The dictator Kagame at UN

The dictator Kagame at UN
Dictators like Kagame who have changed their national constitutions to remain indefinitely on power should not be involved in UN high level and global activities including chairing UN meetings

Why has the UN ignored its own report about the massacres of Hutu refugees in DRC ?

The UN has ignored its own reports, NGOs and media reports about the massacres of hundreds of thousands of Hutu in DRC Congo (estimated to be more than 400,000) by Kagame when he attacked Hutu refugee camps in Eastern DRC in 1996. This barbaric killings and human rights violations were perpetrated by Kagame’s RPF with the approval of UK and USA and with sympathetic understanding and knowledge of UNHCR and international NGOs which were operating in the refugees camps. According to the UN, NGO and media reports between 1993 and 2003 women and girls were raped. Men slaughtered. Refugees killed with machetes and sticks. The attacks of refugees also prevented humanitarian organisations to help many other refugees and were forced to die from cholera and other diseases. Other refugees who tried to return to Rwanda where killed on their way by RFI and did not reach their homes. No media, no UNHCR, no NGO were there to witness these massacres. When Kagame plans to kill, he makes sure no NGO and no media are prevent. Kagame always kills at night.

4 Mar 2015

[AfricaRealities.com] Les massacres du Rwanda 20 plus tard. À la recherche de la vérité.

 

Les massacres du Rwanda 20 plus tard. À la recherche de la vérité.

