trouvent ici l'expression de toute notre profonde gratitude.
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5.En somme, avant de permettre au dictateur Paul Kagame de faire de la France son adorable bouc-émissaire, il faut s'arrêter un peu,  réfléchir froidement et trouver une solution sérieuse à ce qui semble être devenue une énigme.  Car, la réalité du génocide rwandais est un cas d'école. Il reste un problème essentiel que Paul Kagame, ses partisans et les lobbies à sa solde devraient nous aider  à élucider : le Rwanda compte 7,8 millions d'habitants  en 1994. Officiellement, les Hutu sont 85%, les Tutsi 14 %, et les Twa 1%. Quel cerveau  peut concevoir et expliquer comment une MINORITE de 14 % (tutsi), en train d'être victime d'un génocide sans précèdent (on avance le chiffre de 800 000 morts en 100 jours),  A PU, au même moment (avril-juillet 1994), et dans le même pays (Rwanda),   prendre le pouvoir, et de surcroît par la force des armes ?  Qui est la plus forte des deux  parties, après quatre années de guerre fatricide(1990-1994) : le gouvernement vaincu de Habyarimana ou le FPR vainqueur ? Qui est réellement  victime, qui est exactement bourreau ? Y-a-t-il d'autres cas  connus où un  génocide a pu être  exécuté par la partie la plus faible contre la plus forte ? Autant s'imaginer la situation d'un Hitler vaincu militairement  par les Juifs au moment où il les extermine dans des camps de concentration. Et si, au mépris de la logique la plus élémentaire,  cela arrivait, la qualification des faits ne tiendrait-elle pas compte d'un tel revirement ? Dans le cas précis du génocide rwandais, pourquoi la communauté internationale se sent-elle absolument obligée d'escamoter de nombreuses zones d'ombres  qui pourraient pourtant  aider à nommer correctement les choses et  à établir  justement les responsabilités ?
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6.Si aujourd'hui le dictateur Paul Kagame accuse la France,  c'est qu'il a ses raisons liées essentiellement à la honte, à la peur, à la rancune et à la jalousie. Il meurt de honte parce qu'il sait que la France connaît exactement ce que la rébellion du FPR a fait comme dégâts. Il a peur que la justice française ne le poursuive pour ses nombreux crimes de guerre et crimes contre l'humanité, notamment l'acte terroriste déclencheur du génocide qui a également coûté la vie  à deux présidents en exercice, Juvénal Habyarimana du Rwanda et Cyprien Ntaryamira du Burundi, à trois français membres de l'équipage,  et à beaucoup d'autres personnalités. Paul Kagame est rongé par la rancune et la jalousie parce que la France l'a empêché de mettre totalement à exécution un plan machiavélique qu'il avait conçu de longue date. Ce plan visait à prendre le pouvoir très facilement et très rapidement après  avoir massacré des millions de Hutu et  sacrifié  des milliers de Tutsi qui ne l'avaient pas suivi en exile , ceux-là même que les hauts responsables du FPR avaient la manie notoire d'assimiler aux Hutu.
7.Disons les choses en toute simplicité : Si la France n'avait pas été présente au Rwanda au tout début de la guerre,  et si elle n'était pas intervenue via l'opération Turquoise, au lieu de ne pleurer que deux millions de morts, 20 ans après, le Rwanda serait toujours en train d'enterrer cinq ou six millions de morts car Paul Kagame avait, dès otobre 10 /1990,  l'intention bien arrêtée d'exterminer le plus grand nombre possible de Hutu pour pouvoir gouverner indéfiniment le pays,  la majorité hutu étant devenue minorité, par la force de l'épée. Paul Kagame   l'a publiquement avoué en date du 7 avril 2007 : « Je regrette que nous n'ayons pas le temps de décharger toute notre rancœur sur ceux-là  qui sont malheureusement parvenus à s'échapper… ».  Son plan était plutôt celui-là, il le reste,  même après la boucherie dont son armée s'est rendue coupable  au Congo depuis 1996 jusqu'à nos jours, emportant plus d'un million de réfugiés Hutu rwandais et plus de 6000 000 Congolais. D'ailleurs, le Rapport Mapping de l'ONU rendu public en date du 1/10/2010 allait accuser l'armée patriotique rwandaise sous les ordres de Paul Kagame d'avoir carrément commis un génocide contre les hutu, au Congo. J'ose espérer que ces crimes ne resteront pas longtemps impunis  car « les faits sont têtus » !
 
