The dictator Kagame at UN

The dictator Kagame at UN
Dictators like Kagame who have changed their national constitutions to remain indefinitely on power should not be involved in UN high level and global activities including chairing UN meetings

Why has the UN ignored its own report about the massacres of Hutu refugees in DRC ?

The UN has ignored its own reports, NGOs and media reports about the massacres of hundreds of thousands of Hutu in DRC Congo (estimated to be more than 400,000) by Kagame when he attacked Hutu refugee camps in Eastern DRC in 1996. This barbaric killings and human rights violations were perpetrated by Kagame’s RPF with the approval of UK and USA and with sympathetic understanding and knowledge of UNHCR and international NGOs which were operating in the refugees camps. According to the UN, NGO and media reports between 1993 and 2003 women and girls were raped. Men slaughtered. Refugees killed with machetes and sticks. The attacks of refugees also prevented humanitarian organisations to help many other refugees and were forced to die from cholera and other diseases. Other refugees who tried to return to Rwanda where killed on their way by RFI and did not reach their homes. No media, no UNHCR, no NGO were there to witness these massacres. When Kagame plans to kill, he makes sure no NGO and no media are prevent. Kagame always kills at night.

7 Apr 2014

[RwandaLibre] Fw: *DHR* Paul Kagamé, le guérillero devenu maître des Mille Collines

 



----- Forwarded Message -----
From: "agnesmurebwayire@yahoo.fr" <agnesmurebwayire@yahoo.fr>
To: Democracy_Human_Rights@yahoogroupes.fr
Sent: Monday, 7 April 2014, 11:31
Subject: *DHR* Paul Kagamé, le guérillero devenu maître des Mille Collines

 

 
Jean-Philippe Rémy – lemonde.fr, le 7 avril 2014 à 12h16
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2014/04/07/paul-kagame-le-guerillero-devenu-maitre-des-mille-collines_4396734_3212.html

armi tous ses pairs, quel président peut s'offrir un plaisir de cette sorte ? Quand il circule à Kigali, « sa » capitale, il arrive que Paul Kagamé se passe d'escorte. Grâce à l'efficacité de ses services de sécurité, les rues de la ville sont sûres. C'est l'un des avantages de la société de contrôle qu'est le Rwanda. Un avantage que les visiteurs étrangers apprécient d'autant plus qu'ils ne sont pas exposés à ses rigueurs.

