The dictator Kagame at UN

The dictator Kagame at UN
Dictators like Kagame who have changed their national constitutions to remain indefinitely on power should not be involved in UN high level and global activities including chairing UN meetings

Why has the UN ignored its own report about the massacres of Hutu refugees in DRC ?

The UN has ignored its own reports, NGOs and media reports about the massacres of hundreds of thousands of Hutu in DRC Congo (estimated to be more than 400,000) by Kagame when he attacked Hutu refugee camps in Eastern DRC in 1996. This barbaric killings and human rights violations were perpetrated by Kagame’s RPF with the approval of UK and USA and with sympathetic understanding and knowledge of UNHCR and international NGOs which were operating in the refugees camps. According to the UN, NGO and media reports between 1993 and 2003 women and girls were raped. Men slaughtered. Refugees killed with machetes and sticks. The attacks of refugees also prevented humanitarian organisations to help many other refugees and were forced to die from cholera and other diseases. Other refugees who tried to return to Rwanda where killed on their way by RFI and did not reach their homes. No media, no UNHCR, no NGO were there to witness these massacres. When Kagame plans to kill, he makes sure no NGO and no media are prevent. Kagame always kills at night.

30 Oct 2012

HRW-Rwanda : Une peine de huit années d’emprisonnement est prononcée contre une dirigeante de l’opposition


 

http://www.hrw.org/fr/news/2012/10/30/rwanda-une-peine-de-huit-ann-es-d-emprisonnement-est-prononc-e-contre-une-dirigeante

Victoire Ingabire a été jugée coupable de deux chefs d'accusation à l'issue d'un procès entaché d'irrégularité
30 OCTOBRE 2012
« Les poursuites engagées contre Victoire Ingabire pour « idéologie du génocide » et divisionnisme illustrent le refus du gouvernement rwandais de tolérer les critiques et d'accepter le rôle des partis d'opposition dans une société démocratiqueLes tribunaux ne devraient pas être utilisés à de telles fins politiques. »

<p>Daniel Bekele, directeur de la Division Afrique.</p>
(Nairobi, le 30 octobre 2012) – Le verdict de culpabilité prononcé le 30 octobre 2012 dans le procès contre une dirigeante de parti d'opposition, Victoire Ingabire, est l'aboutissement d'un procès marqué par des irrégularités et par des chefs d'accusation à caractère politique. La Haute Cour de Kigali l'a jugée coupable de complot visant à porter atteinte au pouvoir établi et déni de génocide, et l'a condamnée à huit années d'emprisonnement.

Victoire Ingabire, présidente des FDU-Inkingi, un parti d'opposition, a été arrêtée dans la capitale rwandaise Kigali le 14 octobre 2010. Elle a été inculpée de six chefs d'accusation. Trois d'entre eux étaient liés à des « actes terroristes » – création d'un groupe armé, complicité d'actes terroristes et complicité d'atteinte à la sûreté de l'État par le recours au terrorisme et à la violence armée. Les trois autres chefs d'accusation – « idéologie du génocide », divisionnisme et propagation de rumeurs visant à inciter le public à se soulever contre l'État – étaient liés à ses critiques publiques à l'égard du gouvernement dans la période ayant précédé les élections présidentielles de 2010. Dans son jugement, la cour a modifié deux de ces chefs d'accusation et a acquitté Victoire Ingabire de quatre autres.

« Les poursuites engagées contre Victoire Ingabire pour « idéologie du génocide » et divisionnisme illustrent le refus du gouvernement rwandais de tolérer les critiques et d'accepter le rôle des partis d'opposition dans une société démocratique », a déclaré Daniel Bekele, directeur de la Division Afrique de Human Rights Watch. « Les tribunaux ne devraient pas être utilisés à de telles fins politiques. »

Human Rights Watch n'est pas en mesure de se prononcer quant à la validité des charges liées à la collaboration de Victoire Ingabire avec des groupes armés, mais s'inquiète du fait que certains des éléments de preuves utilisés pour l'inculper semblent être peu fiables.