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8.Plus révoltante encore est l'attitude du Président Ougandais, Yoweri Kaguta Museveni, qui n'hésite plus à vanter publiquement sa complicité criminelle  avec le dictateur Paul Kagame. C'est ainsi qu'en date du 7 avril 2014, lors des cérémonies de la commémoration à Kigali du 20è anniversaire du génocide, il a  fait une déclaration fracassante qui étonna plus d'un. En effet, après une diatribe acerbe contre les « traîtres Bantous (Hutu)»  et « les génocidaires européens (Français et Belges)», il a ajouté : "Nous [Kaguta et Kagame] sommes plus que jamais forts politiquement, économiquement et militairement » et, sous-entendu, nous pouvons détruire définitivement les   peuples  bantous, dans la plus grande indifférence de la communauté internationale intimidée par nos accusations et chantages ! C'est exactement ce qu'ils sont en train de faire au Rwanda et au Congo.  Bientôt, leurs guerres seront exportées dans les autres pays de la région comme le  Burundi, la Tanzanie, etc. Ils l'ont dit, ils le feront. Pourtant, ils restent  impunis, raison pour laquelle  ils se prennent pour  « maîtres et  juges du monde ». C'est très dommage.
9.Quant à toi, chère France, universellement reconnue comme la Terre des Droits de l'Homme, auras-tu décidé de rester définitivement sourde et muette et d'abandonner pour de bon un peuple qui, jadis,  avait la fierté d'être plus qu'un allié et se targuait d'être un véritable ami ? Aujourd'hui, je t'accuse de mollesse, je t'accuse de passivité face au chantage de Paul Kagame  et de complaisance envers les crimes du FPR-Inkotanyi. Quand te décideras-tu à « défendre ton honneur, l'honneur de ton armée et l'honneur de tes diplomates  »? 
 
Thomas Nahimana,
Secrétaire Général du Parti ISHEMA,
Candidat désigné aux élections
présidentielles rwandaises  de 2017.
 
 






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-“The enemies of Freedom do not argue ; they shout and they shoot.”

The principal key root causes that lead to the Rwandan genocide of 1994 that affected all Rwandan ethnic groups were:

1)The majority Hutu community’s fear of the return of the discriminatory monarchy system that was practiced by the minority Tutsi community against the enslaved majority Hutu community for about 500 years

2)The Hutu community’s fear of Kagame’s guerrilla that committed massacres in the North of the country and other parts of the countries including assassinations of Rwandan politicians.

3) The Rwandan people felt abandoned by the international community ( who was believed to support Kagame’s guerrilla) and then decided to defend themselves with whatever means they had against the advance of Kagame’ guerrilla supported by Ugandan, Tanzanian and Ethiopian armies and other Western powers.

-“The enemies of Freedom do not argue ; they shout and they shoot.”

-“The hate of men will pass, and dictators die, and the power they took from the people will return to the people. And so long as men die, liberty will never perish.”

-“The price good men pay for indifference to public affairs is to be ruled by evil men.”

-“I have loved justice and hated iniquity: therefore I die in exile.”

The Rwanda war of 1990-1994 had multiple dimensions.

The Rwanda war of 1990-1994 had multiple dimensions. Among Kagame’s rebels who were fighting against the Rwandan government, there were foreigners, mainly Ugandan fighters who were hired to kill and rape innocent Rwandan people in Rwanda and refugees in DRC.