 
Depuis vingt ans, le Rwanda, c'est lui. Sa chose, le bloc de glaise qu'il sculpte afin de faire, d'un petit pays dévasté, un modèle pour l'Afrique et le reste du monde. Certaines de ses réalisations suscitent l'admiration : gestion des fonds publics, bouillonnement d'initiatives contre la pauvreté, création d'infrastructures, mise sur pied d'un système d'assurance sociale. Le président Kagamé est une dynamo acharnée à faire tourner toujours plus vite les machines du Rwanda.
Les réformes, les impulsions données au sommet par le président ou ses proches se répercutent jusqu'aux plus petits niveaux de l'administration. Tout est mis en oeuvre pour transformer un pays qui, à ce stade, n'exporte pas grand-chose : du café, du thé, des minerais dont la provenance géographique n'est pas toujours facile à établir, et une guerre clandestine dans le pays voisin, qui, justement, regorge de ressources minières : la République démocratique du Congo (RDC).
SAUTES D'HUMEUR
L'implication du Rwanda dans les rébellions congolaises a fini par indisposer les plus fidèles de ses alliés étrangers, Etats-Unis en tête, placés notamment devant des rapports des Nations unies établissant l'implication de Kigali auprès de la dernière d'entre elles, le M23. Rapports qu'à Kigali, on estime montés de toutes pièces. Paul Kagamé dénonce « l'hypocrisie » des bailleurs de fonds, qui tentent d'influer sur sa politique. Encore ce déplaisir reste-t-il verbal.
Gare, en revanche, à ceux qui, au Rwanda même, se mettent en travers de son chemin. Le président rwandais entend la critique comme une menace, et a des sautes d'humeur qui laissent son entourage pantois.
« Je l'ai vu battre deux employés de la présidence qui avaient choisi des rideaux qui ne lui convenaient pas. A ce jour, ils sont encore en prison », raconte David Himbara, son ancien conseiller spécial chargé de la stratégie économique, aujourd'hui tombé en disgrâce. « Il me traitait tout le temps de chien ! Lorsque j'écrivais un rapport, il me demandait pourquoi je le prenais de haut à cause de mon PhD [doctorat en économie], alors qu'il n'a pas fait d'études. Il doit avoir des problèmes de confiance en soi… Lors de ma dernière réunion à la présidence, j'ai eu le tort de demander d'où pouvait provenir le chiffre de la croissance, très élevé, qui nous mettait au niveau de la Chine. Kagamé a dit : "Faites sortir cet idiot !" Et c'était terminé. Pendant des mois, je suis allé à mon bureau, sans qu'on me fasse travailler, jusqu'à ma fuite. » David Himbara est parti en Afrique du Sud en 2009, puis au Canada, après l'assassinat, dans la nuit du 31 décembre 2013 à Johannesburg, de l'ancien responsable des renseignements extérieurs, Patrick Karegeya, un proche du président, de longue date tombé en disgrâce.
La violence est-elle une marque indélébile, fruit d'une existence particulière ? En l'espace d'une vie d'homme, Paul Kagamé, 56 ans, a embrassé tous les drames du Rwanda, ce pays si beau, si peuplé, si compliqué, y compris l'orage de sang du génocide de 1994.
A l'âge de 4 ans, en 1961, il doit quitter le pays, à la suite de la « révolution sociale » hutu, qui donne le signal des tout premiers massacres de Tutsi. Paul Kagamé est emmené en catastrophe vers l'Ouganda voisin pour échapper aux machettes. Sa famille, tutsi, est proche de la cour du roi (la reine est une cousine de sa mère), souverain maintenu dans une position honorifique par les Belges. La puissance coloniale s'est appuyée sur l'élite tutsi pour contrôler le pays, avant de jouer la carte des Hutu à l'approche de l'indépendance.
Voici venu le temps de la dépossession. En Ouganda, il grandit en découvrant le goût amer de l'exil. Dans les souvenirs de sa jeunesse, racontés au journaliste américain Stephen Kinzer dans A Thousand Hills : Rwanda's Rebirth and the Man Who Dreamed It (« Mille Collines : la renaissance du Rwanda et l'homme qui l'a rêvée », John Wiley & Sons, 2008, non traduit), il insiste sur sa colère face aux humiliations subies par les réfugiés tutsi : « On vous rappelait toujours, d'une façon ou d'une autre, que vous n'étiez pas d'ici, que vous n'étiez pas supposé être ici. Il n'y avait pas d'endroit dont vous puissiez dire : c'est chez moi. »
L'APPRENTISSAGE DE LA GUÉRILLA