Le procès, qui a commencé en septembre 2011 et s'est terminé le 25 avril, était complexe et a subi de nombreux retards et contretemps. Victoire Ingabire, qui a plaidé non coupable, était jugée aux côtés de quatre co-accusés − Vital Uwumuremyi, Jean-Marie Vianney Karuta, Tharcisse Nditurende et Noel Habiyaremye – qui l'ont impliquée dans une collaboration présumée avec des groupes armés.

Les quatre accusés ont tous plaidé coupables des charges d'appartenance à un mouvement terroriste, de participation à des actes terroristes et de création d'un groupe armé. Uwumuremyi a été condamné à quatre ans et six mois de prison, Nditurende et Habiyaremye à trois ans et six mois chacun, et Karuta à deux ans et sept mois. Ils sont tous quatre anciens membres des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR), un groupe armé opérant dans l'est de la RD Congo qui compte parmi ses membres des individus ayant pris part au génocide de 1994 au Rwanda. Les FDLR ont commis de nombreuses atrocités contre les civils dans l'est de la RD Congo au cours des dernières années.

Victoire Ingabire a été accusée de collaboration avec les FDLR et de projeter la formation d'un nouveau groupe armé, la Coalition des Forces Démocratiques (CDF).

« Plusieurs facteurs nous amènent à conclure que Victoire Ingabire n'a pas bénéficié d'un procès équitable », a fait remarquer Daniel Bekele. « Il s'agit notamment du caractère politique de certains chefs d'accusation comme l'« idéologie du génocide », des doutes quant à la fiabilité de certains éléments de preuve, de déclarations publiques de hauts représentants du gouvernement avant le procès à propos de la culpabilité de Victoire Ingabire, ainsi que de préoccupations plus larges relatives au manque d'indépendance de l'appareil judiciaire rwandais dans des affaires politisées. »

Possible coercition en détention militaire et intimidation de témoinsAu cours du procès, il est apparu que trois des co-accusés de Victoire Ingabire avaient été détenus au Camp Kami, un camp militaire. Un témoin cité par la défense a jeté le doute sur la crédibilité du témoignage de l'un d'entre eux au moins, soulevant des questions quant à leurs conditions de détention et à la possibilité de coercition.

Indépendamment des recherches menées par Human Rights Watch sur ce procès, l'organisation a reçu des informations selon lesquelles d'autres personnes maintenues en détention militaire, notamment au Camp Kami, ont été soumises à d'intenses pressions, et dans certains cas ont été torturées, pour leur arracher des aveux. Certaines personnes ont affirmé avoir reçu l'ordre d'incriminer Victoire Ingabire ainsi que d'autres opposants au gouvernement, même si leurs affaires n'étaient pas liées.

Durant le procès de Victoire Ingabire, un témoin cité par la défense a mis à mal la crédibilité du témoignage porté contre Victoire Ingabire par Uwumuremyi, l'un des co-accusés. Le témoin, Michel Habimana, a déclaré qu'il avait été détenu avec Uwumuremyi au Camp Kami en 2009. Il a affirmé qu'Uwumuremyi avait été incité à incriminer Victoire Ingabire et avait reconnu auprès d'Habimana qu'il ne la connaissait même pas. Habimana a expliqué qu'Uwumuremyi lui avait demandé une fois de collaborer avec les services de renseignement pour incriminer Victoire Ingabire, mais que lui, Habimana, avait refusé. Le tribunal n'a toutefois pas rejeté les preuves fournies par Uwumuremyi.

Habimana, connu également sous le nom d'Edmond Ngarambe, est un ancien porte-parole des FDLR et il purge une peine de prison à Kigali sur des accusations liées au génocide. Après avoir témoigné au tribunal, il a été soumis à l'intimidation. Sur ordre du ministère public, les autorités pénitentiaires ont fouillé sa cellule. Habimana a déclaré au tribunal que tous ses documents personnels ont été saisis, y compris des notes qu'il avait préparées pour sa déposition devant la cour. Au tribunal, le ministère public a confirmé la fouille en produisant les notes. Dans le cadre d'une procédure extrêmement inhabituelle, Habimana avait également été interrogé en dehors du tribunal par les autorités pénitentiaires, sans la présence d'un avocat.

