The dictator Kagame at UN

The dictator Kagame at UN
Dictators like Kagame who have changed their national constitutions to remain indefinitely on power should not be involved in UN high level and global activities including chairing UN meetings

Why has the UN ignored its own report about the massacres of Hutu refugees in DRC ?

The UN has ignored its own reports, NGOs and media reports about the massacres of hundreds of thousands of Hutu in DRC Congo (estimated to be more than 400,000) by Kagame when he attacked Hutu refugee camps in Eastern DRC in 1996. This barbaric killings and human rights violations were perpetrated by Kagame’s RPF with the approval of UK and USA and with sympathetic understanding and knowledge of UNHCR and international NGOs which were operating in the refugees camps. According to the UN, NGO and media reports between 1993 and 2003 women and girls were raped. Men slaughtered. Refugees killed with machetes and sticks. The attacks of refugees also prevented humanitarian organisations to help many other refugees and were forced to die from cholera and other diseases. Other refugees who tried to return to Rwanda where killed on their way by RFI and did not reach their homes. No media, no UNHCR, no NGO were there to witness these massacres. When Kagame plans to kill, he makes sure no NGO and no media are prevent. Kagame always kills at night.

25 Aug 2014

[AfricaRealities] Sexisme, harcèlement moral, discrimination... Mon parcours du combattant au sein de l'ONU

 


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LE PLUS. Zita Naramé a passé 40 ans à l'ONU, et ce qu'elle en a vu n'est pas glorieux : des top managers qui sont pour la plupart des escrocs, des agents humiliés, harcelés, mis au placard s'ils dénoncent des fraudes... L'organisation, qui se bat pour maintenir la paix dans le monde, devrait faire attention à ce qui se passe entre ses murs, si l'on en croit le récit de son expérience édifiante.

Édité et parrainé par Rozenn Le Carboulec
Discours de Mahmoud Ahmadinejad à l'ONU, à New York, le 24 septembre 2012 (SIPA)
 
Discrimination raciale, harcèlement moral, sexisme, escroqueries… sont des pratiques courantes, voire banales, rarement évoquées au sein du système des Nations Unies. Moi qui en ai été victime, j'ai souhaité le dénoncer.
 
Je n'avais pas 20 ans, lorsque je fus confrontée au sexisme pour la première fois. En avril 1973, fuyant la menace d'un troisième génocide des Tutsi rwandais, je venais de trouver refuge à Goma, au Congo.
 
Le vieux président du tribunal de Grande instance recrutait. Après une épreuve de dactylo réussie avec brio, il rejeta ma candidature… parce que je repoussais ses avances ! 
 
Une désillusion rapide
 
Recrutée par l'ONU en 1974, mon idéal des valeurs morales, d'éthique et d'intégrité s'est fracassé en 1979, lorsqu'Hugo LaCanne* prit la direction du projet de l'agence pour l'alimentation qui m'employait.
 
Harceleur et escroc, recherché par Interpol pour rapt d'enfant, il régnait par la terreur et l'intimidation. Responsable des comptes, je devins sa cible en pointant ses dépenses personnelles incompatibles avec les règles comptables.
 
En représailles, il me dénia l'accès au coffre et confia mes tâches à mon assistant. L'acharnement s'avéra si dévastateur que je fus hospitalisée. Alertée sur son escroquerie et une gouvernance désastreuse, l'ONU dépêcha une mission d'enquête qui conclut à son licenciement.
 
Le médecin qui m'a soignée et les enquêteurs ont évoqué le harcèlement, le sexisme et un comportement indigne envers la seule femme qui évoluait au sein d'une équipe masculine.
 
Mes congés de maternité ? On a voulu m'en priver
 
J'étais en poste à Kinshasa en 1982, lorsque Paul Carré* fut nommé à la tête du bureau du CEPAS, une agence des Nations Unies basée à Paris.
 
