The dictator Kagame at UN

The dictator Kagame at UN
Dictators like Kagame who have changed their national constitutions to remain indefinitely on power should not be involved in UN high level and global activities including chairing UN meetings

Why has the UN ignored its own report about the massacres of Hutu refugees in DRC ?

The UN has ignored its own reports, NGOs and media reports about the massacres of hundreds of thousands of Hutu in DRC Congo (estimated to be more than 400,000) by Kagame when he attacked Hutu refugee camps in Eastern DRC in 1996. This barbaric killings and human rights violations were perpetrated by Kagame’s RPF with the approval of UK and USA and with sympathetic understanding and knowledge of UNHCR and international NGOs which were operating in the refugees camps. According to the UN, NGO and media reports between 1993 and 2003 women and girls were raped. Men slaughtered. Refugees killed with machetes and sticks. The attacks of refugees also prevented humanitarian organisations to help many other refugees and were forced to die from cholera and other diseases. Other refugees who tried to return to Rwanda where killed on their way by RFI and did not reach their homes. No media, no UNHCR, no NGO were there to witness these massacres. When Kagame plans to kill, he makes sure no NGO and no media are prevent. Kagame always kills at night.

6 Jul 2014

[RwandaLibre] Digitalcongo.net - Kinshasa - 22 hours ago: Question FDLR au point de presse du porte-parole du Gouvernement

 

Question FDLR au point de presse du porte-parole du Gouvernement

Digitalcongo.net - 22 hours ago
Kinshasa, 05/07/2014 / Politique

Le ministre Lambert Mende Omalanga a, dans son point de presse tenu le
jeudi 3 juillet 2014, évoqué, parmi tant d'autres questions, celle du
désarmement volontaire des FDLR

Depuis le lancement des opérations de désarmement volontaire des
rebelles rwandais des Forces démocratiques pour la libération du
Rwanda (Fdlr) en vue de leur rapatriement, de nombreuses réactions se
font entendre tant au niveau national qu'international. Le
gouvernement estime de son devoir de fixer les esprits sur les
objectifs qu'il poursuit à ce sujet, ainsi que sur la méthodologie
qu'il entend mettre en oeuvre pour mener à bonne fin ces opérations.

Il faut d'abord rappeler ce que certains ont souvent oublié: c'est la
communauté internationale qui avait demandé (exigé) aux dirigeants du
Zaïre de l'époque d'accueillir sur notre territoire des millions de
personnes de nationalité rwandaise fuyant les combats et l'insécurité
consécutifs au génocide de 1994 dans ce pays voisin du nôtre. Il est
de notoriété publique que parmi ces populations dont la présence fut
imposée à notre pays se trouvaient aussi bien des hommes, des femmes
et des enfants inoffensifs que des éléments des forces armées défaites
du régime Habyarimana ainsi que des milices génocidaires qui avaient
traversé la frontière avec armes et bagages.

Faut-il encore rappeler que depuis lors, notre pays a continuellement
payé un très lourd tribut du fait de la présence de ces réfugiés
rwandais sur son sol comme si accueillir des êtres humains en détresse
était un crime que nous devions expier. Directement ou par des
pseudo-rébellions ou mutineries téléguidées, une phalange militariste
agissant à partir du Rwanda, a soumis les paisibles populations de
l'Est de notre pays aux exactions les plus humainement inacceptables
en même temps qu'elle mettait cette partie de notre territoire sous
coupe réglée sous le prétexte fallacieux d'un prétendu droit de suite
contre les génocidaires des Fdlr. Ironie du sort : dans le même temps,
lesdites Fdlr, fermement invitées par le gouvernement congolais à
mettre fin à leur présence sans titre ni droit en République
Démocratique du Congo, ont retourné leurs armes contre nos
malheureuses populations et nos forces de défense et de sécurité.

C'est la raison pour laquelle depuis 2013, notre pays s'est résolument
engagé dans une série d'offensives militaires en vue d'obtenir la
totale éradication des Fdlr qui ne sont rien d'autre qu'une des forces
négatives étiquetées comme telles par la communauté internationale et
qui doivent, de gré ou de force, cesser d'exister sur le territoire
congolais.