Deux des autres co-accusés, Nditurende et Habiyaremye, ont révélé au tribunal qu'ils avaient également été maintenus en détention au secret pendant plusieurs mois au Camp Kami. Nditurende a déclaré qu'il avait été interrogé plusieurs fois par des personnes qui étaient à son avis des agents de renseignement, sans la présence d'un avocat.

Partialité politique au sein du système judiciaireL'atmosphère entourant le procès de Victoire Ingabire était déjà politiquement chargée bien avant sa première comparution au tribunal. Dès le début de 2010 – plusieurs mois avant son arrestation – des hauts représentants du gouvernement rwandais, y compris le Président Paul Kagame, ont publiquement porté atteinte à la présomption d'innocence, tenant des propos qui indiquaient fortement leur conviction que Victoire Ingabire était coupable.

Par exemple, la ministre des Affaires étrangères, Louise Mushikiwabo, a déclaré au journal The Independent le 7 août 2010 : « C'est une criminelle… C'est une personne dangereuse, elle est connectée aux FDLR et à des groupes terroristes et elle a un passé criminel » et a confié au journal The East African le 3 mai 2010 : « Il n'y a pas de place pour des gens comme Ingabire au Rwanda. Ni maintenant ni d'ici bien longtemps. »Le 30 juin 2010, le ministre de l'administration locale James Musoni a été cité par l'Agence rwandaise d'information comme ayant déclaré : « Ingabire c'est comme le contingent précurseur des FDLR. »

De tels commentaires ont été amplifiés dans les journaux pro-gouvernementaux, en particulier The New Times, qui a publié de nombreux articles extrêmement hostiles à Victoire Ingabire, en particulier dans les mois qui ont précédé les élections présidentielles de 2010.

« Les chances étaient réunies contre Victoire Ingabire avant même qu'aucune preuve n'ait été fournie », a déclaré Daniel Bekele. « Dans ces circonstances, il était hautement improbable qu'elle bénéficie d'un procès équitable. »

Human Rights Watch a reconnu que le système judiciaire rwandais avait entrepris des réformes positives, mais a ajouté que celles-ci avaient été entamées par la politisation de l'appareil judiciaire. Le système judiciaire rwandais manque d'indépendance, et les juges, ainsi que les procureurs et les témoins demeurent vulnérables aux pressions de la part du gouvernement, tout spécialement dans les affaires impliquant des opposants et des critiques.

Répression des dissidentsLa loi de 2008 sur l'« idéologie du génocide », au nom de laquelle Victoire Ingabire a été inculpée, a été utilisée comme un instrument pour réduire au silence les critiques à l'égard du gouvernement. La définition d' « idéologie du génocide » est très large et imprécise, ce qui laisse la loi sujette aux abus. Des personnes comme Victoire Ingabire qui se sont exprimées à propos des crimes commis par le parti au pouvoir, le Front patriotique rwandais (FPR) contre les civils Hutu depuis 1994, ont été particulièrement vulnérables aux accusations
d' « idéologie du génocide ». Victoire Ingabire a contesté la constitutionnalité de l'accusation d' « idéologie du génocide » mais le 18 octobre la Cour Suprême a jugé que sa demande était sans fondement.

D'après les premières informations, dans son jugement du 30 octobre, la Haute Cour n'aurait pas inculpé Victoire Ingabire d'idéologie du génocide mais de déni du génocide en vertu d'une loi de 2003.

« Le gouvernement rwandais dispose d'une responsabilité légitime d'empêcher le type de discours haineux et d'incitation à la violence ethnique qui ont conduit au génocide en 1994 », a observé Daniel Bekele. « Toutefois, la responsabilité d'empêcher la violence ne devrait pas être utilisée comme une excuse pour étouffer les critiques ou interdire le débat sur certains événements – et elle ne devrait pas non plus être invoquée comme prétexte pour retarder les réformes démocratiques. »

En 2010, le gouvernement rwandais a entrepris une révision de la loi sur l'« idéologie du génocide ». Une version amendée a été approuvée par le Conseil des Ministres le 27 juin et elle est actuellement à l'étude devant le Parlement.