Escroc compulsif – même ses frais de bouche étaient comptabilisés –, d'une grande arrogance, il avait réussi l'exploit de détourner plusieurs mois de salaires d'un collègue.
 
Il puisa dans la caisse dès le premier jour. En découvrant son absence d'intégrité et un comportement indigne à tous égards, j'ai tout mis en œuvre pour décrocher une mutation à Paris. Paul fut licencié après un rapport d'enquête très accablant.
 
Dès 1987, j'affrontai un nouveau genre d'escroquerie auprès d'Igor*, champion des contrats cavaliers qui compensaient le manque à gagner d'un prélèvement de 60% de son salaire que le gouvernement russe imposait à ses ressortissants.
 
Sexiste, il fit preuve d'une grande intolérance pendant mes grossesses, au point d'envisager la possibilité de me priver des congés de maternité.
 
Des coups de fil constants, de jour comme de nuit
 
À partir de juillet 1994, j'assistais un Philippin devenu haut fonctionnaire sans aucun diplôme, d'un sans-gêne sans limite, qui m'infligeait des appels à mon domicile à des heures indues, même les weekends.
 
Harceleur, escroc sans scrupules qui concoctait des contrats de complaisance pour rémunérer les faveurs de ses conquêtes, un rapport d'audit révélant un détournement de 50.000 dollars pour financer les études de son fils exacerba un caractère déjà instable.
 
Je l'ai quitté sans cérémonie, pour fuir son sexisme et une violence quotidienne.
 
Mensonges et discrimination raciale
 
La preuve des pratiques discriminatoires et sexistes au sein du CEPAS me fut fournie en 2002. Le comité de sélection des candidats où siégeaient des représentants syndicaux a découvert que pour m'empêcher d'accéder au poste d'assistante d'un DG indien, poste historiquement réservée aux ressortissantes britanniques, un rapport d'évaluation me qualifiait d'hispanophone sans aucune maîtrise du français ou de l'anglais, handicapée par un statut de mère de famille incompatible avec les horaires d'un bureau directorial !
 
En 2005, rien ne changea. Alerté par un groupe d'ambassadeurs latino-américains qui réclamaient l'annulation de la nomination d'un top manager américain réputé raciste, le PDG du CEPAS, resta inflexible, persuadé que l'individu était un proche du président Bush.
 
Trevor* avait pourtant à son actif plusieurs condamnations pour discrimination raciale, harcèlement moral et représailles exercés sur des hauts cadres issus des minorités : latinos, juifs, afro-américains ou asiatiques, limogés des postes-clés d'une université – créée pour eux –, qu'il présidait en Californie.
 
À Paris, il utilisa la même technique : un plan de réforme révolutionnaire !
 
Mars 2007. Convaincu d'escroquerie par un rapport de la Cour des Comptes, Trevor* quitta Paris dans la honte, mais son butin dépassait les 20 millions d'euros.
 
La campagne médiatique fut sans précédent, mais le nettoyage ethnique pratiqué sur une quinzaine d'agents, parmi eux de très hauts fonctionnaires qui avaient en commun la couleur foncée de la peau, passa inaperçue.  
 
Mutée pour avoir dénoncé deux tentatives de fraude
 
Je fus sa première victime, pour avoir pointé deux tentatives de fraude sur ses frais de mission entre janvier et avril 2005. En représailles, dès son arrivée en poste fin juin 2005, prétextant un besoin de constituer sa propre équipe pour mettre en œuvre une réforme bidon, il refusa qu'une assistante noire soit sa plus proche collaboratrice, et exigea ma mutation immédiate pour installer un Américain nativesans sélection compétitive, avec un salaire deux fois supérieur.
 
La complaisance du CEPAS fut édifiante. Ma mutation était irrégulière, Trevor* récidivait un acte raciste, son passé scabreux était du domaine publique, mais la DRH acquiesça avec empressement à son rejet de ma personne sans avoir identifié un autre lieu d'affectation.
 