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rwanda victimes
L'auteur est avocat et fonctionnaire de l'ONU, André Sirois a notamment contribué à mettre sur pied le Tribunal international pour le Rwanda de 1995 à 1997.
L'anniversaire des massacres du Rwanda devrait être enfin l'occasion de revoir la version des faits partisane et mensongère que, bien souvent pour des raisons inavouables, l'on tente de nous imposer depuis 20 ans. J'ai participé à la mise sur pied du Tribunal international pour le Rwanda de 1995 à 1997 et depuis, je suis étonné de voir la facilité avec laquelle est acceptée une version qui devrait être critiquée très sévèrement. Il est impossible d'entreprendre de corriger ou de questionner ici toute la masse d'informations fausses que l'on nous assène ainsi. Je voudrais cependant indiquer quelques questions de fond que l'on devrait se poser à la lecture d'un texte au sujet des massacres du Rwanda.
Combien y a-t-il eu véritablement de victimes? 800 000 ou un million? Si l'auteur utilise un de ces chiffres, il faut s'inquiéter tout de suite : cela veut dire qu'il n'a fait que reprendre n'importe quoi sans rien vérifier ni critiquer. On ne connaît pas le nombre de victimes; personne n'a jamais pu l'établir. Depuis 20 ans, à tous ceux qui me mentionnent un chiffre à ce sujet, je demande méthodiquement d'où ils le tiennent. Il est impossible d'avoir une réponse.
La seule explication qui semble assez près de la réalité, c'est que, pendant les massacres, un employé de la Croix-Rouge internationale a fait un calcul approximatif des personnes disparues de son agglomération, Hutus et Tutsis confondus, puis il a fait une extrapolation pour l'ensemble du pays qui l'a amené à dire qu'il pourrait y avoir eu à ce moment-là environ 200 000 morts au Rwanda.
Quelques jours plus tard, le ministre des Affaires étrangères d'Allemagne affirmait qu'il y en avait 500 000. Personne n'a jamais pu savoir d'où il tenait ce chiffre. Puis, des ONG américaines –pour amener le gouvernement américain à parler de génocide, ce qui, en droit américain, l'aurait obligé à intervenir– ont commencé à affirmer qu'il y avait un million, non pas de disparus de toutes origines, mais un million de victimes tutsies.
En arrivant à Kigali un peu plus tard, je me suis mis à demander d'où venait ce chiffre; personne n'a jamais pu me répondre et beaucoup voyaient dans ma question un manque de respect pour les victimes et une expression de sympathie envers les génocidaires.
Je considérais, et je considère encore, que dans cette affaire, la vérité est déjà assez monstrueuse et terrible –une seule innocente victime est une victime de trop– et je craignais qu'en répétant n'importe quoi le Tribunal mette en jeu sa crédibilité.
On a fini par démontrer qu'il était absolument impossible qu'il y ait eu un million de victimes tutsies et on s'est alors rabattu sur le chiffre tout aussi fictif de 800 000. Rappelons que les experts estiment que la population du Rwanda était de 6 à 7,5 millions de personnes; les Tutsis constituaient de 10 à 15% de ce nombre, c'est-à-dire qu'ils étaient de 600 000 à 1 125 000 personnes.
C'est clair qu'il ne peut y avoir eu un million de victimes et probablement pas 800 000 non plus si on tient compte des survivants au Rwanda et à l'étranger ainsi que des morts naturelles et accidentelles. Donc, prudence si votre interlocuteur utilise ce chiffre fictif, voire fantaisiste.
Autre question : pourquoi le Tribunal international pour le Rwanda n'a-t-il jamais enquêté sur l'attentat commis contre l'avion présidentiel qui a déclenché les massacres que l'on connaît? C'était bien à l'intérieur de son mandat pourtant. Pourquoi ne l'a-t-il pas fait?
Ou plus exactement, pourquoi, après avoir finalement demandé à l'enquêteur Michael Hourigan de faire cette enquête, la Procureure du Tribunal, Louise Arbour, a-t-elle enterré son rapport et a-t-elle mis fin à l'enquête? Pourquoi enquêter sur tous les massacres du Rwanda et refuser des rechercher les responsables de l'attentat qui en est la cause? C'est tout à l'honneur de la France d'avoir tenté de le faire.
Pourquoi le Tribunal n'a-t-il jamais fait de véritable enquête sur les atrocités commises par les Tutsis ougandais, le Front patriotique rwandais (FPR)? Poser la question, c'est y répondre.
Dès mon arrivée au Rwanda, voyant l'ingérence ouverte du FPR et de certaines ONG américaines dans le travail d'enquête et de mise en accusation du Tribunal, j'en suis venu à la conclusion –et je l'ai annoncée–que dès que nous commencerions à enquêter sur les atrocités du FPR, nous serions chanceux si on nous permettait de nous rendre à l'aéroport pour quitter le pays.
Or quand Carla del Ponte a voulu entreprendre ce type d'enquêtes, elle a été contrainte de venir à Kigali présenter des excuses à Kagamé, et elle a finalement perdu son poste de Procureure du Tribunal.
S'agissant des deux questions qui précèdent, il faut bien garder à l'esprit que le gouvernement rwandais s'est opposé vivement et très officiellement à la création du Tribunal par les Nations Unies. Qu'avait-il à craindre de la création d'un tel tribunal? N'était-ce pas ce que la communauté internationale pouvait faire de mieux pour les victimes et les familles de victimes? De même, et il s'est toujours opposé aussi à toute enquête sur l'écrasement de l'avion présidentiel.
Pourquoi, s'il n'a rien à se reprocher, et si, comme il le dit, les responsables sont des hutus? L'écrasement de l'avion présidentiel et les atrocités du FPR constituent deux sujets d'enquête légitimes, intéressants, essentiels même pour établir l'entière vérité sur ce qui s'est passé alors.