Human Rights Watch a exhorté le gouvernement à veiller à ce que la version amendée de la loi sur l'« idéologie du génocide » protège contre les poursuites abusives et la criminalisation de propos qui n'ont ni l'intention ni l'effet de provoquer la violence.

Entraves au pluralisme politiqueLa liberté d'expression et la liberté d'association sont soumises à de sérieuses restrictions au Rwanda. Deux ans après le scrutin présidentiel qui a vu la réélection du Président Kagame avec plus de 93 pour cent des voix, le Rwanda n'a toujours pas de partis d'opposition en état de fonctionner. Le FPR domine la scène politique et n'est confronté à aucune contestation significative de la part d'autres partis représentés au parlement.

Les FDU-Inkingi ont été dans l'impossibilité de s'enregistrer comme parti politique, en dépit de plusieurs tentatives avant les élections de 2010. Le parti a été encore plus affaibli depuis l'arrestation de Victoire Ingabire et, comme d'autres partis d'opposition, il est maintenant à peine capable de fonctionner au Rwanda.

Plusieurs autres membres des FDU-Inkingi ont été menacés, arrêtés et détenus, et certains ont fait l'objet de poursuites judiciaires. En septembre, huit membres des FDU-Inkingi ont été arrêtés à Kibuye, dans l'ouest du Rwanda, et accusés d'organiser des réunions illégales. Ils ont été inculpés d'incitation au soulèvement ou à des troubles parmi la population. Ils sont actuellement en détention préventive. Le 8 septembre, Sylvain Sibomana, secrétaire général des FDU-Inkingi, et Martin Ntavuka, représentant des FDU-Inkingi pour Kigali, ont été détenus par la police jusqu'au lendemain près de Gitarama, après avoir exprimé des critiques à propos des politiques gouvernementales au cours d'une conversation informelle dans un bus. La police leur a reproché d'être trop critiques envers les politiques gouvernementales et a prétendu que leur parti organisait des réunions illégales. Ils ont été relâchés le lendemain sans chef d'inculpation. En avril 2011, deux membres des FDU-Inkingi, Anastase Hagabimana et Norbert Manirafasha, ont été arrêtés en lien avec un projet de déclaration de leur parti critiquant une augmentation du coût de la vie au Rwanda. Manirafasha a passé deux semaines en prison et Hagabimana quatre mois.

D'autres partis d'opposition ont subi un traitement similaire. Bernard Ntaganda, président fondateur du parti PS-Imberakuri, purge une peine de prison pour avoir exprimé ses points de vue et critiqué le gouvernement. Il a été arrêté le 24 juin 2010, quelques semaines à peine avant les élections présidentielles, et accusé d'atteinte à la sûreté de l'État, de « divisionnisme » et de tentative d'organiser des manifestations sans autorisation. Le 11 février 2011, il a été reconnu coupable et condamné à quatre ans de prison − une peine confirmée par la Cour Suprême le 27 avril 2012.

Deux autres membres du PS-Imberakuri, Sylver Mwizerwa et Donatien Mukeshimana, ont été condamnés en août 2010 respectivement à trois ans et deux ans d'emprisonnement pour « rébellion » et destruction de biens privés, soi-disant pour être entrés par effraction dans les locaux du PS-Imberakuri après que le propriétaire en eut repris possession. Mukeshimana a été libéré en août après avoir purgé sa peine ; Mwizerwa est toujours en prison.

D'autres membres du parti ont été régulièrement victimes de harcèlement, de menaces et d'actes d'intimidation, et ont été interrogés à maintes reprises par la police en lien avec leurs activités politiques. Le 5 septembre, Alexis Bakunzibake, vice-président du PS-Imberakuri, a été enlevé par des hommes armés à Kigali, qui lui ont bandé les yeux et l'ont placé en détention jusqu'au lendemain dans un lieu qu'il n'a pas pu identifier. Ses kidnappeurs l'ont interrogé à propos des activités du PS-Imberakuri, de ses adhérents et de son financement, ainsi que de ses liens présumés avec d'autres groupes d'opposition. Ils ont tenté de le persuader d'abandonner ses activités dans le parti, lui ont de nouveau bandé les yeux, conduit jusqu'à un endroit inconnu, puis l'ont abandonné de l'autre côté de la frontière, en Ouganda.