Privée de bureau avec confiscation et appropriation de toutes mes archives électroniques, le PDG ignora ma contestation d'une mutation faite dans la violence.  
 
Après ma plainte, appels anonymes et harcèlement insidieux
 
La discrimination raciale, la violation du droit, l'intimidation et le harcèlement moral étaient incontestables, mais le CEPAS protégea ostensiblement l'ami supposé de Bush et déploya un impressionnant dispositif de répression pour empêcher "un menu fretin" [1] de saisir les organes de recours.
 
En portant plainte, j'étais loin d'imaginer que je pénétrais au cœur d'un système gangrené par des pratiques honteuses – qui devaient donc rester occultées –, vu qu'ils impliquaient l'ensemble du top management qui avait aidé ouvertement un homme peu recommandable à tricher et à discriminer.
 
Le harcèlement fut insidieux et permanent. Ma carrière fut brisée, sans augmentation de salaire ni régularisation administrative par la signature d'un nouveau contrat pendant huit ans, avec une insécurité palpable et une menace qui m'exposait au licenciement au moindre faux pas.
 
Je fus accablée de tâches au-dessus de mon grade, humiliée, traitée avec mépris – on me disait que j'étais chanceuse d'avoir encore un salaire !
 
Étroitement surveillée, je fus l'objet d'appels anonymes à mon domicile, j'ai même reçu des menaces de mort.
 
Le racisme et le harcèlement sont institutionnalisés
 
Cela m'a interpellée qu'une agence onusienne qui œuvre pour l'égalité, l'équité, la paix entre les peuples, le respect de la dignité humaine et de la diversité, qui dispose d'un service dédié à la lutte contre la xénophobie et toutes les formes de discrimination, accepte l'inadmissible et l'intolérable.
 
Ma longue lutte pour la réhabilitation dans mes droits fondamentaux humains m'a prouvé que la discrimination raciale et le harcèlement moral étaient des pratiques institutionnalisées à tous les niveaux du CEPAS.
 
J'ai fait face à des actes d'hostilité inimaginables, chaque top manager ayant reçu l'ordre de saboter le processus de mon recours. Les rares collègues qui acceptaient de m'aider étaient harcelés à leur tour, y compris les médiateurs et le médecin du travail qui furent sèchement rappelés à l'ordre.
 
"Ferme ta bouche !", le livre-témoignage que j'ai publié et qui reprend tous ces éléments, est donc le cri d'une indignation contre ces agents indignes et peu scrupuleux, sans aucun idéal noble, qui n'ont pas leur place dans une organisation internationale.
 
L'acharnement dont je fus l'objet et le bannissement qui m'a isolée au milieu d'un millier de collègues m'ont incitée à faire le bilan d'une très longue carrière onusienne. Mon parcours fut une succession de rencontres avec des escrocs, des harceleurs, des sexistes et des racistes.
 
50% des top managers étaient des escrocs
 
De 1974 à 2010, sur les 15 top managers que j'ai assistés, seuls sept d'entre eux étaient des agents intègres. Des huit cas d'escroquerie et de harcèlement constatés, deux furent sanctionnés au Zaïre. À Paris, où les sommes dérobées étaient pourtant de loin faramineuses, aucun agent ne fut inquiété.
 
Doté d'un pouvoir considérable, le top manager onusien dispose d'un budget vertigineux qui attise la convoitise, et les escrocs profitent des failles d'un système de contrôle peu rigoureux, facilement contournable.
 
L'agent qui ose dénoncer l'escroquerie ou l'indignité de son patron s'expose donc aux représailles d'un individu super puissant, capable de briser une carrière, prêt à tout pour se maintenir dans une fonction prestigieuse mais peu durable, dont il veut tirer un maximum de profits avant la fin de son mandat.
 
L'ONU a son propre tribunal
 
Les hauts fonctionnaires onusiens jouissent d'une immunité diplomatique qui les préserve des poursuites judiciaires, et les victimes d'abus sont démunies, en l'absence d'un système de recours équitable.
 