Dans l'est de l'Ouganda, il fréquente la même école qu'un certain Yoweri Museveni, décidé à prendre les armes pour mettre fin aux dictatures dans son pays, l'Ouganda. Ce dernier part faire son éducation politique dans la Tanzanie socialiste du président Nyerere, compagnon de route ou bailleur de fonds de grands mouvements de libération africains, depuis le Congrès national africain (ANC) de Mandela (alors emprisonné) jusqu'au Front de libération du Mozambique (Frelimo) de Samora Machel (alors en guerre). A Dar es-Salaam, en compagnie d'un autre Rwandais brûlant de changer le monde et l'Afrique, Fred Rwigema, ils s'initient à la dialectique, puis partent apprendre la guérilla dans un maquis du Frelimo. Pendant ce temps, Paul Kagamé se découvre une passion pour le renseignement.
En 1981, Yoweri Museveni lance avec une trentaine de compagnons sa longue marche. Fred Rwigema et Paul Kagamé sont à ses côtés. Il faudra cinq ans à leur mouvement rebelle pour prendre Kampala, la capitale ougandaise, au terme d'un conflit abominablement meurtrier. Fred Rwigema devient chef d'état-major. Paul Kagamé poursuit sa carrière d'espion, accompagne des recrues ougandaises en formation à Cuba. Il finira par diriger les services de renseignement militaire ougandais. Déjà se prépare l'étape suivante : l'attaque du Rwanda. Il y a près de 10 000 combattants rwandais dans l'armée ougandaise, qui ne demandent qu'à partir à l'assaut de leur propre pays.
Le 1er octobre 1990, le Front patriotique rwandais (FPR) passe à l'attaque. Fred Rwigema est tué, très vite, peut-être par des proches. Paul Kagamé est aux Etats-Unis, en stage. Yoweri Museveni le fait revenir de toute urgence, lui confie la direction du mouvement.
Près de trente ans après son départ du Rwanda, le voici de retour au pays, en treillis. Les Tutsi étaient condamnés à l'exil, aux humiliations, à la mort ? Le FPR va y mettre fin, au prix d'une guerre civile dans laquelle la France prend une part discrète, parfois clandestine, au côté du gouvernement rwandais à dominante hutu. Pendant quatre ans, le sort des armes est incertain. Puis survient l'apocalypse de 1994 : l'attentat contre l'avion du président Habyarimana, le génocide, la percée du FPR, sa victoire, la fuite de plus d'un million de réfugiés – hutu cette fois – au Zaïre voisin (devenu la RDC).
Or la fin du génocide, ce n'est pas le début de la paix. D'abord, des massacres de Hutu se poursuivent au Rwanda, puis au Zaïre. Et de l'autre côté de la frontière, les « génocidaires » espèrent revenir à leur tour au pays pour y « terminer le travail », selon l'expression consacrée. Ils n'y parviendront pas. Mais l'action du FPR de Paul Kagamé, qui a réuni dans l'intervalle une coalition régionale, ne vise pas seulement les camps de réfugiés hutu au Zaïre, qui sont démantelés et une partie de leurs occupants massacrés. Les forces rwandaises et leurs alliés (notamment ougandais) se lancent à l'assaut du vaste Congo, quatre-vingts fois plus grand que son voisin. Ils chassent le maréchal Mobutu du pouvoir, installent Laurent-Désiré Kabila, qu'ils entendent contrôler, mais sont à leur tour chassés par leur marionnette, et réattaquent en 1998 le pays devenu la RDC. La guerre, à présent régionale, s'enlise.
ASSASSINATS POLITIQUES
Après un accord de paix, place au soutien clandestin aux rébellions (à chaque déclenchement de guerre au Congo, le Rwanda nie être impliqué). Le Rwanda, parallèlement, entend accélérer son développement. Paul Kagamé, transformé en PDG de « l'entreprise Rwanda », cherche son modèle. Il est soutenu par de grands patrons américains, et s'exaspère des rapports des organisations de défense des droits de l'homme. « Ces Rwandais ne vont pas se plaindre à qui que ce soit qu'ils ne sont pas libres. Ils ont bien dû être libres pour être capables de travailler ensemble et d'accomplir tant de choses », déclare-t-il à une conférence consacrée au développement économique de l'Afrique à Kigali, en 2012. C'est le sophisme rayonnant qui permet de justifier l'Etat policier et les assassinats politiques, dont personne, jamais, ne parvient à établir la responsabilité exacte.
Le Rwanda est calme, propre, ambitieux. Le maître de son destin a un nom : Paul Kagamé.