Un troisième parti d'opposition, le Parti vert démocratique du Rwanda, a été gravement affecté par lemeurtre de son vice-président en juillet 2010 et par la décision prise ensuite par son président, Frank Habineza, de fuir le pays. Tout comme les FDU-Inkingi, le Parti vert démocratique a été dans l'incapacité de s'enregistrer au Rwanda, en raison d'une succession d'obstacles administratifs et autres de la part d'autorités locales et nationales. En septembre, Habineza est revenu au Rwanda pour tenter encore une fois d'enregistrer le parti en vue de participer aux élections parlementaires de 2013.

Prise pour cible de journalistesDes journalistes et autres détracteurs ont également fait l'objet de poursuites en lien avec l'expression de points de vue critiques. Au mois d'août, Stanley Gatera, rédacteur-en-chef du journal Umusingi, a été arrêté en lien avec un article publié dans son journal à propos de la stabilité maritale et des problèmes posés allégués – selon l'auteur de l'article – par la beauté supposée des femmes Tutsi. Gatera a été accusé de discrimination et de sectarisme et son procès a eu lieu en octobre. Il se trouve toujours en prison dans l'attente du jugement de la cour.
En avril, Epaphrodite Habarugira, un animateur radio de Radio Huguka, a été arrêté et accusé d'« idéologie du génocide » après avoir fait semble-t-il une erreur en lisant les informations et avoir accidentellement confondu des termes en faisant référence aux rescapés du génocide. Il a passé trois mois en prison avant d'être acquitté et relâché en juillet. Le procureur a fait appel de son acquittement.

Agnès Uwimana et Saidati Mukakibibi, du journal Umurabyo, sont toutes deux en prison après avoir été condamnées en février 2011 à 17 ans et 7 ans d'emprisonnement respectivement en lien avec des articles considérés comme critiques à l'égard du gouvernement et du Président Kagame. En appel, la Cour Suprême le 5 avril a réduit leurs peines à quatre et trois ans respectivement. La Cour a maintenu les chefs d'accusation d'atteinte à la sûreté de l'État contre les deux femmes, ainsi qu'un chef d'accusation de diffamation contre Agnès Uwimana, la rédactrice en chef du journal. La Cour a abandonné les chefs d'accusation de minimisation du génocide de 1994 et de divisionnisme contre Agnès Uwimana.


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-“The enemies of Freedom do not argue ; they shout and they shoot.”

The principal key root causes that lead to the Rwandan genocide of 1994 that affected all Rwandan ethnic groups were:

1)The majority Hutu community’s fear of the return of the discriminatory monarchy system that was practiced by the minority Tutsi community against the enslaved majority Hutu community for about 500 years

2)The Hutu community’s fear of Kagame’s guerrilla that committed massacres in the North of the country and other parts of the countries including assassinations of Rwandan politicians.

3) The Rwandan people felt abandoned by the international community ( who was believed to support Kagame’s guerrilla) and then decided to defend themselves with whatever means they had against the advance of Kagame’ guerrilla supported by Ugandan, Tanzanian and Ethiopian armies and other Western powers.

-“The enemies of Freedom do not argue ; they shout and they shoot.”

-“The hate of men will pass, and dictators die, and the power they took from the people will return to the people. And so long as men die, liberty will never perish.”

-“The price good men pay for indifference to public affairs is to be ruled by evil men.”

-“I have loved justice and hated iniquity: therefore I die in exile.”

The Rwanda war of 1990-1994 had multiple dimensions.

The Rwanda war of 1990-1994 had multiple dimensions. Among Kagame’s rebels who were fighting against the Rwandan government, there were foreigners, mainly Ugandan fighters who were hired to kill and rape innocent Rwandan people in Rwanda and refugees in DRC.