L'ONU a son propre tribunal, mais sa saisine n'est possible qu'après épuisement des recours internes dont dispose l'employeur. Les agences retardent donc le processus au maximum, ce qui s'avère dissuasif pour les victimes, car la constitution d'un dossier prend plusieurs années.
 
De plus, ces agences s'appuient sur une équipe de juristes et puisent dans un budget provenant des contributions versées par les États-membres, nos pays, là où les victimes d'abus peinent à s'offrir une assistance juridique.
 
Les femmes sont les plus touchées
 
Il faut savoir que les rapports d'investigation sont truqués pour discréditer un agent. J'en ai fait l'expérience. Le système de défense n'a donc rien d'égalitaire, surtout lorsque l'on sait que ce tribunal ne condamne jamais une agence de l'ONU pour discrimination raciale, ce qui serait dévastateur pour l'image d'une institution internationale qui œuvre principalement pour la paix entre les peuples et l'égalité des individus.
 
Peu représentées aux postes de commandement, majoritaires dans des fonctions subalternes, les femmes sont les plus touchées par la discrimination, mais elles ne sont pas les seules, car un subtil système d'écrémage exclut d'office les nationalités indésirables des processus de recrutement ou d'avancement.
 
Les candidatures sont inutiles, tout est joué d'avance
 
L'affichage d'un poste vacant n'est donc qu'un leurre, car après les entretiens d'embauche, un panel d'interview établit l'évaluation qui prouvera, en cas d'audit, l'existence d'une sélection compétitive.
 
Dans la pratique, l'élu est choisi bien avant l'appel à candidatures. En tant que femme noire, je peux affirmer que j'ai travaillé dix fois plus que mes collègues pour une reconnaissance moindre, mais l'excellence de mes compétences et un comportement exemplaire à toute épreuve furent le socle qui ne pouvait pas m'être dénié, qui m'a permis de résister.
 
 
 
[1] Terme péjoratif inventé par les tops managers du CEPAS pour désigner les agents de grade peu élevé
 
*Tous les noms ont été changés.
 http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1187385-sexisme-harcelement-moral-discrimination-mon-parcours-du-combattant-au-sein-de-l-onu.html

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-“The enemies of Freedom do not argue ; they shout and they shoot.”

The principal key root causes that lead to the Rwandan genocide of 1994 that affected all Rwandan ethnic groups were:

1)The majority Hutu community’s fear of the return of the discriminatory monarchy system that was practiced by the minority Tutsi community against the enslaved majority Hutu community for about 500 years

2)The Hutu community’s fear of Kagame’s guerrilla that committed massacres in the North of the country and other parts of the countries including assassinations of Rwandan politicians.

3) The Rwandan people felt abandoned by the international community ( who was believed to support Kagame’s guerrilla) and then decided to defend themselves with whatever means they had against the advance of Kagame’ guerrilla supported by Ugandan, Tanzanian and Ethiopian armies and other Western powers.

-“The enemies of Freedom do not argue ; they shout and they shoot.”

-“The hate of men will pass, and dictators die, and the power they took from the people will return to the people. And so long as men die, liberty will never perish.”

-“The price good men pay for indifference to public affairs is to be ruled by evil men.”

-“I have loved justice and hated iniquity: therefore I die in exile.”

The Rwanda war of 1990-1994 had multiple dimensions.

The Rwanda war of 1990-1994 had multiple dimensions. Among Kagame’s rebels who were fighting against the Rwandan government, there were foreigners, mainly Ugandan fighters who were hired to kill and rape innocent Rwandan people in Rwanda and refugees in DRC.