Le gouvernement rwandais de Kagamé a préféré entreprendre une campagne de culpabilisation de la communauté internationale, qui lui est beaucoup plus profitable financièrement : qui peut expliquer en quoi juridiquement la communauté internationale aurait le devoir de payer pour des crimes commis par des Rwandais – et des Tutsis ougandais – contre des Rwandais?
Il faut bien voir que dans ces décisions diplomatiques et dans ces procès médiatisés, les victimes et les familles de victimes comptent très peu ou pas du tout. Je l'ai dit à des familles de victimes avant de quitter le Rwanda (j'étais l'un des seuls employés du Tribunal à avoir des contacts directs et soutenus avec les familles de victimes): comme personne ne peut ressusciter les victimes, ni établir la vérité ou punir les vrais coupables, les familles des victimes auraient dû demander l'abolition du Tribunal qui n'était qu'un tremplin pour carriéristes et qu'un écran de fumée masquant d'inavouables intrigues de politique internationale.
Même les accusés comptaient très peu dans ce spectacle. On en a eu une belle preuve avec le bourgmestre de Taba Jean-Paul Akayesu. Il a eu la malchance d'être lepremier accusé à passer devant le Tribunal, alors que depuis déjà trop longtemps, les États membres de l'ONU, après y avoir englouti plus de 350 millions de dollars selon certains, demandaient des résultats. Or pour un Tribunal, des résultats, c'est des procès et, de préférence, au moins une condamnation.
Plus on avançait dans le temps, plus on investissait, moins la présomption d'innocence avait d'importance. Le malheureux Akayesu a été condamné à l'emprisonnement à vie sur la foi de déclarations de témoins « instantanés » qui sont apparus trois ans et demi après les faits, et ce, après que l'enquête à Taba – à laquelle j'ai participé – eut permis de voir que les témoins présentés comme témoins à charge se contredisaient, n'avaient rien à dire ou même le défendaient.
J'ajouterai que lorsque j'étais au Tribunal, nous savions que pour 25 $, n'importe qui pouvait s'offrir une brigade de six faux témoins qui viendraient raconter n'importe quoi aux enquêteurs et peut-être même aux juges. Très utile pour qui veut se débarrasser d'un rival ou d'un concurrent.
À qui profite le crime? Dans cette affaire, il profite à des Tutsis de l'Ouganda qui, trois ou quatre générations plus tard, « reviennent » au Rwanda en libérateurs, en envahisseurs ou en occupants. Cela pose de graves questions de droit international.
C'est comme si, en 1945, au moment de la Libération, les soldats canadiens-français, se prévalant de leurs origines et du fait qu'ils libéraient la France, avaient proclamé qu'ils « revenaient » dans ce pays et y avaient imposé leur administration.
La question se pose alors pour les Rwandais comme pour nous tous de savoir quels sont les droits d'une armée d'étrangers qui vient « libérer » un pays, ou sauver une minorité à l'intérieur d'un pays, et qu'elle en prend le contrôle? Cette armée a-t-elle le droit de prendre le pouvoir et de s'y installer indéfiniment? Sinon, pendant combien de temps?
Quelques exemples viennent à l'esprit: la question s'est posée aux Américains et aux Alliés lors de la libération de la France, comme le confirment des documents rendus publics récemment. Étaient-ils une armée de conquérants ou une armée de libérateurs? Ils ont choisi d'être des libérateurs puis sont rentrés chez eux.
Le même problème s'est posé aux Vietnamiens lorsqu'ils sont allés délivrer les Cambodgiens des Khmers rouges. Ils sont ensuite retournés dans leur pays.
À Kigali, après 20 ans d'occupation, les « libérateurs » ougandais eux ne parlent pas de rentrer dans leur pays et personne ne se risque à leur poser la question. Outre les victimes des massacres de 1994, il y a aussi les victimes actuelles : les Tutsis et les Hutus du Rwanda qui n'ont plus un mot à dire chez eux parce que s'ils parlent, on les accusera d'avoir survécu par complicité avec les génocidaires.
L'autre victime, c'est aussi la démocratie, la vraie. Comme les Hutus représentent 85 % de la population du Rwanda, ils pourraient facilement s'élire un gouvernement, ce que les politiques tutsis ougandais ne sauraient tolérer.
Rappelons qu'un ancien président du Burundi, qui avait à peu près la même composition démographique que le Rwanda, n'hésitait pas à dire peu avant les massacres du Rwanda que le Burundi devait se débarrasser de « l'excédent de Hutus » (soit 70% de la population du Burundi).
Une autre question et pas la moindre : pourquoi continue-t-on de répéter avec insistance la thèse du génocide « programmé » et « planifié » par des « extrémistes » hutus qui fonde la soi-disant légitimité du régime du général Kagamé alors que tous les jugements du Tribunal international, sauf un, en première instance comme en appel, ont établi que cette thèse n'avait aucun fondement?
Sans parler des questions concernant l'assassinat de plusieurs critiques et adversaires de Kagamé et concernant toute l'administration du système de justice expéditive des gacacas qui, dans bien des cas, n'ont de justice que le nom.
Il s'agit là de quelques questions fondamentales qui sont ignorées, voire escamotées, par la légende officielle et qui demeurent sans réponse.
Il y a eu au Rwanda de terribles massacres et il y a eu un très grand nombre de victimes d'horreurs indescriptibles. Et justement le simple respect dû à ces victimes nous impose le devoir de chercher la vérité, toute la vérité, de trouver les responsables et de ne pas dire n'importe quoi ni permettre que ces victimes soient instrumentalisées au profit de quelques-uns.