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SUMMARY : THE TRAGIC CONSEQUENCES OF THE BRITISH BUDGET SUPPORT AND GEO-STRATEGIC AMBITIONS

United Kingdom's Proxy Wars in Africa: The Case of Rwanda and DR Congo:

The Rwandan genocide and 6,000,000 Congolese and Hutu refugees killed are the culminating point of a long UK’s battle to expand their influence to the African Great Lakes Region. UK supported Kagame’s guerrilla war by providing military support and money. The UK refused to intervene in Rwanda during the genocide to allow Kagame to take power by military means that triggered the genocide. Kagame’s fighters and their families were on the Ugandan payroll paid by UK budget support.


· 4 Heads of State assassinated in the francophone African Great Lakes Region.
· 2,000,000 people died in Hutu and Tutsi genocides in Rwanda, Burundi and RD.Congo.
· 600,000 Hutu refugees killed in R.D.Congo, Uganda, Central African Republic and Rep of Congo.
· 6,000,000 Congolese dead.
· 8,000,000 internal displaced people in Rwanda, Burundi and DR. Congo.
· 500,000 permanent Rwandan and Burundian Hutu refugees, and Congolese refugees around the world.
· English language expansion to Rwanda to replace the French language.
· 20,000 Kagame’s fighters paid salaries from the British Budget Support from 1986 to present.
· £500,000 of British taxpayer’s money paid, so far, to Kagame and his cronies through the budget support, SWAPs, Tutsi-dominated parliament, consultancy, British and Tutsi-owned NGOs.
· Kagame has paid back the British aid received to invade Rwanda and to strengthen his political power by joining the East African Community together with Burundi, joining the Commonwealth, imposing the English Language to Rwandans to replace the French language; helping the British to establish businesses and to access to jobs in Rwanda, and to exploit minerals in D.R.Congo.



Thousands of Hutu murdered by Kagame inside Rwanda, e.g. Kibeho massacres

Thousands of Hutu murdered by Kagame inside Rwanda, e.g. Kibeho massacres
Kagame killed 200,000 Hutus from all regions of the country, the elderly and children who were left by their relatives, the disabled were burned alive. Other thousands of people were killed in several camps of displaced persons including Kibeho camp. All these war crimes remain unpunished.The British news reporters were accompanying Kagame’s fighters on day-by-day basis and witnessed these massacres, but they never reported on this.

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25,000 Hutu bodies floated down River Akagera into Lake Victoria in Uganda.

25,000  Hutu bodies  floated down River Akagera into Lake Victoria in Uganda.
The British irrational, extremist, partisan,biased, one-sided media and politicians have disregarded Kagame war crimes e.g. the Kibeho camp massacres, massacres of innocents Hutu refugees in DR. Congo. The British media have been supporting Kagame since he invaded Rwanda by organising the propaganda against the French over the Rwandan genocide, suppressing the truth about the genocide and promoting the impunity of Kagame and his cronies in the African Great Lakes Region. For the British, Rwanda does not need democracy, Rwanda is the African Israel; and Kagame and his guerilla fighters are heroes.The extremist British news reporters including Fergal Keane, Chris Simpson, Chris McGreal, Mark Doyle, etc. continue to hate the Hutus communities and to polarise the Rwandan society.

Kagame political ambitions triggered the genocide.

Kagame  political  ambitions triggered the genocide.
Kagame’s guerrilla war was aimed at accessing to power at any cost. He rejected all attempts and advice that could stop his military adventures including the cease-fire, political negotiations and cohabitation, and UN peacekeeping interventions. He ignored all warnings that could have helped him to manage the war without tragic consequences. Either you supported Kagame’ s wars and you are now his friend, or you were against his wars and you are his enemy. Therefore, Kagame as the Rwandan strong man now, you have to apologise to him for having been against his war and condemned his war crimes, or accept to be labelled as having been involved in the genocide. All key Kagame’s fighters who committed war crimes and crimes against humanity are the ones who hold key positions in Rwandan army and government for the last 15 years. They continue to be supported and advised by the British including Tony Blair, Andrew Mitchell MP, and the British army senior officials.