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SUMMARY : THE TRAGIC CONSEQUENCES OF THE BRITISH BUDGET SUPPORT AND GEO-STRATEGIC AMBITIONS

United Kingdom's Proxy Wars in Africa: The Case of Rwanda and DR Congo:

The Rwandan genocide and 6,000,000 Congolese and Hutu refugees killed are the culminating point of a long UK’s battle to expand their influence to the African Great Lakes Region. UK supported Kagame’s guerrilla war by providing military support and money. The UK refused to intervene in Rwanda during the genocide to allow Kagame to take power by military means that triggered the genocide. Kagame’s fighters and their families were on the Ugandan payroll paid by UK budget support.


· 4 Heads of State assassinated in the francophone African Great Lakes Region.
· 2,000,000 people died in Hutu and Tutsi genocides in Rwanda, Burundi and RD.Congo.
· 600,000 Hutu refugees killed in R.D.Congo, Uganda, Central African Republic and Rep of Congo.
· 6,000,000 Congolese dead.
· 8,000,000 internal displaced people in Rwanda, Burundi and DR. Congo.
· 500,000 permanent Rwandan and Burundian Hutu refugees, and Congolese refugees around the world.
· English language expansion to Rwanda to replace the French language.
· 20,000 Kagame’s fighters paid salaries from the British Budget Support from 1986 to present.
· £500,000 of British taxpayer’s money paid, so far, to Kagame and his cronies through the budget support, SWAPs, Tutsi-dominated parliament, consultancy, British and Tutsi-owned NGOs.
· Kagame has paid back the British aid received to invade Rwanda and to strengthen his political power by joining the East African Community together with Burundi, joining the Commonwealth, imposing the English Language to Rwandans to replace the French language; helping the British to establish businesses and to access to jobs in Rwanda, and to exploit minerals in D.R.Congo.



Thousands of Hutu murdered by Kagame inside Rwanda, e.g. Kibeho massacres

Thousands of Hutu murdered by Kagame inside Rwanda, e.g. Kibeho massacres
Kagame killed 200,000 Hutus from all regions of the country, the elderly and children who were left by their relatives, the disabled were burned alive. Other thousands of people were killed in several camps of displaced persons including Kibeho camp. All these war crimes remain unpunished.The British news reporters were accompanying Kagame’s fighters on day-by-day basis and witnessed these massacres, but they never reported on this.

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25,000 Hutu bodies floated down River Akagera into Lake Victoria in Uganda.

25,000  Hutu bodies  floated down River Akagera into Lake Victoria in Uganda.
The British irrational, extremist, partisan,biased, one-sided media and politicians have disregarded Kagame war crimes e.g. the Kibeho camp massacres, massacres of innocents Hutu refugees in DR. Congo. The British media have been supporting Kagame since he invaded Rwanda by organising the propaganda against the French over the Rwandan genocide, suppressing the truth about the genocide and promoting the impunity of Kagame and his cronies in the African Great Lakes Region. For the British, Rwanda does not need democracy, Rwanda is the African Israel; and Kagame and his guerilla fighters are heroes.The extremist British news reporters including Fergal Keane, Chris Simpson, Chris McGreal, Mark Doyle, etc. continue to hate the Hutus communities and to polarise the Rwandan society.

Kagame political ambitions triggered the genocide.

Kagame  political  ambitions triggered the genocide.
Kagame’s guerrilla war was aimed at accessing to power at any cost. He rejected all attempts and advice that could stop his military adventures including the cease-fire, political negotiations and cohabitation, and UN peacekeeping interventions. He ignored all warnings that could have helped him to manage the war without tragic consequences. Either you supported Kagame’ s wars and you are now his friend, or you were against his wars and you are his enemy. Therefore, Kagame as the Rwandan strong man now, you have to apologise to him for having been against his war and condemned his war crimes, or accept to be labelled as having been involved in the genocide. All key Kagame’s fighters who committed war crimes and crimes against humanity are the ones who hold key positions in Rwandan army and government for the last 15 years. They continue to be supported and advised by the British including Tony Blair, Andrew Mitchell MP, and the British army senior officials.

Aid that kills: The British Budget Support financed Museveni and Kagame’s wars in Rwanda and DRC.