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SUMMARY : THE TRAGIC CONSEQUENCES OF THE BRITISH BUDGET SUPPORT AND GEO-STRATEGIC AMBITIONS

United Kingdom's Proxy Wars in Africa: The Case of Rwanda and DR Congo:

The Rwandan genocide and 6,000,000 Congolese and Hutu refugees killed are the culminating point of a long UK’s battle to expand their influence to the African Great Lakes Region. UK supported Kagame’s guerrilla war by providing military support and money. The UK refused to intervene in Rwanda during the genocide to allow Kagame to take power by military means that triggered the genocide. Kagame’s fighters and their families were on the Ugandan payroll paid by UK budget support.


· 4 Heads of State assassinated in the francophone African Great Lakes Region.
· 2,000,000 people died in Hutu and Tutsi genocides in Rwanda, Burundi and RD.Congo.
· 600,000 Hutu refugees killed in R.D.Congo, Uganda, Central African Republic and Rep of Congo.
· 6,000,000 Congolese dead.
· 8,000,000 internal displaced people in Rwanda, Burundi and DR. Congo.
· 500,000 permanent Rwandan and Burundian Hutu refugees, and Congolese refugees around the world.
· English language expansion to Rwanda to replace the French language.
· 20,000 Kagame’s fighters paid salaries from the British Budget Support from 1986 to present.
· £500,000 of British taxpayer’s money paid, so far, to Kagame and his cronies through the budget support, SWAPs, Tutsi-dominated parliament, consultancy, British and Tutsi-owned NGOs.
· Kagame has paid back the British aid received to invade Rwanda and to strengthen his political power by joining the East African Community together with Burundi, joining the Commonwealth, imposing the English Language to Rwandans to replace the French language; helping the British to establish businesses and to access to jobs in Rwanda, and to exploit minerals in D.R.Congo.



Thousands of Hutu murdered by Kagame inside Rwanda, e.g. Kibeho massacres

Thousands of Hutu murdered by Kagame inside Rwanda, e.g. Kibeho massacres
Kagame killed 200,000 Hutus from all regions of the country, the elderly and children who were left by their relatives, the disabled were burned alive. Other thousands of people were killed in several camps of displaced persons including Kibeho camp. All these war crimes remain unpunished.The British news reporters were accompanying Kagame’s fighters on day-by-day basis and witnessed these massacres, but they never reported on this.

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25,000 Hutu bodies floated down River Akagera into Lake Victoria in Uganda.

25,000  Hutu bodies  floated down River Akagera into Lake Victoria in Uganda.
The British irrational, extremist, partisan,biased, one-sided media and politicians have disregarded Kagame war crimes e.g. the Kibeho camp massacres, massacres of innocents Hutu refugees in DR. Congo. The British media have been supporting Kagame since he invaded Rwanda by organising the propaganda against the French over the Rwandan genocide, suppressing the truth about the genocide and promoting the impunity of Kagame and his cronies in the African Great Lakes Region. For the British, Rwanda does not need democracy, Rwanda is the African Israel; and Kagame and his guerilla fighters are heroes.The extremist British news reporters including Fergal Keane, Chris Simpson, Chris McGreal, Mark Doyle, etc. continue to hate the Hutus communities and to polarise the Rwandan society.

Kagame political ambitions triggered the genocide.

Kagame  political  ambitions triggered the genocide.
Kagame’s guerrilla war was aimed at accessing to power at any cost. He rejected all attempts and advice that could stop his military adventures including the cease-fire, political negotiations and cohabitation, and UN peacekeeping interventions. He ignored all warnings that could have helped him to manage the war without tragic consequences. Either you supported Kagame’ s wars and you are now his friend, or you were against his wars and you are his enemy. Therefore, Kagame as the Rwandan strong man now, you have to apologise to him for having been against his war and condemned his war crimes, or accept to be labelled as having been involved in the genocide. All key Kagame’s fighters who committed war crimes and crimes against humanity are the ones who hold key positions in Rwandan army and government for the last 15 years. They continue to be supported and advised by the British including Tony Blair, Andrew Mitchell MP, and the British army senior officials.

Aid that kills: The British Budget Support financed Museveni and Kagame’s wars in Rwanda and DRC.