Aid that kills: The British Budget Support financed Museveni and Kagame’s wars in Rwanda and DRC.

Aid that kills: The British Budget Support  financed Museveni and Kagame’s wars in Rwanda and DRC.
Genocide propaganda and fabrications are used by the so-called British scholars, news reporters and investigative journalists to promote their CVs and to get income out of the genocide through the selling of their books, providing testimonies against the French, access to consultancy contracts from the UN and Kagame, and participation in conferences and lectures in Rwanda, UK and internationally about genocide. Genocide propaganda has become a lucrative business for Kagame and the British. Anyone who condemned or did not support Kagame’s war is now in jail in Rwanda under the gacaca courts system suuported by British tax payer's money, or his/she is on arrest warrant if he/she managed to flee the Kagame’s regime. Others have fled the country and are still fleeing now. Many others Rwandans are being persecuted in their own country. Kagame is waiting indefinitely for the apologies from other players who warn him or who wanted to help to ensure that political negotiations take place between Kagame and the former government he was fighting against. Britain continues to supply foreign aid to Kagame and his cronies with media reports highlighting economic successes of Rwanda. Such reports are flawed and are aimed at misleading the British public to justify the use of British taxpayers’ money. Kagame and his cronies continue to milk British taxpayers’ money under the British budget support. This started from 1986 through the British budget support to Uganda until now.

Dictator Kagame: No remorse for his unwise actions and ambitions that led to the Rwandan genocide.

Dictator Kagame: No remorse for his unwise actions and ambitions that led to the  Rwandan genocide.
No apologies yet to the Rwandan people. The assassination of President Juvenal Habyarimana by Kagame was the only gateway for Kagame to access power in Rwanda. The British media, politicians, and the so-called British scholars took the role of obstructing the search for the truth and justice; and of denying this assassination on behalf of General Kagame. General Paul Kagame has been obliging the whole world to apologise for his mistakes and war crimes. The UK’s way to apologise has been pumping massive aid into Rwanda's crony government and parliement; and supporting Kagame though media campaigns.

Fanatical, partisan, suspicious, childish and fawning relations between UK and Kagame

Fanatical, partisan, suspicious, childish and fawning relations between UK and Kagame
Kagame receives the British massive aid through the budget support, British excessive consultancy, sector wide programmes, the Tutsi-dominated parliament, British and Tutsi-owned NGOs; for political, economic and English language expansion to Rwanda. The British aid to Rwanda is not for all Rwandans. It is for Kagame himself and his Tutsi cronies.

Paul Kagame' actvities as former rebel

Africa

UN News Centre - Africa

The Africa Report - Latest

IRIN - Great Lakes

This blog reports the crimes that remain unpunished and the impunity that has generated a continuous cycle of massacres in many parts of Africa. In many cases, the perpetrators of the crimes seem to have acted in the knowledge that they would not be held to account for their actions.

The need to fight this impunity has become even clearer with the massacres and genocide in many parts of Africa and beyond.

The blog also addresses issues such as Rwanda War Crimes, Rwandan Refugee massacres in Dr Congo, genocide, African leaders’ war crimes and crimes against humanity, Africa war criminals, Africa crimes against humanity, Africa Justice.

-The British relentless and long running battle to become the sole player and gain new grounds of influence in the francophone African Great Lakes Region has led to the expulsion of other traditional players from the region, or strained diplomatic relations between the countries of the region and their traditional friends. These new tensions are even encouraged by the British using a variety of political and economic manoeuvres.

-General Kagame has been echoing the British advice that Rwanda does not need any loan or aid from Rwandan traditional development partners, meaning that British aid is enough to solve all Rwandan problems.

-The British obsession for the English Language expansion has become a tyranny that has led to genocide, war crimes and crimes against humanity, dictatorial regimes, human rights violations, mass killings, destruction of families, communities and cultures, permanent refugees and displaced persons in the African Great Lakes region.


- Rwanda, a country that is run by a corrupt clique of minority-tutsi is governed with institutional discrmination, human rights violations, dictatorship, authoritarianism and autocracy, as everybody would expect.