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-“The enemies of Freedom do not argue ; they shout and they shoot.”

The principal key root causes that lead to the Rwandan genocide of 1994 that affected all Rwandan ethnic groups were:

1)The majority Hutu community’s fear of the return of the discriminatory monarchy system that was practiced by the minority Tutsi community against the enslaved majority Hutu community for about 500 years

2)The Hutu community’s fear of Kagame’s guerrilla that committed massacres in the North of the country and other parts of the countries including assassinations of Rwandan politicians.

3) The Rwandan people felt abandoned by the international community ( who was believed to support Kagame’s guerrilla) and then decided to defend themselves with whatever means they had against the advance of Kagame’ guerrilla supported by Ugandan, Tanzanian and Ethiopian armies and other Western powers.

-“The enemies of Freedom do not argue ; they shout and they shoot.”

-“The hate of men will pass, and dictators die, and the power they took from the people will return to the people. And so long as men die, liberty will never perish.”

-“The price good men pay for indifference to public affairs is to be ruled by evil men.”

-“I have loved justice and hated iniquity: therefore I die in exile.”

The Rwanda war of 1990-1994 had multiple dimensions.

The Rwanda war of 1990-1994 had multiple dimensions. Among Kagame’s rebels who were fighting against the Rwandan government, there were foreigners, mainly Ugandan fighters who were hired to kill and rape innocent Rwandan people in Rwanda and refugees in DRC.

READ MORE RECENT NEWS AND OPINIONS

SUMMARY : THE TRAGIC CONSEQUENCES OF THE BRITISH BUDGET SUPPORT AND GEO-STRATEGIC AMBITIONS

United Kingdom's Proxy Wars in Africa: The Case of Rwanda and DR Congo:

The Rwandan genocide and 6,000,000 Congolese and Hutu refugees killed are the culminating point of a long UK’s battle to expand their influence to the African Great Lakes Region. UK supported Kagame’s guerrilla war by providing military support and money. The UK refused to intervene in Rwanda during the genocide to allow Kagame to take power by military means that triggered the genocide. Kagame’s fighters and their families were on the Ugandan payroll paid by UK budget support.


· 4 Heads of State assassinated in the francophone African Great Lakes Region.
· 2,000,000 people died in Hutu and Tutsi genocides in Rwanda, Burundi and RD.Congo.
· 600,000 Hutu refugees killed in R.D.Congo, Uganda, Central African Republic and Rep of Congo.
· 6,000,000 Congolese dead.
· 8,000,000 internal displaced people in Rwanda, Burundi and DR. Congo.
· 500,000 permanent Rwandan and Burundian Hutu refugees, and Congolese refugees around the world.
· English language expansion to Rwanda to replace the French language.
· 20,000 Kagame’s fighters paid salaries from the British Budget Support from 1986 to present.
· £500,000 of British taxpayer’s money paid, so far, to Kagame and his cronies through the budget support, SWAPs, Tutsi-dominated parliament, consultancy, British and Tutsi-owned NGOs.
· Kagame has paid back the British aid received to invade Rwanda and to strengthen his political power by joining the East African Community together with Burundi, joining the Commonwealth, imposing the English Language to Rwandans to replace the French language; helping the British to establish businesses and to access to jobs in Rwanda, and to exploit minerals in D.R.Congo.



Thousands of Hutu murdered by Kagame inside Rwanda, e.g. Kibeho massacres

Thousands of Hutu murdered by Kagame inside Rwanda, e.g. Kibeho massacres
Kagame killed 200,000 Hutus from all regions of the country, the elderly and children who were left by their relatives, the disabled were burned alive. Other thousands of people were killed in several camps of displaced persons including Kibeho camp. All these war crimes remain unpunished.The British news reporters were accompanying Kagame’s fighters on day-by-day basis and witnessed these massacres, but they never reported on this.

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25,000 Hutu bodies floated down River Akagera into Lake Victoria in Uganda.

25,000  Hutu bodies  floated down River Akagera into Lake Victoria in Uganda.
The British irrational, extremist, partisan,biased, one-sided media and politicians have disregarded Kagame war crimes e.g. the Kibeho camp massacres, massacres of innocents Hutu refugees in DR. Congo. The British media have been supporting Kagame since he invaded Rwanda by organising the propaganda against the French over the Rwandan genocide, suppressing the truth about the genocide and promoting the impunity of Kagame and his cronies in the African Great Lakes Region. For the British, Rwanda does not need democracy, Rwanda is the African Israel; and Kagame and his guerilla fighters are heroes.The extremist British news reporters including Fergal Keane, Chris Simpson, Chris McGreal, Mark Doyle, etc. continue to hate the Hutus communities and to polarise the Rwandan society.

Kagame political ambitions triggered the genocide.

Kagame  political  ambitions triggered the genocide.
Kagame’s guerrilla war was aimed at accessing to power at any cost. He rejected all attempts and advice that could stop his military adventures including the cease-fire, political negotiations and cohabitation, and UN peacekeeping interventions. He ignored all warnings that could have helped him to manage the war without tragic consequences. Either you supported Kagame’ s wars and you are now his friend, or you were against his wars and you are his enemy. Therefore, Kagame as the Rwandan strong man now, you have to apologise to him for having been against his war and condemned his war crimes, or accept to be labelled as having been involved in the genocide. All key Kagame’s fighters who committed war crimes and crimes against humanity are the ones who hold key positions in Rwandan army and government for the last 15 years. They continue to be supported and advised by the British including Tony Blair, Andrew Mitchell MP, and the British army senior officials.