Après avoir défait militairement le M23 de triste mémoire, la dernière
rébellion d'instigation étrangère sur le sol congolais, et appelé
solennellement les autres forces encore actives à déposer
volontairement les armes sous peine du même type de pressions, nos
forces armées avaient, comme chacun le sait, entamé dans le même élan
le désarmement forcé et l'éradication des rebelles ougandais de l'ADF
qui sévissaient dans le grand Nord, pillant les récoltes, incendiant
les villages et massacrant la population. Ces opérations, baptisées "
Sukola " sont en cours dans les régions concernées. Elles viennent
d'entrer dans leur phase terminale. Nos troupes sont plus préoccupées
à ce jour du sort des centaines de nos compatriotes des territoires de
Beni et Lubero enlevés par ces rebelles ougandais des ADF et dont on
est sans nouvelles.

Les Fardc n'ont pas attendu la fin définitive de l'opération Sukola
pour initier le déploiement des unités affectées à la neutralisation
des forces négatives des Fdlr. Après les premiers engagements qui
n'ont laissé aux éléments de cette force négative rwandaise aucune
illusion sur notre détermination à en finir avec le danger qu'elle
représentait pour nos provinces du Kivu et la région des Grands Lacs,
les Fdlr ont annoncé leur intention de faire droit à l'ultimatum lancé
par le président de la République, Joseph Kabila, à tous les groupes
armés, nationaux et étrangers, leur intimant l'ordre de se désarmer
volontairement ou se préparer à subir l'assaut des forces régulières
appuyées par la brigade internationale d'intervention. C'était une
offre de reddition en bonne et due forme qui nous a été transmise par
les Fdlr.

Le gouvernement de la RDC était dès lors en mesure de choisir entre,
d'une part, la poursuite d'une offensive militaire pour le désarmement
forcé des Fdlr dont on connaît le coût en vies congolaises en
particulier et en vies humaines en général et, d'autre part, la
reddition volontaire proposée par les rebelles rwandais qui présente
l'avantage d'être la moins coûteuse aussi bien en vies humaines,
congolaises (civiles et militaires) et autres (les rebelles rwandais
et leurs dépendants dont la grande partie est composée de citoyennes
congolaises impliquées dans des liens matrimoniaux avec la plupart
d'entre eux).

Dans le traitement de ce dossier délicat, compte tenu aussi bien des
affres que ces rebelles hutu rwandais ont fait subir pendant des
années à nos compatriotes de l'Est que des implications stratégiques
et sécuritaires qu'implique leur présence continue sur le territoire
de la RDC, il convient de ne pas se tromper de priorité. Afin que nul
ne puisse en douter, je confirme que pour la République Démocratique
du Congo, son Président et son Gouvernement, la priorité dans ce
dossier des rebelles rwandais reste la fin de la présence de tous les
membres des Fdlr sur le territoire national. Nous n'avons ni le
pouvoir, ni l'intention de gérer leur avenir politique, social ou
judiciaire, ayant déjà fort à faire avec les plus de 70 millions de
Congolaises et Congolais.

Le Gouvernement n'envisage pour les Fdlr que deux alternatives
incontournables: soit le retour dans leur pays d'origine qui est le
Rwanda, soit le départ vers un troisième pays d'accueil. Les deux
éventualités se fondent inexorablement sur un préalable absolu, celui
de leur sortie du territoire congolais. De quelque côté que l'on
aborde la question, la place des Fdlr, citoyens rwandais, n'est pas en
République démocratique du Congo, que ce soit dans les provinces du
Kivu ou dans les lieux de relocalisation provisoire sélectionnés par
nos forces de sécurité pour la suite des opérations. Il appartient au
Rwanda de donner une suite utile à toutes les problématiques de fond
soulevées par ses ressortissants. Nous pensons notamment à leur
réinsertion sociale et à la revendication maintes fois articulée d'un
espace politique dans leur pays. Il est aussi du devoir du Rwanda de
juger, comme il l'a toujours fait jusqu'à présent, ceux sur lesquels
pèseraient des présomptions de crimes en rapport avec le génocide de
1994.

Le gouvernement de la RDC est en contact avec la communauté
internationale pour la mise en oeuvre d'un programme de transfert vers
des pays tiers de ceux des membres des Fdlr qui ne souhaiteraient pas
rentrer au Rwanda et ce, conformément au droit international qui
honnit tout rapatriement forcé. La justice internationale, dans sa
configuration actuelle, est bien outillée pour entendre et juger, le
cas échéant, les éventuels criminels qui se trouveraient dans cette
catégorie.