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Posted by: Samuel Desire <sam4des@yahoo.com>
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The hate of men will pass, and dictators die, and the power they took from the people will return to the people. And so long as men die, liberty will never perish.
I have loved justice and hated iniquity: therefore I die in exile.
The price good men pay for indifference to public affairs is to be ruled by evil men.
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-“The enemies of Freedom do not argue ; they shout and they shoot.”

The principal key root causes that lead to the Rwandan genocide of 1994 that affected all Rwandan ethnic groups were:

1)The majority Hutu community’s fear of the return of the discriminatory monarchy system that was practiced by the minority Tutsi community against the enslaved majority Hutu community for about 500 years

2)The Hutu community’s fear of Kagame’s guerrilla that committed massacres in the North of the country and other parts of the countries including assassinations of Rwandan politicians.

3) The Rwandan people felt abandoned by the international community ( who was believed to support Kagame’s guerrilla) and then decided to defend themselves with whatever means they had against the advance of Kagame’ guerrilla supported by Ugandan, Tanzanian and Ethiopian armies and other Western powers.

-“The enemies of Freedom do not argue ; they shout and they shoot.”

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The Rwanda war of 1990-1994 had multiple dimensions.

The Rwanda war of 1990-1994 had multiple dimensions. Among Kagame’s rebels who were fighting against the Rwandan government, there were foreigners, mainly Ugandan fighters who were hired to kill and rape innocent Rwandan people in Rwanda and refugees in DRC.

READ MORE RECENT NEWS AND OPINIONS

SUMMARY : THE TRAGIC CONSEQUENCES OF THE BRITISH BUDGET SUPPORT AND GEO-STRATEGIC AMBITIONS

United Kingdom's Proxy Wars in Africa: The Case of Rwanda and DR Congo:

The Rwandan genocide and 6,000,000 Congolese and Hutu refugees killed are the culminating point of a long UK’s battle to expand their influence to the African Great Lakes Region. UK supported Kagame’s guerrilla war by providing military support and money. The UK refused to intervene in Rwanda during the genocide to allow Kagame to take power by military means that triggered the genocide. Kagame’s fighters and their families were on the Ugandan payroll paid by UK budget support.


· 4 Heads of State assassinated in the francophone African Great Lakes Region.
· 2,000,000 people died in Hutu and Tutsi genocides in Rwanda, Burundi and RD.Congo.
· 600,000 Hutu refugees killed in R.D.Congo, Uganda, Central African Republic and Rep of Congo.
· 6,000,000 Congolese dead.
· 8,000,000 internal displaced people in Rwanda, Burundi and DR. Congo.
· 500,000 permanent Rwandan and Burundian Hutu refugees, and Congolese refugees around the world.
· English language expansion to Rwanda to replace the French language.
· 20,000 Kagame’s fighters paid salaries from the British Budget Support from 1986 to present.
· £500,000 of British taxpayer’s money paid, so far, to Kagame and his cronies through the budget support, SWAPs, Tutsi-dominated parliament, consultancy, British and Tutsi-owned NGOs.
· Kagame has paid back the British aid received to invade Rwanda and to strengthen his political power by joining the East African Community together with Burundi, joining the Commonwealth, imposing the English Language to Rwandans to replace the French language; helping the British to establish businesses and to access to jobs in Rwanda, and to exploit minerals in D.R.Congo.



Thousands of Hutu murdered by Kagame inside Rwanda, e.g. Kibeho massacres

Thousands of Hutu murdered by Kagame inside Rwanda, e.g. Kibeho massacres
Kagame killed 200,000 Hutus from all regions of the country, the elderly and children who were left by their relatives, the disabled were burned alive. Other thousands of people were killed in several camps of displaced persons including Kibeho camp. All these war crimes remain unpunished.The British news reporters were accompanying Kagame’s fighters on day-by-day basis and witnessed these massacres, but they never reported on this.

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25,000 Hutu bodies floated down River Akagera into Lake Victoria in Uganda.

25,000  Hutu bodies  floated down River Akagera into Lake Victoria in Uganda.
The British irrational, extremist, partisan,biased, one-sided media and politicians have disregarded Kagame war crimes e.g. the Kibeho camp massacres, massacres of innocents Hutu refugees in DR. Congo. The British media have been supporting Kagame since he invaded Rwanda by organising the propaganda against the French over the Rwandan genocide, suppressing the truth about the genocide and promoting the impunity of Kagame and his cronies in the African Great Lakes Region. For the British, Rwanda does not need democracy, Rwanda is the African Israel; and Kagame and his guerilla fighters are heroes.The extremist British news reporters including Fergal Keane, Chris Simpson, Chris McGreal, Mark Doyle, etc. continue to hate the Hutus communities and to polarise the Rwandan society.

Kagame political ambitions triggered the genocide.