Aid that kills: The British Budget Support financed Museveni and Kagame’s wars in Rwanda and DRC.

Aid that kills: The British Budget Support  financed Museveni and Kagame’s wars in Rwanda and DRC.
Genocide propaganda and fabrications are used by the so-called British scholars, news reporters and investigative journalists to promote their CVs and to get income out of the genocide through the selling of their books, providing testimonies against the French, access to consultancy contracts from the UN and Kagame, and participation in conferences and lectures in Rwanda, UK and internationally about genocide. Genocide propaganda has become a lucrative business for Kagame and the British. Anyone who condemned or did not support Kagame’s war is now in jail in Rwanda under the gacaca courts system suuported by British tax payer's money, or his/she is on arrest warrant if he/she managed to flee the Kagame’s regime. Others have fled the country and are still fleeing now. Many others Rwandans are being persecuted in their own country. Kagame is waiting indefinitely for the apologies from other players who warn him or who wanted to help to ensure that political negotiations take place between Kagame and the former government he was fighting against. Britain continues to supply foreign aid to Kagame and his cronies with media reports highlighting economic successes of Rwanda. Such reports are flawed and are aimed at misleading the British public to justify the use of British taxpayers’ money. Kagame and his cronies continue to milk British taxpayers’ money under the British budget support. This started from 1986 through the British budget support to Uganda until now.

Dictator Kagame: No remorse for his unwise actions and ambitions that led to the Rwandan genocide.

Dictator Kagame: No remorse for his unwise actions and ambitions that led to the  Rwandan genocide.
No apologies yet to the Rwandan people. The assassination of President Juvenal Habyarimana by Kagame was the only gateway for Kagame to access power in Rwanda. The British media, politicians, and the so-called British scholars took the role of obstructing the search for the truth and justice; and of denying this assassination on behalf of General Kagame. General Paul Kagame has been obliging the whole world to apologise for his mistakes and war crimes. The UK’s way to apologise has been pumping massive aid into Rwanda's crony government and parliement; and supporting Kagame though media campaigns.

Fanatical, partisan, suspicious, childish and fawning relations between UK and Kagame

Fanatical, partisan, suspicious, childish and fawning relations between UK and Kagame
Kagame receives the British massive aid through the budget support, British excessive consultancy, sector wide programmes, the Tutsi-dominated parliament, British and Tutsi-owned NGOs; for political, economic and English language expansion to Rwanda. The British aid to Rwanda is not for all Rwandans. It is for Kagame himself and his Tutsi cronies.

Paul Kagame' actvities as former rebel

Africa

UN News Centre - Africa

The Africa Report - Latest

IRIN - Great Lakes

This blog reports the crimes that remain unpunished and the impunity that has generated a continuous cycle of massacres in many parts of Africa. In many cases, the perpetrators of the crimes seem to have acted in the knowledge that they would not be held to account for their actions.

The need to fight this impunity has become even clearer with the massacres and genocide in many parts of Africa and beyond.

The blog also addresses issues such as Rwanda War Crimes, Rwandan Refugee massacres in Dr Congo, genocide, African leaders’ war crimes and crimes against humanity, Africa war criminals, Africa crimes against humanity, Africa Justice.

-The British relentless and long running battle to become the sole player and gain new grounds of influence in the francophone African Great Lakes Region has led to the expulsion of other traditional players from the region, or strained diplomatic relations between the countries of the region and their traditional friends. These new tensions are even encouraged by the British using a variety of political and economic manoeuvres.

-General Kagame has been echoing the British advice that Rwanda does not need any loan or aid from Rwandan traditional development partners, meaning that British aid is enough to solve all Rwandan problems.

-The British obsession for the English Language expansion has become a tyranny that has led to genocide, war crimes and crimes against humanity, dictatorial regimes, human rights violations, mass killings, destruction of families, communities and cultures, permanent refugees and displaced persons in the African Great Lakes region.


- Rwanda, a country that is run by a corrupt clique of minority-tutsi is governed with institutional discrmination, human rights violations, dictatorship, authoritarianism and autocracy, as everybody would expect.