Aid that kills: The British Budget Support  financed Museveni and Kagame’s wars in Rwanda and DRC.
Genocide propaganda and fabrications are used by the so-called British scholars, news reporters and investigative journalists to promote their CVs and to get income out of the genocide through the selling of their books, providing testimonies against the French, access to consultancy contracts from the UN and Kagame, and participation in conferences and lectures in Rwanda, UK and internationally about genocide. Genocide propaganda has become a lucrative business for Kagame and the British. Anyone who condemned or did not support Kagame’s war is now in jail in Rwanda under the gacaca courts system suuported by British tax payer's money, or his/she is on arrest warrant if he/she managed to flee the Kagame’s regime. Others have fled the country and are still fleeing now. Many others Rwandans are being persecuted in their own country. Kagame is waiting indefinitely for the apologies from other players who warn him or who wanted to help to ensure that political negotiations take place between Kagame and the former government he was fighting against. Britain continues to supply foreign aid to Kagame and his cronies with media reports highlighting economic successes of Rwanda. Such reports are flawed and are aimed at misleading the British public to justify the use of British taxpayers’ money. Kagame and his cronies continue to milk British taxpayers’ money under the British budget support. This started from 1986 through the British budget support to Uganda until now.

Dictator Kagame: No remorse for his unwise actions and ambitions that led to the Rwandan genocide.

Dictator Kagame: No remorse for his unwise actions and ambitions that led to the  Rwandan genocide.
No apologies yet to the Rwandan people. The assassination of President Juvenal Habyarimana by Kagame was the only gateway for Kagame to access power in Rwanda. The British media, politicians, and the so-called British scholars took the role of obstructing the search for the truth and justice; and of denying this assassination on behalf of General Kagame. General Paul Kagame has been obliging the whole world to apologise for his mistakes and war crimes. The UK’s way to apologise has been pumping massive aid into Rwanda's crony government and parliement; and supporting Kagame though media campaigns.

Fanatical, partisan, suspicious, childish and fawning relations between UK and Kagame

Fanatical, partisan, suspicious, childish and fawning relations between UK and Kagame
Kagame receives the British massive aid through the budget support, British excessive consultancy, sector wide programmes, the Tutsi-dominated parliament, British and Tutsi-owned NGOs; for political, economic and English language expansion to Rwanda. The British aid to Rwanda is not for all Rwandans. It is for Kagame himself and his Tutsi cronies.

Paul Kagame' actvities as former rebel

Africa

UN News Centre - Africa

The Africa Report - Latest

IRIN - Great Lakes

This blog reports the crimes that remain unpunished and the impunity that has generated a continuous cycle of massacres in many parts of Africa. In many cases, the perpetrators of the crimes seem to have acted in the knowledge that they would not be held to account for their actions.

The need to fight this impunity has become even clearer with the massacres and genocide in many parts of Africa and beyond.

The blog also addresses issues such as Rwanda War Crimes, Rwandan Refugee massacres in Dr Congo, genocide, African leaders’ war crimes and crimes against humanity, Africa war criminals, Africa crimes against humanity, Africa Justice.

-The British relentless and long running battle to become the sole player and gain new grounds of influence in the francophone African Great Lakes Region has led to the expulsion of other traditional players from the region, or strained diplomatic relations between the countries of the region and their traditional friends. These new tensions are even encouraged by the British using a variety of political and economic manoeuvres.

-General Kagame has been echoing the British advice that Rwanda does not need any loan or aid from Rwandan traditional development partners, meaning that British aid is enough to solve all Rwandan problems.

-The British obsession for the English Language expansion has become a tyranny that has led to genocide, war crimes and crimes against humanity, dictatorial regimes, human rights violations, mass killings, destruction of families, communities and cultures, permanent refugees and displaced persons in the African Great Lakes region.


- Rwanda, a country that is run by a corrupt clique of minority-tutsi is governed with institutional discrmination, human rights violations, dictatorship, authoritarianism and autocracy, as everybody would expect.