Aid that kills: The British Budget Support  financed Museveni and Kagame’s wars in Rwanda and DRC.
Genocide propaganda and fabrications are used by the so-called British scholars, news reporters and investigative journalists to promote their CVs and to get income out of the genocide through the selling of their books, providing testimonies against the French, access to consultancy contracts from the UN and Kagame, and participation in conferences and lectures in Rwanda, UK and internationally about genocide. Genocide propaganda has become a lucrative business for Kagame and the British. Anyone who condemned or did not support Kagame’s war is now in jail in Rwanda under the gacaca courts system suuported by British tax payer's money, or his/she is on arrest warrant if he/she managed to flee the Kagame’s regime. Others have fled the country and are still fleeing now. Many others Rwandans are being persecuted in their own country. Kagame is waiting indefinitely for the apologies from other players who warn him or who wanted to help to ensure that political negotiations take place between Kagame and the former government he was fighting against. Britain continues to supply foreign aid to Kagame and his cronies with media reports highlighting economic successes of Rwanda. Such reports are flawed and are aimed at misleading the British public to justify the use of British taxpayers’ money. Kagame and his cronies continue to milk British taxpayers’ money under the British budget support. This started from 1986 through the British budget support to Uganda until now.

Dictator Kagame: No remorse for his unwise actions and ambitions that led to the Rwandan genocide.

Dictator Kagame: No remorse for his unwise actions and ambitions that led to the  Rwandan genocide.
No apologies yet to the Rwandan people. The assassination of President Juvenal Habyarimana by Kagame was the only gateway for Kagame to access power in Rwanda. The British media, politicians, and the so-called British scholars took the role of obstructing the search for the truth and justice; and of denying this assassination on behalf of General Kagame. General Paul Kagame has been obliging the whole world to apologise for his mistakes and war crimes. The UK’s way to apologise has been pumping massive aid into Rwanda's crony government and parliement; and supporting Kagame though media campaigns.

Fanatical, partisan, suspicious, childish and fawning relations between UK and Kagame

Fanatical, partisan, suspicious, childish and fawning relations between UK and Kagame
Kagame receives the British massive aid through the budget support, British excessive consultancy, sector wide programmes, the Tutsi-dominated parliament, British and Tutsi-owned NGOs; for political, economic and English language expansion to Rwanda. The British aid to Rwanda is not for all Rwandans. It is for Kagame himself and his Tutsi cronies.

Paul Kagame' actvities as former rebel

Africa

UN News Centre - Africa

The Africa Report - Latest

IRIN - Great Lakes

This blog reports the crimes that remain unpunished and the impunity that has generated a continuous cycle of massacres in many parts of Africa. In many cases, the perpetrators of the crimes seem to have acted in the knowledge that they would not be held to account for their actions.

The need to fight this impunity has become even clearer with the massacres and genocide in many parts of Africa and beyond.

The blog also addresses issues such as Rwanda War Crimes, Rwandan Refugee massacres in Dr Congo, genocide, African leaders’ war crimes and crimes against humanity, Africa war criminals, Africa crimes against humanity, Africa Justice.

-The British relentless and long running battle to become the sole player and gain new grounds of influence in the francophone African Great Lakes Region has led to the expulsion of other traditional players from the region, or strained diplomatic relations between the countries of the region and their traditional friends. These new tensions are even encouraged by the British using a variety of political and economic manoeuvres.

-General Kagame has been echoing the British advice that Rwanda does not need any loan or aid from Rwandan traditional development partners, meaning that British aid is enough to solve all Rwandan problems.

-The British obsession for the English Language expansion has become a tyranny that has led to genocide, war crimes and crimes against humanity, dictatorial regimes, human rights violations, mass killings, destruction of families, communities and cultures, permanent refugees and displaced persons in the African Great Lakes region.


- Rwanda, a country that is run by a corrupt clique of minority-tutsi is governed with institutional discrmination, human rights violations, dictatorship, authoritarianism and autocracy, as everybody would expect.