En tout état de cause, la République Démocratique du Congo n'est ni le
purgatoire, ni l'enfer où des présumés malfrats d'un pays voisin
devraient être concentrés pour expier leurs turpitudes. Rien à notre
sens ne saurait justifier que des dirigeants d'un pays multiplient des
arguties dans le but de maintenir hors de chez eux leurs propres
compatriotes.

La RDC est satisfaite du fait que, depuis hier à Luanda (Angola), la
Cirgl ait donné son aval à ce projet de désarmement volontaire des
Fdlr. Il faut rappeler que cette phase est partie d'un engagement des
Fdlr elles-mêmes concrétisé par deux redditions enregistrées le 30 mai
et le 9 juin 2014 respectivement au Nord-Kivu et au Sud Kivu. On
aurait tort d'en minimiser l'impact symbolique sur les quelques
centaines de résidus des Fdlr. Le gouvernement congolais ne partage
pas les doutes que tentent de répandre certaines sources spécialisées
dans les persiflages pessimistes sur tous les efforts de normalisation
à l'Est de la Rdc et dans la région. C'est pourquoi il a décidé de
prêter son concours à ce processus. Ce concours s'inscrit dans le
contexte des engagements contractés par les Etats membres de la Cirgl
signataires de l'Accord cadre d'Addis Abeba de contribuer à la
résolution des problèmes sécuritaires et humanitaires de la région.

Il importe de noter que la facilitation que la RDC apporte à ce
désarmement volontaire des Fdlr se fera sans préjudice de la
collaboration de notre pays avec les institutions judiciaires
internationales comme le Tpir d'Arusha auquel nous avons à plusieurs
reprises livré des présumés génocidaires rwandais trouvés sur notre
territoire, et la Cpi de La Haye. La RDC n'a donc certainement pas de
leçons à recevoir de qui que ce soit en ce qui concerne la lutte
contre la criminalité transfrontalière dans la région des Grands Lacs.

C'est le lieu de rappeler que le gouvernement congolais n'a jamais
renoncé à l'option militaire qui reste sur la table au cas où les Fdlr
ne concrétisaient pas leur désarmement volontaire dans un délai
raisonnable et dans ce cas seulement. Aux dernières nouvelles, les
plénipotentiaires de la Cirgl réunis hier à Luanda se sont accordés
sur un délai de six mois qui court à partir de l'annonce du 30 mai
dernier.

Nul ne peut reprocher à la RDC de contribuer, par ailleurs, au retour
dans leur pays de ceux des Rwandais qui, majoritairement âgés de 18 à
25 ans, n'ont de toute évidence rien à voir avec les faits du génocide
commis en 1994, alors qu'ils avaient moins de 5 ans, voire n'étaient
même pas nés! Nous avons quelques difficultés à comprendre les
motivations de ceux chez nos voisins rwandais qui s'énervent à la
perspective du rapatriement de 1.200 à 1.500 Fdlr qui vivent encore
dans le Kivu alors que leur pays a reçu au cours de ces dernières
années plus de 11.000 anciens Fdlr rapatriés sans dommages.
J'invite en outre l'opinion congolaise à intégrer dans l'examen de
cette affaire de rapatriement des rebelles rwandais des Fdlr le sort
des centaines de femmes et d'enfants congolais (les dépendants) dont
les droits doivent être protégés par le gouvernement congolais en
dépit de leurs liens avec des ressortissants rwandais. (Yes) Last
edited: 05/07/2014 18:19:16

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-“The enemies of Freedom do not argue ; they shout and they shoot.”

The principal key root causes that lead to the Rwandan genocide of 1994 that affected all Rwandan ethnic groups were:

1)The majority Hutu community’s fear of the return of the discriminatory monarchy system that was practiced by the minority Tutsi community against the enslaved majority Hutu community for about 500 years

2)The Hutu community’s fear of Kagame’s guerrilla that committed massacres in the North of the country and other parts of the countries including assassinations of Rwandan politicians.

3) The Rwandan people felt abandoned by the international community ( who was believed to support Kagame’s guerrilla) and then decided to defend themselves with whatever means they had against the advance of Kagame’ guerrilla supported by Ugandan, Tanzanian and Ethiopian armies and other Western powers.

-“The enemies of Freedom do not argue ; they shout and they shoot.”