Kagame  political  ambitions triggered the genocide.
Kagame’s guerrilla war was aimed at accessing to power at any cost. He rejected all attempts and advice that could stop his military adventures including the cease-fire, political negotiations and cohabitation, and UN peacekeeping interventions. He ignored all warnings that could have helped him to manage the war without tragic consequences. Either you supported Kagame’ s wars and you are now his friend, or you were against his wars and you are his enemy. Therefore, Kagame as the Rwandan strong man now, you have to apologise to him for having been against his war and condemned his war crimes, or accept to be labelled as having been involved in the genocide. All key Kagame’s fighters who committed war crimes and crimes against humanity are the ones who hold key positions in Rwandan army and government for the last 15 years. They continue to be supported and advised by the British including Tony Blair, Andrew Mitchell MP, and the British army senior officials.

Aid that kills: The British Budget Support financed Museveni and Kagame’s wars in Rwanda and DRC.

Aid that kills: The British Budget Support  financed Museveni and Kagame’s wars in Rwanda and DRC.
Genocide propaganda and fabrications are used by the so-called British scholars, news reporters and investigative journalists to promote their CVs and to get income out of the genocide through the selling of their books, providing testimonies against the French, access to consultancy contracts from the UN and Kagame, and participation in conferences and lectures in Rwanda, UK and internationally about genocide. Genocide propaganda has become a lucrative business for Kagame and the British. Anyone who condemned or did not support Kagame’s war is now in jail in Rwanda under the gacaca courts system suuported by British tax payer's money, or his/she is on arrest warrant if he/she managed to flee the Kagame’s regime. Others have fled the country and are still fleeing now. Many others Rwandans are being persecuted in their own country. Kagame is waiting indefinitely for the apologies from other players who warn him or who wanted to help to ensure that political negotiations take place between Kagame and the former government he was fighting against. Britain continues to supply foreign aid to Kagame and his cronies with media reports highlighting economic successes of Rwanda. Such reports are flawed and are aimed at misleading the British public to justify the use of British taxpayers’ money. Kagame and his cronies continue to milk British taxpayers’ money under the British budget support. This started from 1986 through the British budget support to Uganda until now.

Dictator Kagame: No remorse for his unwise actions and ambitions that led to the Rwandan genocide.

Dictator Kagame: No remorse for his unwise actions and ambitions that led to the  Rwandan genocide.
No apologies yet to the Rwandan people. The assassination of President Juvenal Habyarimana by Kagame was the only gateway for Kagame to access power in Rwanda. The British media, politicians, and the so-called British scholars took the role of obstructing the search for the truth and justice; and of denying this assassination on behalf of General Kagame. General Paul Kagame has been obliging the whole world to apologise for his mistakes and war crimes. The UK’s way to apologise has been pumping massive aid into Rwanda's crony government and parliement; and supporting Kagame though media campaigns.

Fanatical, partisan, suspicious, childish and fawning relations between UK and Kagame

Fanatical, partisan, suspicious, childish and fawning relations between UK and Kagame
Kagame receives the British massive aid through the budget support, British excessive consultancy, sector wide programmes, the Tutsi-dominated parliament, British and Tutsi-owned NGOs; for political, economic and English language expansion to Rwanda. The British aid to Rwanda is not for all Rwandans. It is for Kagame himself and his Tutsi cronies.

Paul Kagame' actvities as former rebel

Africa

UN News Centre - Africa

The Africa Report - Latest

IRIN - Great Lakes

This blog reports the crimes that remain unpunished and the impunity that has generated a continuous cycle of massacres in many parts of Africa. In many cases, the perpetrators of the crimes seem to have acted in the knowledge that they would not be held to account for their actions.

The need to fight this impunity has become even clearer with the massacres and genocide in many parts of Africa and beyond.

The blog also addresses issues such as Rwanda War Crimes, Rwandan Refugee massacres in Dr Congo, genocide, African leaders’ war crimes and crimes against humanity, Africa war criminals, Africa crimes against humanity, Africa Justice.

-The British relentless and long running battle to become the sole player and gain new grounds of influence in the francophone African Great Lakes Region has led to the expulsion of other traditional players from the region, or strained diplomatic relations between the countries of the region and their traditional friends. These new tensions are even encouraged by the British using a variety of political and economic manoeuvres.

-General Kagame has been echoing the British advice that Rwanda does not need any loan or aid from Rwandan traditional development partners, meaning that British aid is enough to solve all Rwandan problems.

-The British obsession for the English Language expansion has become a tyranny that has led to genocide, war crimes and crimes against humanity, dictatorial regimes, human rights violations, mass killings, destruction of families, communities and cultures, permanent refugees and displaced persons in the African Great Lakes region.


- Rwanda, a country that is run by a corrupt clique of minority-tutsi is governed with institutional discrmination, human rights violations, dictatorship, authoritarianism and autocracy, as everybody would expect.