-“The hate of men will pass, and dictators die, and the power they took from the people will return to the people. And so long as men die, liberty will never perish.”

-“The price good men pay for indifference to public affairs is to be ruled by evil men.”

-“I have loved justice and hated iniquity: therefore I die in exile.”

The Rwanda war of 1990-1994 had multiple dimensions.

The Rwanda war of 1990-1994 had multiple dimensions. Among Kagame’s rebels who were fighting against the Rwandan government, there were foreigners, mainly Ugandan fighters who were hired to kill and rape innocent Rwandan people in Rwanda and refugees in DRC.

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SUMMARY : THE TRAGIC CONSEQUENCES OF THE BRITISH BUDGET SUPPORT AND GEO-STRATEGIC AMBITIONS

United Kingdom's Proxy Wars in Africa: The Case of Rwanda and DR Congo:

The Rwandan genocide and 6,000,000 Congolese and Hutu refugees killed are the culminating point of a long UK’s battle to expand their influence to the African Great Lakes Region. UK supported Kagame’s guerrilla war by providing military support and money. The UK refused to intervene in Rwanda during the genocide to allow Kagame to take power by military means that triggered the genocide. Kagame’s fighters and their families were on the Ugandan payroll paid by UK budget support.


· 4 Heads of State assassinated in the francophone African Great Lakes Region.
· 2,000,000 people died in Hutu and Tutsi genocides in Rwanda, Burundi and RD.Congo.
· 600,000 Hutu refugees killed in R.D.Congo, Uganda, Central African Republic and Rep of Congo.
· 6,000,000 Congolese dead.
· 8,000,000 internal displaced people in Rwanda, Burundi and DR. Congo.
· 500,000 permanent Rwandan and Burundian Hutu refugees, and Congolese refugees around the world.
· English language expansion to Rwanda to replace the French language.
· 20,000 Kagame’s fighters paid salaries from the British Budget Support from 1986 to present.
· £500,000 of British taxpayer’s money paid, so far, to Kagame and his cronies through the budget support, SWAPs, Tutsi-dominated parliament, consultancy, British and Tutsi-owned NGOs.
· Kagame has paid back the British aid received to invade Rwanda and to strengthen his political power by joining the East African Community together with Burundi, joining the Commonwealth, imposing the English Language to Rwandans to replace the French language; helping the British to establish businesses and to access to jobs in Rwanda, and to exploit minerals in D.R.Congo.



Thousands of Hutu murdered by Kagame inside Rwanda, e.g. Kibeho massacres

Thousands of Hutu murdered by Kagame inside Rwanda, e.g. Kibeho massacres
Kagame killed 200,000 Hutus from all regions of the country, the elderly and children who were left by their relatives, the disabled were burned alive. Other thousands of people were killed in several camps of displaced persons including Kibeho camp. All these war crimes remain unpunished.The British news reporters were accompanying Kagame’s fighters on day-by-day basis and witnessed these massacres, but they never reported on this.

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25,000 Hutu bodies floated down River Akagera into Lake Victoria in Uganda.

25,000  Hutu bodies  floated down River Akagera into Lake Victoria in Uganda.
The British irrational, extremist, partisan,biased, one-sided media and politicians have disregarded Kagame war crimes e.g. the Kibeho camp massacres, massacres of innocents Hutu refugees in DR. Congo. The British media have been supporting Kagame since he invaded Rwanda by organising the propaganda against the French over the Rwandan genocide, suppressing the truth about the genocide and promoting the impunity of Kagame and his cronies in the African Great Lakes Region. For the British, Rwanda does not need democracy, Rwanda is the African Israel; and Kagame and his guerilla fighters are heroes.The extremist British news reporters including Fergal Keane, Chris Simpson, Chris McGreal, Mark Doyle, etc. continue to hate the Hutus communities and to polarise the Rwandan society.

Kagame political ambitions triggered the genocide.

Kagame  political  ambitions triggered the genocide.
Kagame’s guerrilla war was aimed at accessing to power at any cost. He rejected all attempts and advice that could stop his military adventures including the cease-fire, political negotiations and cohabitation, and UN peacekeeping interventions. He ignored all warnings that could have helped him to manage the war without tragic consequences. Either you supported Kagame’ s wars and you are now his friend, or you were against his wars and you are his enemy. Therefore, Kagame as the Rwandan strong man now, you have to apologise to him for having been against his war and condemned his war crimes, or accept to be labelled as having been involved in the genocide. All key Kagame’s fighters who committed war crimes and crimes against humanity are the ones who hold key positions in Rwandan army and government for the last 15 years. They continue to be supported and advised by the British including Tony Blair, Andrew Mitchell MP, and the British army senior officials.

Aid that kills: The British Budget Support financed Museveni and Kagame’s wars in Rwanda and DRC.

Aid that kills: The British Budget Support  financed Museveni and Kagame’s wars in Rwanda and DRC.
Genocide propaganda and fabrications are used by the so-called British scholars, news reporters and investigative journalists to promote their CVs and to get income out of the genocide through the selling of their books, providing testimonies against the French, access to consultancy contracts from the UN and Kagame, and participation in conferences and lectures in Rwanda, UK and internationally about genocide. Genocide propaganda has become a lucrative business for Kagame and the British. Anyone who condemned or did not support Kagame’s war is now in jail in Rwanda under the gacaca courts system suuported by British tax payer's money, or his/she is on arrest warrant if he/she managed to flee the Kagame’s regime. Others have fled the country and are still fleeing now. Many others Rwandans are being persecuted in their own country. Kagame is waiting indefinitely for the apologies from other players who warn him or who wanted to help to ensure that political negotiations take place between Kagame and the former government he was fighting against. Britain continues to supply foreign aid to Kagame and his cronies with media reports highlighting economic successes of Rwanda. Such reports are flawed and are aimed at misleading the British public to justify the use of British taxpayers’ money. Kagame and his cronies continue to milk British taxpayers’ money under the British budget support. This started from 1986 through the British budget support to Uganda until now.

Dictator Kagame: No remorse for his unwise actions and ambitions that led to the Rwandan genocide.

Dictator Kagame: No remorse for his unwise actions and ambitions that led to the  Rwandan genocide.
No apologies yet to the Rwandan people. The assassination of President Juvenal Habyarimana by Kagame was the only gateway for Kagame to access power in Rwanda. The British media, politicians, and the so-called British scholars took the role of obstructing the search for the truth and justice; and of denying this assassination on behalf of General Kagame. General Paul Kagame has been obliging the whole world to apologise for his mistakes and war crimes. The UK’s way to apologise has been pumping massive aid into Rwanda's crony government and parliement; and supporting Kagame though media campaigns.

Fanatical, partisan, suspicious, childish and fawning relations between UK and Kagame

Fanatical, partisan, suspicious, childish and fawning relations between UK and Kagame
Kagame receives the British massive aid through the budget support, British excessive consultancy, sector wide programmes, the Tutsi-dominated parliament, British and Tutsi-owned NGOs; for political, economic and English language expansion to Rwanda. The British aid to Rwanda is not for all Rwandans. It is for Kagame himself and his Tutsi cronies.

Paul Kagame' actvities as former rebel

Africa

UN News Centre - Africa

The Africa Report - Latest

IRIN - Great Lakes

This blog reports the crimes that remain unpunished and the impunity that has generated a continuous cycle of massacres in many parts of Africa. In many cases, the perpetrators of the crimes seem to have acted in the knowledge that they would not be held to account for their actions.

The need to fight this impunity has become even clearer with the massacres and genocide in many parts of Africa and beyond.

The blog also addresses issues such as Rwanda War Crimes, Rwandan Refugee massacres in Dr Congo, genocide, African leaders’ war crimes and crimes against humanity, Africa war criminals, Africa crimes against humanity, Africa Justice.

-The British relentless and long running battle to become the sole player and gain new grounds of influence in the francophone African Great Lakes Region has led to the expulsion of other traditional players from the region, or strained diplomatic relations between the countries of the region and their traditional friends. These new tensions are even encouraged by the British using a variety of political and economic manoeuvres.

-General Kagame has been echoing the British advice that Rwanda does not need any loan or aid from Rwandan traditional development partners, meaning that British aid is enough to solve all Rwandan problems.

-The British obsession for the English Language expansion has become a tyranny that has led to genocide, war crimes and crimes against humanity, dictatorial regimes, human rights violations, mass killings, destruction of families, communities and cultures, permanent refugees and displaced persons in the African Great Lakes region.


- Rwanda, a country that is run by a corrupt clique of minority-tutsi is governed with institutional discrmination, human rights violations, dictatorship, authoritarianism and autocracy, as everybody would expect.